Flûte traversière

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musicalité monotone et triste. 6. Cet orchestre de jazz est composé d’instruments acoustiques et non électriques. Il est divisé en deux sections : la section rythmique ( batterie, piano, contrebasse ) et la section mélodique (voix, trombone, flûte traversière, trompettes, saxophone, claviers-xylophone, violon...). voix est une voix chantée, mais parfois proche de la voix parlée. Le tempo est libre, sans pulsation bien régulière. L'enregistrement de la chanson a été réalisé en prise directe, technique

originale, articulant l’œuvre d’une manière toute particulière. 4) Deux familles instrumentales sont utilisées. Les instruments à vent avec prédominance des cuivres et présence de deux instruments de la famille des bois (clarinette en mi bémol, flûte traversière). Les instruments à percussion (métaux, bois, peaux). Deux instruments inhabituels : le tambour à corde (lion’s roar) et la sirène. Notons cependant que l’ensemble des percussions associe instruments originaux et instruments plus traditionnels

caractère très enjoué de la mélodie et des paroles humoristiques. La musique  Formation vocale : Une voix masculine soliste.  Formation instrumentale : Jazz band avec section rythmique (batterie, piano, contrebasse) et section mélodique (flûte traversière, trompette, clarinette, saxophone, xylophone.) + percussions sud-américaines (congas, maracas, agogôs)  Tempo allegro (rapide)  Tonalité Mi mineur : Le mode mineur pour exprimer la tristesse, les affres de l’amour et des dérives du monde moderne

répétitif introduisent la chanson en évoquant le bruit des roues du train sur les rails, traduisant une sensation de lourdeur et d’oppression. La guitare au deuxième couplet renforce le mouvement du train. Au troisième couplet, le son de la flûte traversière renforce la gravité des évènements et les désarroi des déportés et renforce « la fuite est monotone et sans hâte du temps ». Dans le sixième couplet les cuivres font référence à la guerre et aux allemands. Ils soulignent le vers « votre chair

assez de contact seule avec des allemands. Notamment pendant un petit voyage de quatre jours en Suisse où j'étais seule avec Hanna. C'était en fait organisé avec l'orchestre dont elle fait partie. (J'ai oublié de mentionner qu'elle fait de la flûte traversière et que moi aussi). J'ai aussi pu constater, quoi que je m'en était rendue compte, que les allemands sont très altruistes à plusieurs niveaux, partageant beaucoup plus que les français . Je trouve qu'ils font bien plus attention les uns aux autres

musicale galicienne est constituée de un bombo (grosse caisse), un tambour et des gaita, appellation donnée à la cornemuse de cette région. À cette formation peuvent venir se greffer d'autres instrumentistes: • os requinteiros, joueurs de requinta, flûte en bois. • as pandereiteiras, chanteuses accompagnées de tambourins de basque. L'intégration d'instruments comme la clarinette est postérieure. Le violon était quant à lui principalement employé par les aveugles désireux de gagner leur vie. Ce

arithmétie et mathématiques : « pour apprendre mille petits amusements et inventions nouvelles qui relevaient tous de l’arithmétique. », la musique : « Coté instruments de musique, il apprit à jouer du luth, de l’épinette, de la harpe, de la flûte traversière et de la flûte à neuf trous, de la viole et du trombone ». Ce sont des matières qui sont accompagnées d’une étude des sports de combat, des sciences naturelles, la théologie et la philosophie. L’élève est donc supposé à tout apprendre, dans tous les

dénonce les défauts de la société, donne une vision globalement pessimiste du monde. Dans cette chanson, il y a aussi un effectif instrumental important : -Cordes pincées ( Harpe) -Cordes frottées -Cordes frappées (piano) -Bois (hautbois, flûte traversière) -Cuivres (cors) -Percussions (timbales) -Choeur mixte : Hommes et Femmes chantant ensemble. -Soprano soliste : voix aigue des femmes. Léo Férré répète les 2 premiers couplet deux fois : en chantant et en parlant. Il y a une courte introduction

documentation pour approfondir les connaissances des sociétés africaines de tradition orale de la période précoloniale » (Niangoran-Bouah, 1980 : 24). Elle s’intéresse également aux textes « du balafon, du cor d’appel, de la flûte, de l’arc musical, de la trompe traversière, du double gong et du djomolo ». (Niangoran-Bouah, 1980 : 25). Ses méthodes et théories sont celles de l’anthropologie dont elle constitue une discipline connexe. L’auteur nous éclaire davantage sur la création du néologisme