Fédération syndicale unitaire

populations allemandes d’Europe de l’Est. Q1 : L’URSS annexe d’importants territoires d’Europe de l’Est. Les pays Baltes devient des Républiques de l’URSS, tout comme la Moldavie une ancienne province Roumaine ; D’autres territoires sont rattachés à La Fédération d’Ukraine ou à celle de Russie. Q2 : La carte met en évidence 3 situations différentes : - Les Etats libérés par l’Armée Rouge (P, Tch, H, B, Ro) - les Etats libérés par la résistance communiste (A, Y) - le cas particulier de l’Allemagne et de l’Autriche

que du fait de la diversité du corps social. À priori, on a une apparente unité qui va transparaitre sous des notions comme le peuple, les notions de gouvernés, les notions de citoyens, d’électeurs. Or, on s’aperçoit que derrière ces notions unitaires il y a une réalité qui elle est beaucoup plus complexe et extrêmement diverse. Bien sûr, globalement, on peut dire que la population d’un Etat donné est unie par un sentiment national commun mais il n’en reste pas moins que cette société, cette nation

n'ont pas le droit de grève, les militaires, par exemple, n'ont pas le droit de grève, et n'ont pas de liberté syndicales, on les appelle en France "la grande muette", ils ne peuvent exprimer leurs revendications syndicales, si ils ne sont pas contents, il faut qu'ils le fassent remonter par la voie hiérarchique. La police n'a pas le droit de grève non plus, mais ils ont le droit syndical. Les militaires sont dans une situation très spéciale, il y a un système juridique particulier, au nom de la continuité

organisent le pouvoir politique dans la cité et que l’on peut comparer à une constitution (et cela jusqu’en 1794). b) L'Etat unitaire centralisé: la République helvétique de 1798 à 1803 Cet état unitaire et centralisé est doté d’une constitution. Les cantons perdent leur souveraineté. Ce ne sont plus que des circonscriptions. La constitution de 1798 est la source de cet état unitaire, elle régit l’organisation de la république helvétique. Elle s’inscrit dans la droite ligne du mouvement de constitution

confiée au Roi hollandais. Malgré sa dualité linguistique, le jeune Royaume belge, heureusement conforté par la Constitution alors la plus avancée d’Europe (ce qui en fit le premier à être qualifié de monarchie républicaine), a alors pour fondement unitaire des structures politiques, sociales, économiques et culturelles homogènes, sa foi et sa culture catholiques, et un formidable allant économique, qui accompagne la révolution industrielle naissante ancrée en Wallonie. La jeune nation belge a alors

nombreuses associations « font de l’économie solidaire sans le savoir », alors que des initiatives très similaires existent dans d’autres champs d’activité. D’autre part, il y a un intérêt manifeste de la part d’associations, Introduction 9 de fédérations et de réseaux pour ce concept, particulièrement pour certaines expériences de commerce équitable ou de finances solidaires. Toutefois, la confusion demeure dans les esprits car de nombreux concepts voisins mais différents sont souvent mélangés ou

selon la sorte de pain fabriqué, comme le montre le schéma 1 à la page suivante. Des économies d’échelles ont ainsi pu être réalisées, en lien avec cette mécanisation et industrialisation. Utilisées dans le secteur agroalimentaire industriel, le coût unitaire du pain est de ce fait plus bas que dans les boulangeries traditionnelles. La durée de vie du produit varie selon le besoin du consommateur mais reste limitée. Le pain est une denrée périssable, dont le principal ennemi est la moisissure. De

du suffrage universel, c'est l'entrée des masses populaires (essentiellement la classe ouvrière soit 30% de la pop) dans le processus politique. Cette classe entend être représentée, et là il y a peu de leader d'opinions, à part quelques leader syndicaux. Ce qui fait sa force est le nombre, qui, moyennant cotisation, va permettre de diffuser les tracts, coller des affiches, rassembler des foules aux meetings, etc. On insiste là sur le nombre et non pas sur la qualité ou l'importance sociale. Cela

sont capables d’exercer sur les différents gouvernements et organisations. +La société civile : Ce sont les acteurs les plus nombreux de la mondialisation. On estime qu’une société civile est composée d’individus, de groupes sociaux, de groupes syndicaux, de groupes environnementaux entre autres. La société civile est très active en ce qui concerne la dénonciation des effets collatéraux de la mondialisation. Pour avoir plus d’impact, certaines Organisations Non Gouvernementales (ONG) d’ordre mondial

retirer; la coutume les a faites constitutionnelles et même supraconstitutionnelles, car elles échappent également au pouvoir de l'Assemblée Nationale. Qu'on songe à tout ce qu'on appelle les conquêtes de la démocratie, qu'on songe à la liberté syndicale, qu'on songe aux mesures de protection du travail, ou si l'on veut un exemple plus frappant encore, qu’on songe à l’abolition de l'esclavage, et l'on reconnaîtra que ces règles ne sont pas sous la dépendance du législateur. Elles font partie de ce