Félix du Temple

L'ARC DE TITUS ET LES DÉPOUILLES DU TEMPLE DE JÉRUSALEM Conférence faite à la Société des Études Juives le 3 mai i8go PAR SALOMON REINACH A t t a c h é des Musées N a t i o n a u x PARIS LIBRAIRIE 83 bis , A. R U E DE DURLAGHER LAFAYETTE 189O L'ARC DE TITUS L'ARC DE TITUS CONFÉRENCE FAITE A LA SOCIÉTÉ DES ÉTUDES J U I V E S L E 3 MAI PAR SALOMON REINACH ATTACHÉ DES MUSÉES NATIONAUX PARIS LIBRAIRIE A. DURLACHER 83 B I S , RUE DE LAFAYETTE 1890 1890 L'ARC DE TITUS

commerciale importantes 3, Pompéi est bâtie sur un site idéal (cf. supra). ------------------------------------------------- Influences diverses Au vie siècle av. J.-C., les Grecs introduisent le culte d’Apollon (construction du temple d’Apollon ; construction du temple dorique sur l’agora triangulaire). Pompéi n’est qu’une base pour contrôler les débouchés de l’arrière-pays, très fertile. La cité fut sujette aux Étrusques pendant presque cinquante ans (jusqu'en 474 av. J.-C.) lorsque ceux-ci occupèrent

fait de lui un éternel vainqueur. Il célèbre un triomphe le 29 et le 30 janvier 81 pour ses victoires en Asie. Ce triomphe, voté et financé par le Sénat est le plus fastueux qui ait jamais eu lieu jusque là. A cette occasion, il reçoit le surnom de felix. Il fait traduire ce surnom en orient qui devient Epaphrodite, ce qui signifie favori d’Aphrodite. Sylla justifie ainsi son action puisqu’il affirme bénéficier de l’appui des Dieux. De plus, une fois la terreur des premiers temps passés, Sylla se

de Bulgarie. Le mouvement manichéen à l’origine du catharisme aurait ensuite atteint l’Italie au cours du Xe siècle, avant de s’étendre au Midi de la France au XIIe siècle. C’est en effet à cette période qu’une assemblée cathare se réunit à Saint-Félix-de-Caraman (1176) pour organiser plus concrètement le culte et mettre en place une véritable Église. Profondément ancrée à Albi, les cathares seront aussi appelés "albigeois". La doctrine cathare Le catharisme s’est développé en France au XIIe siècle

qu’il découvre dans les galeries, les Salons parisiens. Degas lui inspire des angles de vus originaux, le principe poétique d’une « théâtralisation » du monde. A Albert Marquet, il emprunte la structure massive de ses vues des quais de Seine. Avec Félix Vallotton, il partage le goût d’une lumière in spirée de Vermeer. De Walter Sickert, il retient l’iconographie des lieux de spectacle, la peinture d’une chaire damnée. A Paris, Hopper adopte le style de l’Impressionnisme, une technique qui lui semble

Certaines natures mortes emblématiques juxtaposent les outils du constructeur (équerre, compas) et les attributs du musicien, et certains (auto)portraits d'architectes sont munis de partitions ou d'instruments de musique. Dans la Construction du Temple de Jérusalem du Pesellino, le roi Salomon tient un psaltérion. Enfin, les références à la musique abondent dans l'esthétique architecturale. Mais la réciproque n'est pas moins vraie, et les allers et retours sont fréquents. Cesariano cite Gafurius

photographie, y compris, depuis peu, travaillée avec des techniques numériques – de transmettre le monde réel et la relation que l’homme entretient avec l’espace et le temps, avec le matériel et l’immatériel (le DAGUERRE, le boulevard virtuel). du temple à paris, 1839. La série photographique lui permet de donner à voir l'écoulement du temps par Photographie et Land Art. le mouvement des objets dans l'espace. La photographie se fait donc témoin du temps qui passe, elle enregistre le réel pour

scandaleux, la même année, sa mère décède. Il publie « Au bonheur des dames » en 1883 et « Germinal » en 18852. A partir de 1897, Zola s’engage dans l’affaire Dreyfus3 et le 13 janvier 1898, il publie une lettre ouverte au président de la République Félix Faure dans le journal l’Aurore de Georges Clemenceau. Intitulé « J’accuse… ! », cet article fait suite à l’acquittement d'Esterhazy, prend parti pour Dreyfus et dénonce un procès inique et mensonger. C’est le véritable point de départ d’un scandale

ascendimus urbem… Solemnes tum forte dapes et tristia dona… Libabat cineri Andromache, Manesque vocabat Hectoreum ad tumulum, viridi quem cespite inanem, Et geminas, causam lacrymis, sacraverat aras… Dejecit vultum, et demissa voce locuta est : « Ô felix una ante alias Priameïa virgo, Hostilem ad tumulum, Trojae sub mœnibus altis, Jussa mori, quae sortitus non pertulit ullos, Nec victoris heri tetigit captiva cubile ! Nos, patria incensa, diversa per aequora vectae, Stirpis Achilleae fastus, juvenemque

ascendimus urbem... Solemnes tum forte dapes et tristia dona... Libabat cineri Andromache, Manesque vocabat Hectoreum ad tumulum, viridi quem cespite inanem, Et geminas, causam lacrymis, sacraverat aras... Dejecit vultum, et demissa voce locuta est : "O felix una ante alias Priameïa virgo, Hostilem ad tumulum, Trojae sub moenibus altis, Jussa mori, quae sortitus non pertulit ullos, Nec victoris heri tetigit captiva cubile ! Nos, patria incensa, diversa per aequora vectae, Stirpis Achilleae fastus, juvenemque