Femme libérée

Français (écriture d'invention) Mouret entra avec Valagnosc et Bourdoncle à ses côtés, cette petite escapade dans les rayons fut décidée par Octave pour flatter son égo, en effet sa collection et ses nouveautés d’hiver faisaient l’objet d’un véritable succès. Il salua donc les femmes présentes, dont Henriette, et fut coupé par Bourdoncle qui n’arrêtait pas de la féliciter ; Octave acquiesça, les affaires marchaient très bien. Puis toute l’attention revint sur Denise, en effet Mouret s’était excusé

m’adresse à vous aujourd’hui car j’ai eu le plaisir de lire votre recueil de nouvelles : « Le ramadan de la parole » Et pour être tout à fait franche, vous m’avez très agréablement surprise, Car il n’est pas aisé de parler de la condition de la femme dans la société de nos jours, d’une façon aussi agréable et légère que la votre ! Ma première idée a été de penser qu’il n'y avait aucun rapport entre ces nouvelles mais après plus mure réflexion, j’ai pu constater que ces adolescentes

particulièrement celle des ménages retraités. L’égalité hommes/femmes progresse également au XXe siècle. C’est d’abord dans le domaine juridique (égalité de droits civils) que la condition féminine progresse. Dans le code Napoléonien de 1804, la femme est traitée comme une incapable – au même titre que les fous ou les enfants : elle ne peut rien posséder en propre. Des droits lui sont petit à petit octroyés ; en 1965 elle peut enfin exercer la profession de son choix, sans autorisation de son

Analyse de texte: Les Femmes savantes L'extrait dont nous allons traiter est tiré de l'œuvre de Molière, les Femmes savantes, paru pour la première fois au théâtre en mars 1672. Cette comédie de mœurs en alexandrins parle du mariage, de l'éducation des filles, de l'amour, on y trouve également un peu de féminisme. Henriette et Clitandre s'aiment et veulent se marier. Pour cela, ils doivent avoir le consentement de la famille d'Henriette. Chrysale, le père d'Henriette n'y voit pas d'inconvénient

de Volanges l'existence d'une correspondance entre sa fille et le jeune Danceny. Lettre 29 Cécile ne démord pas de son amour pour la marquise. "Mon Dieu, que je l'aime madame de Merteuil !" Elle ajoutera plus loin "Elle est si bonne et c'est une femme bien respectable" -- victime idéal des liaisons

MAADINI « C’est par le travail que la femme moderne a franchi la distance qui la séparait de l’homme » Analysez ce sujet. La femme est un être humain à part entière, capable d’assumer certaines taches dans la société humaine, comme l’homme. Mais, jusqu’à ce jour, l’homme continue à garder une certaine distance vis – à – vis de la femme. Le travail rapproche – t – il de l’homme, la femme dite moderne ? Dans la société africaine traditionnelle, la femme était liée par la coutume. Son rôle

Dans quels lieux se déroule le roman et quelle est leur valeur symbolique ? L’opposition manifeste de deux milieux dans le roman peut aussi se retrouver dans le support spatial symbolique. Pour ne pas perdre le lecteur, peu de lieux sont finalement évoqués : Le théâtre, lieu où l’acteur se produit (notion de « rôle » dans Nana), symbolise déjà l’action du roman et l’opposition entre le monde de Nana et l’autre, souligné par le contraste scène,coulisses/gradins . Au début du roman, Nana vit

Volange. Toutes sont différentes: Cécile est la jeune prude, Tourvel est la jeune femme naïve, et Madame de Volange ainsi que Madame de Rosemonde représentent la sagesse de la femme expérimenté. La gente féminine est mise à mal par les libertins (Valmont et Merteuil) dans le roman. Comment, la vision qu’on se fait de la condition féminine est-elle perturbé? Dans un premier temps nous étudirons la place de la femme dans cette société, par la suite nous verons les différents regard que porte les

de plus, le désir fou que George Duroy à de vouloir charmer les femmes, ici étant Madeleine Forestier qui le fascine depuis leur première rencontre. Mme Forestier, elle, est décrite comme une femme gêné par ces avances et troublé par l’envi que Duroy a de la séduire George Duroy désir possédé cette femme qui le fascine et qui semble charmé par lui « il lui avait plu, depuis longtemps peut-être » (l.29), il va jusqu’à ce soumettre à Madeleine pour la séduire: « j’aurais fait tout ce que vous m’auriez

qui lui est accordé (p.99-117) Cette visite de Rastignac à la vicomtesse voit son importance soulignée par le narrateur, « il allait donc voir pour la première fois les merveilles de cette élégance personnelle qui trahit l'âme et les mœurs d'une femme de distinction. » (p.99). Après avoir perdu l'espoir de séduire la comtesse Anastasie de Restaud, il va chez sa cousine pour qu'elle lui conseille le chemin à suivre dans sa quête, car Eugène veut y « parvenir ! » au sens de Vautrin (p.151). Tout