Feuilles d'automne

Et que j’aime ô saison que j’aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu’on les cueille Le vent et la forêt qui pleurent Toutes leurs larmes en automne feuille à feuille Les feuilles Qu’on foule Un train Qui roule La vie S’écoule Extrait de Automne Malade Temps passés Trépassés Les dieux qui me formâtes Je ne vis que passant ainsi que vous passâtes Et détournant mes yeux de ce vide avenir En moi-même je vois tout le passé grandir Rien n'est mort que ce qui n'existe

facilite la prise de poids Feuille, fleur : troubles du sommeil Ortie dioïque = Urtica urens ou dioica Urticacées Feuille, parties aériennes : peau grasse, douleurs articulaires Organes souterrains : diurétique, troubles urinaires mineurs Bouillon blanc = Verbascum phlomoides Scrofulariacées 3 espèces = Verbascum phlomoides thapsus densiflorum Fleur mondée : maux de gorge, toux sèche Olivier = Olea europaea Oléacés Feuille : diurétique If = Taxus

naines Qui n'ont jamais aimé Aux lisières lointaines Les cerfs ont bramé Et que j'aime ô saison que j'aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu'on les cueille Le vent et la forêt qui pleurent Toutes leurs larmes en automne feuille à feuille Les feuilles Qu'on foule Un train Qui roule La vie S'écoule Apollinaire - Alcools - Automne malade - I - La thématique de l'automne renouvelée par l'univers personnel du poète Dès la première strophe, l'automne, affublé de l'épithète

La feuille Recueil : Fables De ta tige détachée, Pauvre feuille desséchée, Où vas-tu ? - Je n'en sais rien. L'orage a brisé le chêneQui seul était mon soutien.De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon. Je vais ou le vent me mène, Sans me plaindre ou m'effrayer :Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose Et la feuille de laurier. * Jean-Pierre Claris

| |Au champs lexical de la splendeur automnal (« Vergers », « richesse », « fruits mûrs », « fruits », « cueillir », et « adoré » — où l’on retrouve « – doré » | |comme l’or des feuilles mortes), s’oppose celui de l’hiver destructeur aux portes de l’automne finissant (« malade », « aura neigé », « blancheur », « neige », | |« tombant »).

En cherchant d’la sorte Je n’sais c’qu’on trouva, Mais j’sais que la porte Sur eux se ferma Jean-Baptiste Lulli Colchiques Colchiques dans les près fleurissent, fleurissent Colchiques dans les près : c’est la fin de l’été La feuille d’automne emportée par le vent En ronde monotone tombe en tourbillonnant. Châtaignes dans les bois se fendent, se fendent Châtaignes dans les bois se fendent sous les pas Et ce chant dans mon cœur murmure, murmure Et ce chant dans mon cœur appelle

lumière...  si je suis fermement attachée à mon sol  toujours mariée à la terre  je grandis néanmoins vers le ciel  et je croîs... je mûris en noblesse et en beauté.     Par certains jours noirs et sombres de l'hiver  ou certaines heures d'automne noyées de pluie  je travaille à l'intérieur et j'attends…  Nulle protection ni secours   incertitude maillée d’espérance  je ne commande pas à la nature  je collabore avec elle. Comme un arbre  j'ai mes saisons  mes forces, mes failles. 

correspondance entre une sonorité et une douleur. - La deuxième souligne la tentation de la mémoire et des souvenirs comme remèdes à la fuite du temps. - La troisième conclut sur l'impuissance du poète dont la destinée est aussi fragile que celle des feuilles automnales. On pourra analyser successivement : I. 1re Strophe II. 2ème Strophe III. 3ème Strophe I. PREMIERE STROPHE On remarque qu'elle est construite sur des sonorités sourdes adoucies par de nombreuses liquides (« l », « m »

L. (Famille des Liliacées)[/B] L'ail est un des légumes les plus anciennement connus par l'homme. Il y a 5000 ans il était déjà répandu en Egypte. On lui a toujours attribué de nombreuses propriétés. L'ail est une plante vivace, rustique. Les feuilles sont longues et étroites, contournées. La tige est haute de 40 à 60 cm.  Les bulbes sont composés d'une dizaine de caïeux (gousses) réunis et entourés par une pellicule mince, blanche ou blanc rosé. Planté dans les régions à climat tempéré, il

Mélanie Ceriale Lundi 11 Février 2013 Seconde 4 Ecriture d’invention En ce premier jour d’automne, je me promenais dans cette forêt avec tous ces arbres décharnés de leurs feuilles multicolores. Mon attention était attirée par un arbre en particulier perché sur une haute colline et entouré de ses nombreux corbeaux, volant au-dessus comme une nouvelle proie à chasser. Plus je le regardais, plus