Félix du Temple

yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir, et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des voeux assidus je crus les détourner, Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner. De victimes moi-même à toute heure entourée, Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée. D'un incurable amour remèdes impuissants ! En vain sur les autels ma main brûlait l'encens. Quand ma bouche implorait le nom de

alzheimer-paris.org Permanences d’accueil à Paris Café Alzheimer® Café de la mémoire® Café débat Alzheimer® Programme d’aide aux aidants Atelier musique et informatique - Visite de musée Association France Alzheimer Paris Ouest et Centre 69 avenue Félix Faure 75015 Paris tél : 01 45 57 27 31 Permanence mardi mercredi jeudi 10h-12h 14h30-17h site Internet : www.francealzheimer.org Association France Alzheimer Paris S.E.N. Hôpital Notre-Dame de Bon Secours 68 rue des Plantes 75014 Paris tél : 01 40

restaurant l’ordre moral en promulguant des lois contre l’adultère, le luxe, c’est la première fois dans la cité. Il va, pour finir de construire son image, utiliser la religion en se prétendant le protégé de la déesse Vénus et décide de se faire appeler « Félix » (fortuné, heureux avec une dimension sacrée). Il diffuse l’image d’un homme choisi par les dieux pour accomplir un destin exceptionnel. Il incarne le tyran par excellence : un homme seul au pouvoir. En -80 ou -79, il dépose brutalement le pouvoir

après 6 campagnes. Les questeurs sont élus par les comices tributes. Ils avaient des compétences essentiellement financières. Ils étaient chargés d’administrer le trésor du peuple romain sous la surveillance du sénat. Le trésor se trouvait dans le temple de Saturne sur le forum. Il devait aussi surveiller les archives. Il ne détenait que la potestas. Plus tard au moment de la conquête, les questeurs pouvaient également accompagner les armées pour s’occuper de toutes les questions d’intendance

social. Le propos de la méthode ethno-morphologique fait écho à un débat : l'“art africain” relève-t-il de l'ethnologie ou de l'esthétique ? Une controverse qui n’est pas nouvelle et dont on trouve un énoncé dès 1920 dans une enquête réalisée par Félix Fénéon et publiée dans le Bulletin de la vie artistique. La question posée à des artistes, écrivains et ethnologues était celle-ci : « les arts nègre iront-ils au Louvre ? » Comme pour trancher ce débat (d’ailleurs réactualisé en 1983 puis en 1995)

renvoient dans sa famille, fortement amaigri[n 4] . De juillet à novembre 1814, il est externe au collège de Tours. Son père ayant été nommé directeur des vivres pour la Première division militaire, la famille déménage à Paris et s’installe au 40, rue du Temple, dans le quartier du Marais. L'adolescent est admis comme interne à la pension Lepître, située rue de Turenne à Paris, puis en 1815 à l’institution de l’abbé Ganser, rue de Thorigny. Les élèves de ces deux institutions suivent en fait les cours du

françaises, ont conscience des évolutions récentes de ce monde, et pensent pouvoir peser dans ces nouvelles relations internationales. Elles ont selon R.Rémond « pris conscience de leur identité ». Les apôtres de la décolonisation sont passés par ces temples humanistes que sont les grandes écoles occidentales : Senghor et Césaire, les chantres de la négritude, se sont côtoyés sur les bancs de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm et sont parmi les premiers à réussir l’agrégation de grammaire. Gandhi

· Retronews , le site de presse de la BnF, dossier sur le Second Empire (1852-1870). · Olivier Ihl, « Dans l’œil du daguerréotype. La rue du Faubourg-du-Temple, juin 1848 » , dans Études photographiques , n°34, printemps 2016. · Morgane Avellaneda, « George Sand et la Révolution de 1848 » , dans Le Blog Gallica

s'étonne de vivre une heure, et qui prend les clartés de la lampe éternelle pour une étincelle qui sort d'un caillou ! Amour, ô principe du monde ! flamme précieuse que la nature entière, comme une vestale inquiète, surveille incessamment dans le temple de Dieu ! foyer de tout, par qui tout existe ! les esprits de destruction mourraient eux-mêmes en soufflant sur toi ! Je ne m'étonne pas qu'on blasphème ton nom ; car ils ne savent qui tu es, ceux qui croient t'avoir vu en face parce qu'ils ont ouvert

figurez-vous qu'il y a un coeur dont vous ne pourriez vous moquer sans cruauté, et où votre image vit toujours." Titre en 1855: La Confession. 326. Cf. Les Phares (poème VI), v. 31-32. 327. Allusion à la hotte du chiffonnier?: dans un drame de Félix Pyat, Le Chiffonnier de Paris (1847), il est question de ces "rebuts [...] que le temps, ce maître chiffonnier, ramasse dans sa grande hotte" (C.B.). Voir, Le Vin des chiffonniers (poème CV), et, dans Du vin et du haschich (Pl. I, p. 381-382), les