Fin de l'histoire

Guy de Maupassant, est un roman du genre réaliste et a été publie pour la première fois en 1885. Le titre évoque l’histoire d’une personne sociable et fait penser que cette faculté de « bel ami » sera au centre du récit. L’histoire se situe à la même époque car Maupassant, dans son souci du réalisme, choisit l’époque la plus facile à décrire et détailler : sa propre époque. La fin du 19e siècle est donc le cadre de cette histoire : on y trouve beaucoup d’anciens nobles, possédant une particule

Assurément , nous ne sommes pas les auteurs de la nature bien que nous tâchions depuis DESCARTES de nous en rendre « comme maîtres » . Ne serions –nous pas face à l’histoire dans une situation totalement différente ? Ne sommes-nous pas des êtres historiques beaucoup plus encore que des êtres naturels et ce domaine ne serait-il pas celui vraiment effectif et non analogique de notre maîtrise ? Seuls les hommes ont une histoire disons-nous, car seuls nous avons conscience du temps ,seuls nous nous

Les grandes philosophies de l’histoire nées au siècle précédent semblaient trouver leur confirmation dans la marche plus ou moins chaotique des événements. Le XXe siècle au contraire a été celui des dystopies, ces « contre- utopies » qui faisaient écho non seulement à la montée des régimes totalitaires, mais aussi aux menaces que la technoscience fait peser sur l’humanité, menaces dont les bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki sont l’emblème tragique. La fin du XXe siècle au contraire semblait

Reprise Politiques de la Mémoire Les politiques de la mémoire constituent un sujet marqué par une frénesié commémorative à la fin du Xxème siècle et en même temps des guerres de mémoire qui se sont intensifié durant la dernière décénnie (à propos de mai 68, de Vichy, etc). Ma mémoire est un objet politique mais les guerres de mémoire témoignent de la fin du consensus mémoriel sur lesquels s'étaient contruits les Etats-Nations. Tout se situe entre le "trop et le trop peu de mémoire" (Ricoeur)

2001 Rédaction : La Fin de la guerre froide et les attentats du 11 septembre 2001 sont des faits marquants des années 1990-2000. Ces deux documents présentent des points de vue différents sur la portée des attentats du 11 septembre 2001. Le document 1, « Un « avant » et un « après » 11 septembre » extrait du livre « Ramses, Les grandes tendances du monde » de Thierry de Montbrial parue en 2003 montre que les attentats du 11 septembre 2011 sont un tournant dans l'histoire du monde. Le document

auteurs 1 – Tocqueville, De la démocratie en Amérique II, Quatrième partie, chapitre 6 (1840) : « Quelle espèce de despotisme les nations démocratiques ont à craindre ». 2 – Francis Fukuyama, La Fin de l’histoire et le dernier homme, 1992 (traduction de Denis-Armand Canal). 3 – Philippe Muray, Après l’Histoire, 2000 (texte initialement publié dans la Revue des Deux Mondes en 1998). On ne présente pas Tocqueville (1805-1859) ni son immense somme intitulée De la démocratie en Amérique (publiée en

coopération du lecteur tout au long de l’histoire. C’est une sorte de ‘’promesse’’ que l’auteur fait au lecteur. Dans ce cas-ci, le pacte de lecture nous propose une histoire assez banale d’un enfant qui traverse le tapis en touchant seulement les parties jaunes, chose que tout le monde l’a fait en étant petit. Et le lecteur va même s’identifier à cet enfant. Le choix de narration est un choix externe, le narrateur ne participe pas à l’histoire mais il raconte l’histoire. On imagine ce que fait exactement

l’année passée sur la Révolution française et la fin de l’Ancien Régime ? Au-delà des bouleversements politiques profonds et des soubressauts qui marqueront l’Histoire de la République et de la France au cours du XIXème siècle, la Révolution est aussi le prémice de la révolution économique marquée par l’essor de la Bourgeoisie, une révolution juridique avec l’apparition du Code Civil, une révolution mentale aussi, avec un nouveau sens donné à l’Histoire à travers l’émergence de l’idée de progrès[1]

Les différences dans le cadre narratif sont que dans “Kâli décapitée” l’histoire est racontée par le  narrateur et que Kâli est réellement présente dans l’histoire. C’est­à­dire qu’elle prend la parole  (p.127) alors que dans “La fin de Marko Kraliévitch” la personne qui raconte l’histoire de Marko  est le vieux Stévan qui est lui un personnage de l’histoire. Il reprend les paroles de Marko, se qui  revient à dire que Marko n’est pas réellement présent dans l’histoire.  .c  Kâli décapitée : Son corps a été décapitée

Saint-Barbe. En 1827, il est chargé d'enseigner à l‘Ecole Normale l‘histoire et la philosophie. En 1828, il est nommé précepteur de Louise de Berry, la petite-fille de Louis XVIII. La révolution de Juillet en 1830 met fin au règne de Charles X et installe une monarchie constitutionnelle qui consacre les historiens : Michelet devient chef de la section historique des Archives nationales. Il commence son œuvre historique monumentale, l'Histoire de France. Il est nommé suppléant de Guizot à la Sorbonne entre