Fauve

surnommé "la Limace" à cause de sa transpiration excessive, était persuadé que les Shuars étaient les criminels. Mais Antonio José Bolivar, vieil homme ayant d'immenses connaissances sur la foret, conclut qu'il s'agissait en réalité de l'acte d'un fauve. Antonio José Bolivar avait emménagé dans la région il y a de cela plusieurs années. Il était accompagné de sa femme, mais celle-ci mourut deux années plus tard à la suite d'une maladie. Antonio se rapprocha alors de la nature et alla à la rencontre

fauves ils cherchent de nouvelles manières de peindre. Ils utilisent un dessin simple souvent volontairement gauche et juxtaposent des couleurs violentes pour traduire le mouvement et la profondeur. La peinture fauve s’attache particulièrement au travail de la couleur. Le terme « fauve » peut exprimer l’aspect nature, vif, spontané, presque sauvage de l’emploi de la couleur. Le fauvisme se caractérise par la simplification des formes, des perspectives et des ombres et surtout l'utilisation des couleurs

mains ''au poils touffus et d'un roux ardent'' ce qui souligne le caractère fauve du personnage (fauve renvoie à une bête sauvage, se dit des grands animaux féroce). Vautrin est décrit selon des traits physiognomonique, le physique relève du caractère, le physique permet donc de tiré des conclusion sur le caractère. L'évocation de la rousseur, des favoris peint, peu faire penser que le personnage veut caché l'aspect fauve qui est en lui, mais l'animalité de Vautrin se lie entre les lignes du texte

l'antre du fauve. Une à une, il décocha ses flèches mortelles. Chacune touchait sa cible, mais l'animal était invulnérable, sa peau était si dure qu'aucune flèche ne pouvait l'entamer. Les flèches dérisoires ricochaient sur la terre. Héraclès ne se laissa pas impressionner et, poussant un grand cri, il se précipita sur le monstre en brandissant son énorme massue. Le lion, effrayé et surpris, s'enfuit dans son antre qui avait deux entrées. Héraclès en boucha une et pénétra par l'autre. Le fauve, acculé

leur donner le minimum de mal à attraper. Ce sont des animaux malades, vieux, isolés, qui vont être les moins rapides ou combatifs. Quand on les voit jouer avec leur proie qui combat encore avec l’énergie du désespoir, on dit bien souvent que le fauve essaye de la convaincre que le meilleur endroit au monde se trouve entre ses pattes. En prenant en exemple les méthodes de chasse des grands fauves se dessine une démarche commerciale qui est loin d’être « fair-play » mais qui peux être diablement

à partir d’images des différents personnages, leur associer leurs substituts à l’aide d’étiquettes- mots Réponses attendues : un énorme lion (l.1), ce monstre redoutable (l.2/3), l’animal (l.5), le fauve (l.6), le lion (l.8), du fauve (l.8), l’ (l.9), le lion (l.10), du fauve (l.11), le lion (l.11), l’animal (l.12), l’ (l.13), la bête (l.14) du lion (l.15) Dans la forêt de Némée vit un énorme lion qui dévore tous les troupeaux. Le roi demande à Héraclès, son plus grand

d’icônes, des représentations qui nous font deviner de quoi il est question sans l’être vraiment. Dans ce cas-ci, il y a entre autres une énorme corne qui se trouve dans un imposant cube de verre. Lorsqu’on les voit notre imagination devine que c’est un fauve dont les personnages parlent. Par contre, il utilise également des symboles. Quelque chose qui n’est pas représenté de façon claire car nous devons interpréter entre les lignes pour savoir ce que c’est. Dans cette pièce, les sacs roses dans les cubes

comportement des personnages face à une situation inconnue. Tout d'abord, on peut remarquer que la scène de panique est un moment très bruyant. En effet on relève le champ lexical du bruit : « fait tomber sa chaise », « bruits », « course du fauve », « une bouteille se brise », « sabots », « barrissements ». On distingue également toutes sortes de bruitage. On remarque des sons causés par l'agitation des personnages qui apparaissent affolés, ce qui les conduit à perdre leur calme, « fait tomber

orange – vert clair. Bélier: blanc – vert clair. Bison: fauve – marron clair. Blaireau: violet – blanc. Castor: bleu clair – noir. Cerf: marron foncé – violet. Chamois: marron foncé – bleu ciel. Chevreuil: marron clair – vert clair. Chien: violet – orange. Chouette: violet – fauve. Cigogne: blanc – rouge. Coq: vert foncé – jaune. Cormoran: vert foncé – gris. Courlis: vert foncé – bleu ciel. Coucou: gris – noir. Crocodile: vert foncé – fauve. Cygne: rouge – blanc. Daim: marron clair – violet. Dauphin:

à revoir sa femme en pensée ; le toucher lui évoque la mémoire du regard de sa femme c’est là qu’apparait la synesthésie .Baudelaire compare sa femme, ou son amante à un chat un animal raffiné, de luxe mais qui malgré tout garde son côté animal et fauve. On peut le voir dans le premier vers : « Viens mon beau chat, sur mon cœur amoureux : Retiens les griffes de ta patte,