Fondation pour la mémoire de la déportation

TRAVAIL D’ETUDE PERSONNEL DE PROFESSEUR STAGIAIRE AU LYCEE MARCELIN BERTHELOT A CHATELLERAULT Histoire et mémoire, l’expérience du témoignage en classe de première Présenté et soutenu par Sébastien Lumia Sous la direction de Laurent Marien Remis le 14 mai 2008 IUFM DE POITOU-CHARENTES Site de Poitiers 1 Histoire et mémoire, l’expérience du témoignage en classe de première Remerciements J’ai tenu à faire une page de remerciements pour saluer ceux qui m’ont permis de réaliser ce travail. Mes

responsabilité de la France dans la déportation des Juifs de France. Ce devoir est à la fois une application du cours de la séquence 1 sur les mémoires, ici la mémoire de la Seconde Guerre mondiale et une vision concrète du cours sur l’État nation en France depuis 1946, dans la séquence 9 : État, gouvernement et application, héritages et évolution. Consigne: Après avoir présenté les documents, montrez en quoi ils font apparaître une évolution de la mémoire du génocide en France. Rappelez quel

Esther Delisle MYTHES, MÉMOIRE ET MENSONGES L’intelligentsia du Québec et la tentation fasciste 1939-1960 Traduit par Madeleine Hébert ROBERT DAVIES MULTIMÉDIA À A.L., avec affection et tendresse Remerciements Je tiens à remercier le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada de m’avoir accordé une bourse de recherche postdoctorale qui m’a permis de mener à bien ce livre. Je veux remercier en particulier le professeur John Hellman, avec qui j’ai eu le privilège de

libéraux (figure du poète prophète). Œuvre d'éclaircissement des consciences ( comme les lumières), accomplira l'œuvre de la philosophie, et la dépassera en étant un « désenchantement ». Action critique, remise en cause, et en même temps une re-fondation, une instauration d'une nouvelle foi. Prendra la forme du mythe pour exprimer la nouvelle foi appelée à remplacer les anciennes religions pour ré-enchanter le monde sans le couvrir de mensonges et de superstitions. Opposition frontale de la philosophie

l'affrontement Ouest-Est. La rivalité entre l'URSS et les Etats-Unis entraîne la division du pays en deux États antagonistes. Sous tutelle occidentale, la RFA tourne rapidement la page nazie et instaure une démocratie libérale ; elle n'effectue son travail de mémoire qu'à partir des années 1960. À l'Est, la RDA adopte le modèle communiste de son parrain soviétique et renie tout lien avec son passé nazi. De nombreux nazis échappent ainsi aux sanctions, et l'examen de conscience personnel reste un thème récurrent

choix de cette disposition, en notant les positions dominantes (celle du président du tribunal et de ses assesseurs), les oppositions (la défense face aux parties civiles et au procureur général), la situation centrale de la barre des témoins (la mémoire des faits au centre des débats), etc. Une cour d'assises (et celle de Lyon jugeant Barbie en particulier) met en place un espace dramatique : une scène dont les journalistes, plus bas, sont les spectateurs et les jurés, en retrait, une sorte de choeur

!!!!!ppThème n°1 : historiens et les mémoires de la 2nd guerre mondiale en France. Chapitre 1 : la mémoire résistante (1944-1970). - 1944 : libération de la France. - 1945 : procès de Pétain et de Laval. - 1951-1953 : Armistice et mise en place des lois d’amnistie pour les collaborateurs. - 1960 : inauguration du mémorial de la France combattante. - 1964 : transfert des centres de Jean Moulin au panthéon. I. A la libération s’élabore le mythe résistancialiste. - A. Durant l’occupation

1ère mission à Londres (coll.Sasse, Mémorial Leclerc/Musée Jean Moulin, Ville de Paris) tions. L’unité est voulue par les résistants de base et les chefs pages 8-9 Le général de Gaulle dans son bureau londonien au 4 Carlton’s Gardens (Fondation Charles de Gaulle) Défense de la France le 20 avril 1943 (Mémorial Leclerc/Musée Jean Moulin, Ville de Paris) entendent lui faire jouer au jour J.. L’action immédiate - sabotages, opérations punitives- a été jusque-là prise en charge par

surnommée Milou (1923 - ), Denise (1924 - ), Jean (1925 -). Principales étapes de la période de guerre : - Vie familiale à Nice touchée par les statuts des Juifs à partir de 1940 - Arrestation (30 mars 1944) avec sa mère, Milou et Jean et déportation à AuschwitzBirkenau par Drancy (début avril 1944) avec sa mère et Milou. - Marche de la mort fin janvier 1945 d’Auschwitz à Gleiwitz avec sa mère et Milou, continuation du transport en train au camp de concentration à Bergen-Belsen. - Simone

atteintes par la maladie dont elles moururent toutes les deux à quelques jours d’intervalle. Le camp d’Auschwitz fut libéré en janvier 1945, et celui de Bergen-Belsen le 12 avril 1945. Parmi les huit clandestins, seul Otto Frank survécut à la déportation. Il était encore à Auschwitz lors de la libération. Il se remaria avec une autre survivante et mourut le 19 août 1980. Les personnages Les clandestins : • Otto Frank : C'est le père d'Anne. Il est né le 12 mai 1889 à Francfort-sur-le-Main