Fertilisation

élevés. Le choix des cultures doit être adapté à la région comme par exemple le maïs dans les régions où il y a de l’eau parce que le maïs a besoin d’eau. Pour refertiliser le sol il faut remettre suffisamment d’engrais pour permettre une bonne fertilisation. Il faut analyser le sol pour savoir où en est le stock. L’agriculteur a besoin d’un niveau de formation suffisant pour comprendre le sol vivant. L’usure des sols a-t-elle des conséquences ? Ces conséquences sont de deux ordres. Tout d’abord

quintaux/ha ammonitrate à 33% N en avril. Le désherbage et l'irrigation seront réalisés dès la première année. La taille de formation commencera la 2éme ou 3ème année après plantation. L'état sanitaire doit aussi être contrôlé. 5) Entretien du sol et fertilisation. Au cours de la phase d'installation de l'oliveraie, le sol devra être maintenu propre par le passage de scarificateur. Dès la 3ème_4ème année, on pourra désherber chimiquement les rangs et continuer à traiter les inter-rangs mécaniquement. On

égard, la plupart des exploitants choisissent d’épandre le fumier en priorité sur les baris les plus proches de l’habitation -- oÙ se trouvent l’étable et la fosse a fumier -- ce, au dépens d’une fertilisation limitée des baris plus éloignes. En résume, la fabrication d’un compost déshydraté et la fertilisation différenciée des baris sont typiquement des exemples de stratégie des exploitants cherchant a optimiser la charge en travail. Dans ces conditions, des propositions d’amélioration auront sans doute

changements climatiques. Le projet VISTA (Vulnerability of ecosystem services to land use changes in traditional agricultural landscape) mené en 2003-2005, a permis de définir différentes trajectoires d'utilisation des terres, allant du labour et fertilisation à l'abandon en passant par la fauche. C'est dans ce cadre, et dans celui du programme Interreg IIIA - Alcotra GestAlp, dont le but est la mise au point d'outils de gestion, de réhabilitation et de l'amélioration de l'espace montagnard au service

organiques (sous-produits de la biomasse, déchets organiques d'origine biologique...) en un produit stabilisé, hygiénique, semblable à un terreau, riche en composés humiques, le compost. Le produit du compostage peut être utilisé à grand échelle pour la fertilisation des terres agricole ou bien aux maisons pour les jardins. d. Le bioéthanol : Le bioéthanol, destiné aux véhicules équipés d’un moteur essence, est un carburant fabriqué à partir de céréales ou de betteraves. Une tonne de céréales permet la

tira son nom de sa bonne résistance. Il pousse à l’état sauvage dans presque toutes les forêts de la zone tropicale africaine. Il se cultive dans les zones basses du centre et de l’ouest de l’Afrique, en Asie, au Sri Lanka, aux Philippines. La fertilisation s’effectue par les insectes butineurs qui réalisent la pollinisation croisée des fleurs d’un arbuste à l’autre. Contrairement aux robustas, les arabicas sont cultivés sur le continent américain (Amérique Centrale et du sud, zone caraïbe. Les

présente, Chacune d’entre elles représentera un champ de compétition autonome La Stratégie Horizontale reviendra à mettre en place les organisations et procédures permettant De développer les synergies entre ces Activités, De maximiser les « Fertilisations Croisées » Stratégie Corporate G Dejean Stratégie d’Entreprise : Analyse Industrielle 7 LES VOIES DE LA CROISSANCE : La DECLINAISON « SPECIALISATION / DIVERSIFICATION » L’arbitrage « Spécialisation / Diversification » doit se décliner

de la jachère. Les paysans avec la sollicitation du maître pratiquaient le défrichement. Tous les ans, il fallait abandonner d’anciens champs que la culture avait épuisés. Les bœufs de charrue qui labouraient la terre contribuaient de même à la fertilisation de la terre. Cependant cet apport d’engrais animal reste très inefficace bien sûr. B/ Le travail de la terre principalement et autres activités L’activité principale rurale est bien sûr le travail de la terre ; la culture la plus dominante

terrain en pente, sans risques de ruissellement et d’érosion. Très bonne utilisation de l’eau par les plantes et diminution des pertes. Automatisation intégrale possible. Pas de lessivage des produits de traitement du feuillage. Fertilisation simultanée facile et rationnelle. Pression nécessaire faible donc consommation faible. Aucune action possible du vent. Liberté d’entreprendre d’autres travaux, simultanément l’irrigation. Inconvénients : Risque d’obstruction

ces gaz : protoxyde d’azote (N2O) ammoniac (NH3) méthane (CH4) L’outil de simulation du CEMAGREF/ADEME Diges peut servir pour faire ces estimations. http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=96&m=3&catid=15559 C. Bilan de fertilisation sur le territoire Par rapport à la situation existante D. Bilan sur l’activité Besoins de formations Créations d’emplois directs et indirects Tout autre indicateur pertinent : nombre de camions, emprise au sol, valorisation d’un déchet