Fernando Collor de Mello

1988 et prévoit l’élection du président au suffrage direct. C’est ainsi qu’est élu Fernando Collor de Mello qui prend des mesures drastiques de lutte contre l’inflation provocant alors l’une des plus graves récessions du Brésil. La Chambre des députés entame une procédure contre Mello pour corruption et il finit par démissionner en 1992. Le vice-président Itamar est investi comme président du Brésil. En 1995, Fernando Henrique Cardoso gagne les élections et le Brésil décolle économiquement bien que

améliorations sociales. Ainsi, nous nous intéresserons aux tentatives de réduction des inégalités sociales car elles accompagnent l’essor économique du pays et se placent au cœur de la politique au Brésil de ces dernières années depuis le premier mandat de Fernando Henrique Cardoso. Il est alors pertinent de poser la question suivante : Dans quelle mesure la bonne santé économique de Brésil a-t-elle permis la correction des inégalités sociales qui caractérisent le pays ? Et les fruits de sa croissance économique

Pero Vaz de Caminha ao Padre Vieira (no século XVII), dos Inconfidentes Mineiros (século XVIII) às revoltas populares do século XIX (Canudos, Pedra Bonita), do Estado Novo (ditadura fascista dos anos 30 e 40) à Nova Repúbüca (1985) e Fernando Collor de Mello (1990), o mito fundador não cessou de repor-se em vestes novas. Quando lemos os diários de viagem e as cartas de Colombo ou Vaz de Caminha ou as obras políticas do Padre Vieira, um traço lhes é comum: a América, primeiro, e o Brasil, depois

2006. HEAD OF STATE: President Luiz Inácio Lula da Silva (2003) HEAD OF GOVERNMENT: President da Silva (2003) OFFICIALS: José Alencar, Vice President Roberto Rodrigues, Agriculture Miro Teixeira, Communications José Viegas Filho, Defense Luiz Fernando Furlan, Development, Trade & Industry Marina Silva, Environment Antonio Palocci, Finance Celso Luiz Nunes de Amorim, Foreign Affairs Jaques Wagner, Labor Dilma Rousseff, Mines & Energy Guido Mantega, Planning & Budget Roberto Amaral, Science & Technology

République. 1970 : Début de la dictature militaire. 1989 : Premières élections au suffrage universel. Fernando Collor de Mello est élu président par le peuple, mais sera destitué en 1992. 1990 : Période d’instabilité économique. Inflation de 200 % par mois. Le Brésil change plusieurs fois de monnaie (cruzeiros, novos cruzeiros, cruzados, novos cruzados). 1994 : À la tête d’une coalition centre-droit, Fernando Henrique Cardoso remporte les élections et établit la nouvelle monnaie : 1 real = 1 US$. 2002 :

commence[90]. La cérémonie d'ouverture de 1990 a lieu dans un stade San Siro rénové et devenu Stadio Giuseppe Meazza. La présence de quatre chefs d'États : le président du pays organisateur, l'Italien Francesco Cossiga, le président brésilien Fernando Collor de Mello, le président camerounais Paul Biya et le président argentin Carlos Menem, ces deux derniers assistent au match d'ouverture opposant leur nation[91], montre l'intérêt croissant pour la cérémonie. Des gymnastes présentent les drapeaux des

nouvel AIC et un document est publié qui contient les idées de l’Administration Bush sur la forme qu’il pourrait revêtir. Décembre 1991 : Pendant des pourparlers avec Cesar Gaviria (le nouveau Président de la Colombie), le Président du Brésil Fernando Collor de Mello (élu en mars 1990) accepte en principe d’appuyer les efforts destinés à rétablir les contingents lorsque l’industrie locale – étant donné son rôle de premier plan dans l’élaboration des politiques – pourra adopter une position commune. Mars

2002 68 [...] Plus d’un demi-siècle plus tard, en mai 1992, l’attention de GDF SUEZ fut attirée par l’annonce de la privatisation de certains services publics au Brésil. Ce pays était alors en pleine mutation. Le premier président élu, Fernando Collor de Mello (1990-1992) entamait la lutte pour le redressement de l‘économie avec de lourds handicaps : surendettement de l’État, hyperinflation, secteur public pléthorique et en faillite virtuelle. Son administra tion tentait d’imposer une série de