FOREM

. . . . . . . . . . . . . . . . 9.2.9 Actions de liaison . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9.2.10 Valeur d’une grandeur physique le long d’une droite . . . . 9.2.11 Valeur d’une grandeur physique le long d’une ligne fronti`re e R´f´rences ee . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composants circuits sp´cialis´s, la contribution de ce travail consiste a ´tendre e e ` e ´ la m´thodologie AAA vers des architectures circuits. Etape jug´e indispensable pour e e utiliser pleinement la m´thodologie AAA pour faire la conception conjointe o` la cible e u multiprocesseurs coop`re avec une cible cˆbl´e. e a e Dans cette th`se, nous nous sommes donc int´ress´s a l’extension de la m´thodologie e e e ` e AAA pour le support des implantations sur de composants circuits reconfigurables. Nous avons

________________________________________________________________________________________________________ 1 I. I NT R ODU C T I ON → Définir la personnalité et sa place par rapport à la compréhension psychologique des individus. 1. Définition  Entre universel et unique. o Gens : réactions et caractéristiques universelles. La personnalité est située l entre ce qui est universel et unique. Personnalité : permet de voir ce qui constitue les similitudes et différences entre les personnes. Face à une situation, nous réagissons

qui ´tudie les situations o` e e e u le sort de chaque participant d´pend non seulement des d´cisions qu’il prend mais e e ´galement des d´cisions prises par d’autres participants. En cons´quence, le choix e e e “optimal” pour un participant d´pend g´n´ralement de ce que font les autres. Parce e e e que chacun n’est pas totalement maˆ ıtre de son sort, on dit que les participants se trouvent en situation d’interaction strat´gique. Le mot strat´gie vient du grec e e ancien o` il d´signait les actions

: La somme des deux nombres est la somme de leur parties r´ elles et imagie naires. Σ = z1 + z2 = (a1 + a2 ) + j(b1 + b2 ) (1.1) Multiplication : Le produit des deux nombres est obtenu de la mˆ me facon que la e ¸ multiplication de deux polynˆ mes. o Π = z1 · z2 = (a1 · a2 − b1 · b2 ) + j(a1 · b2 + a2 · b1 ) (1.2) La multiplication d’un nombre r´ el et d’un nombre complexe est distributive. Pour e α ∈ R, α · z1 = α · a1 + j(α · b1 ) (1.3) Conjug´ : z1 = a1 − jb1 e ∗ 1.3 1. 2. 3. 4. ´ ´

d’un ∆ réel ou de créance. Facere : très vaste -> effectuer une prestation Non facere : très vaste également. b) Le ∆ de créance lui-même : élément positif du patrimoine. c) La dette du débiteur : élément négatif du patrimoine. Tout ∆ de Cr. O° et inversement O° est un terme polysémique, mais on va surtout le prendre dans l’acception du c) Théorie générale : ensemble structuré de règles interactions. 2) Importance dans le ∆ de la T.G.O. : S’applique à tous les ∆ de créance que l’on rencontre en

ou bien en décret simple.  - Internationales : suite au phénomène d’internationalisation du droit pénal, comme de la procédure pénale, il existe des juridictions à vocations internationale. o La CDSLFDDH : droit à la liberté et à la sureté, présomption d’innocence… o Une certaine coopération policière telle que le mandat d’arrêt européen. La séparation des fonctions judiciaires : Les tribunaux répressifs appartiennent à l’ordre judiciaire, juridictions civiles comme

le montant est négatif : créance vis-à-vis de l'Etat Crédit de TVA à déduire sur la TVA à payer du mois suivant et les mois ultérieurs jusqu'à épuisement. [pic] Modèle de budget de TVA Les montants sont en milliers de francs CFA. |Mois |Janvie|F|Mars |A|Mai | | |r |é| |v| | | | |v| |r| | | | |r| |i| | | | |i|

1945 Mozart Betton Centre 71 94 vers CHEVAIGNÉ GARE SNCF r. de la Forêt 70 vers SAINT-SULPICE-LA-FORÊT Placis Vert ad Re nn es N 62 la Champ Devant r. Xav sonnière Gres de Prée de ier Gra ll Collège F. Truffaut du Clos r. des de r. François Mauria rue ZA Le Pontay 68 52 Mott e Vivier Louisbd. r. rue de la Ricoqu ais Pontay r. de D6 r. de B s CFAB du Camus r. M de .G ér ar d r. d e la

. . . . . . 22 2.4 2.5 Classement des activit´ s par niveaux . . . . . . . . . . . . . . . . 23 e Calcul de l’ordonnancement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 2.5.1 2.5.2 Ordonnancement au plus tˆ t . . . . . . . . . . . . . . . . 27 o Ordonnancement au plus tard . . . . . . . . . . . . . . . 28 Notion de tˆ che critique . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 a 3 2.6 Chemin critique et calcul des marges . . . . . . . . . . . . . . . 29 2.6.1 4 2.6.2 2.7 2.8 2.9 Table des