Félix Éboué

BIOGRAPHIE DE FELIX EBOUE Adolphe Sylvestre Félix Eboué, né le 26 décembre 1884 à Cayenne était le quatrième fils d'une famille de cinq enfants. Il était un administrateur colonial, résistant et homme politique  français. Le 14 juin 1922, Félix Éboué s'est marié à  Saint-Laurent-du-Maroni avec Charlotte Andrée Eugénie . SON PARCOURT Il vécu à Cayenne jusqu'en 1898, Après de brillantes études il obtient une bourse d'étude pour la France et part à Bordeaux au Lycée Montaigne. Félix Éboué

olphe Sylvestre Félix Eboué né le 26 décembre 1884 à Cayenne était le quatrième fils d'une famille de cinq enfants. Son père Yves Urbain Eboué fut d'abord chercheur d'or sur le placer "Enfin" (Haute Mana) avant de finir directeur-adjoint du placer "Dieu Merci". Sa mère, Marie Joséphine Aurélie Leveillé, originaire de Roura remplaça les absences fréquentes et prolongées de son mari pour élever ses enfants. Mme Eboué possédait une connaissance pointue des traditions guyanaises en particulier des "dolos"

Félix Éboué De Gaulle et le gouverneur-général Félix Éboué au Tchad vers octobre 1940. Adolphe Sylvestre Félix Eboué (26 décembre 1884, Cayenne, Guyane française - 17 mai 1944, Le Caire, Égypte) était un administrateur colonial, résistant et homme politique français. Il est membre de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) jusqu'en septembre 1939 et franc-maçon. Il fut en son temps un grand humaniste. Sa fille, Ginette Eboué, a été mariée de 1946 à 1956 au président sénégalais

France Libre " , nom officiel du mouvement gaulliste, place à sa tête un Comité national français qui se dote d'organes gouvernementaux, enregistre le ralliemet de certaines colonies d'Afrique équatoriale à la suite du Tchad que le gouvernement Félix Eboué entraine derrière le général De Gaulle , et , grâce au ralliement de petits contingents conoliaux, telle l'unitié du colonel Lecler, réussit a équiper une petite armée qui prend le nom de Forces Françaises libres en été-automne 1940 . Sous le commandement

rue dans laquelle il mourut à Houilles près de Paris. Des billets de 5000 francs à son effigie circulèrent en Martinique et un musée fut érigé à Fessenheim, lui étant consacré. Ces cendres furent transférées au Panthéon en même temps que celle de Félix Eboué en 1949. [pic] [pic] [pic] [pic] [pic] [pic] [pic] [pic][pic] [pic]

villette et servait d'abreuvoir pour le bétail. ). L'élévation du " château d'eau" est enrichie de bas-reliefs et flanquée de deux pilastres qui servent de piédestaux a des figures de lions d'où l'eau jaillit. La fontaine aux lions de la place Félix Éboué, conçue par Davioud sur des indications du baron Haussmann, sera installée place du Château-d'Eau (actuelle place de la république) aux alentours de 1875. Elle y remplacera la fontaine aux lions de Nubie, devenue trop petite lors de l'élargissement

de donner à la place du Château-d’Eau le nom de « Place de la République » et d’y élever un monument à la gloire de la République à la place de la fontaine aux huit lions de Gabriel Davioud transportée en 1880 place Daumesnil (aujourd’hui place Félix Éboué), elle avait déjà remplacé la fontaine du Château d’Eau de Pierre-Simon Girard déplacée à son tour dans la cour d’entrée de la halle aux bestiaux de la Villette, où on la voit toujours. LES PROJETS Un concours ouvert en 1878 par le Conseil municipal

| | | | | |Félix nous donne sa vision de l’amour pour la premier femme : | |« tandis que de la première femme aimée, nous aimons tout » ; « ses intérêts sont nos intérêts, son malheur est| |notre plus grand malheur »

et la deuxième partie; « Les premiers amours » est elle, parue pendant le mois de Décembre. « Le lys dans la vallée » est une histoire d'amour impossible entre Félix de Vandenesse, cadet d'une famille aristocratique et Henriette de Mortsauf, la vertueuse épouse du Compte de Mortsauf, un homme sobre et violent. Le récit est conté par Félix qui s'adresse à Nathalie de Manerville sa maîtresse. Il lui raconte donc son enfance plutôt malheureuse avec une mère peu aimante un frère favori et des sœurs peu

extranjero en su propia familia, Gregor Samsa en “La Metamorfosis”. Esta situación singular de extranjero en su propia lengua y en su propio país es una de las características de lo que Deleuze y Guattari llamana “literatura menor”. (Gilles Deleuze, Félix Guattari, “Kafka. Por una literatura menor”). Se refieren a una literatura de una minoría en una lengua mayoritaria. Kafka, judío, pertenece a una minoría; escribe en alemán, pero los checos que utilizan ese idioma son también minoría, y además se