Forces Et Faiblesses Courtiers

communication financière doit choisir ses cibles et s’adapter à la diversité des « clients » (les actionnaires) : - particuliers (petits porteurs, plus ou moins avertis, agissant directement en bourse via internet ou par l’intermédiaire d’une banque ou d’un courtier) ; - banques, sociétés d’investissement, intermédiaires financiers ; - fonds de pension ; - petits actionnaires pouvant peser sur l’assemblée générale ; - actionnaires disposant d’une capacité à contrôler le management ; - dirigeants actionnaires ;

de bureau (ramette de papier, papier carbone, encre photocopieurs…), ruptures de stock ralentissant l’exécution du service au bureau, - L’indisponibilité de véhicules et/ou de chauffeurs (faisant perdre du temps aux passeurs en douanes et aux courtiers). III - Exécution des tâches sur ordinateur Pour être en phase avec la concurrence, les entreprises du monde ce sont rapidement informatisées. C’est le cas de la société d’accueil qui a doté ses services de matériel informatique de dernière

courtage, services simples : chaque groupe bancaire a sa recette pour 2009. Quitte à prendre des biais par rapport aux deux modèles qui se sont distingués jusque-là. D'une part, celui qui a mené au succès de certains sites financiers : d’aucun courtier qui a progressivement élargi son offre à celle de la banque en ligne. D'autre part, un modèle de banque « low cost » qui a jusqu'ici davantage inspiré les « assur-banques ». Un grand établissement devrait lancer en mars 2009, une marque nouvelle

grand capital- réalisent de bons résultats, les performances du secteur demeurent globalement modestes. Les faibles taux d’investissement et le retard technologique, le sous-développement du capital humain et la prédominance du travail précaire, la faiblesse de l’innovation et de la qualité ainsi que les carences de l’organisation et de la gestion des entreprises, caractérisent l’évolution de cette industrie. Le secteur n’exporte que 17 % de sa production en raison notamment des difficultés à satisfaire

redynamisant le compte sur livret. C’est le cas aussi des courtiers en ligne, portés par l’émergence d’Internet à la fin des années 90 et par les performances exceptionnelles affichées par les marchés boursiers. Les consommateurs, dont le profil a évolué vers davantage d’exigence, ont été attirés par les arguments d’accessibilité et de rapidité, par des frais inférieurs à ceux des banques et par la qualité du conseil proposé. Les courtiers en ligne ont commencé à évoluer vers un modèle de banque à

en modifiant les produits pour leur donner le format souhaité par les consommateurs. Ils diffusent des infos, prévoient la demande et commandent pour éviter les ruptures, ils placent dans un mm lieu des offres concurrentes. -Les agents : les courtiers, représentants qui prospectent la clientèle et passent des contrats au nom du fabricant mais ne s’engagent pas à titre personnel. -Les relais : compagnies de transports, sociétés d’entrepôts qui facilitent les opérations de distribution sans prendre

produits industriels américains…). La croissance a cependant favorisé le développement exponentiel des marchés financiers (hausse des cours, hausse des capacités d’épargne individuelles, possibilité d’acheter à crédit des titres de bourses auprès de courtiers). Insidieusement, ces conditions font que les marchés s’avèrent de plus en plus volatiles et fébriles (rumeurs) d’autant que les actions s’avèrent surcotées et qu’une distorsion apparaît progressivement entre le cours des actions (leur prix)

ne soient pas propres à l’activité bancaire, ces risques peuvent avoir de lourdes conséquences sur la solvabilité d’une banque. L’exemple le plus approprié est la faillite de la banque anglaise Barings suite à la prise de risque trop importante du courtier de la banque Nick Leeson. 5  Le risque d’image Ce risque survient suite à une action ou un comportement peu honorable pour la banque. Ses conséquences peuvent être néfastes surtout pour des établissements qui font de leur image un facteur

modèle corporatif Pacifique Asiatique a souvent été perçu comme une vision à long terme avec des liens étroits entre le gouvernement, les banques et les corporations. La conséquence de cette association met des secteurs de l’économie à l’extérieur des forces du marché et peu enclins au contrôle des actionnaires. Les firmes sont donc peu en mesure de faire face à des changements rapides des conditions de l’économie, à l’instar des firmes européennes et nord-américaines. Le gouvernement et les banques protègent

d’études est de proposer un manuel de procédures répondant aux exigences des dirigeants de l’Etablissement Du Sud et surtout de leur démontrer ses enjeux et ses avantages. Les objectifs spécifiques se présentent comme suit : - Identifier les faiblesses du mécanisme de contrôle interne mis en place par l’Etablissement Du Sud et proposer des recommandations visant à limiter tous les risques éventuels d’erreurs ou de fraudes. - Ressortir le rôle important que peut jouer le manuel de procédures