Faut Il Toujours être Rationnel Et Raisonnable

un ordre d’action ne se discute pas, on en assure le bien fondé rationnel. Il devra obéir parce qu’il faut obéir. En revanche, l’enfant à qui on impose des règles et à qui on pose des questions aura un rapport au monde qui sera pertinent. Il peut chercher lui-même mais il faut trouver le bon moment pour en discuter. On ne peut pas en ce qui concerne la compréhension du monde le laisser chercher seul et dire « il faut parce qu’il faut ». Quand quelqu’un nous impose une idée de l’extérieur, c’est une

avant d'agir? (Action) Nos actes sont-ils toujours réfléchis ? (Action) Qu'est ce que ne rien faire? Peut-on dire du doute qu'il est utile a la connaissance et nuisible a l'action ? (Action) Est-ce nécessaire d'avoir des règles ? (Action) "Soyez réalistes, demandez l'impossible!" (Action) "Repartir a zéro " Quels thèmes / idées peut-on employer pour répondre et argumenter le thème ? (Action) Est-il bon d'avoir peur? (Action) L'action pratique peut-elle etre autre chose que la recherche du moindre mal

fois eu niveau individuel et collectif , il s'agit d'appréhender la justice chez l'homme et dans la cité . Pour platon la question de liberté est inhérente à celle de la justice . Il existe une politique de l'être , une moralité de l'être , il faut s'orienter vers la manière d'être qui comporte le plus de vérité . 3°°Il y a une tripartition tant au niveau de l'âme que dan la cité . La sagesse se trouve chez les gardiens, elle nous renvoie à la raison et permet à condition de l'exercer le

Dylan Crochon TL Philosophie Faut-il enterrer le passé ? En présence continuelle d’une dimension temporelle révolue et irréversible, celle-ci pèse sur l’homme comme étant un lourd fardeau. Constamment l’homme sera englouti par le passé de ses ancêtres mais aussi par le sien, il ne peut y faire grand-chose si ce n’est d’accepter celui-ci

prisonniers, qu’on le force à se dresser soudain, à tourner le cou, à marcher, à lever les yeux vers la lumière » … L’interprétation scolaire de l’allégorie se borne ici à invoquer la figure du « philosophe » et à louer les vertus de la connaissance rationnelle – sans s’attacher plus avant au statut de ce « on ». Mais ne présuppose-t-elle pas alors ce qu’il s’agit d’établir ? La question n’est-elle pas précisément de savoir comment l’on devient philosophe ? Et la raison ne doit-elle pas, pour jouer le

: même ce droit si “ne peut être purement et simplement constaté et pour être il a besoin d'être interprété” = Le droit n'existe jamais en dehors de son application, de sa mise en œuvre concrète - Pas de réflexion pertinente sur le droit qui ne s’ancre dans l’expérience juridique Mais pratique du droit privant celui-ci de ses fondements philosophiques = mauvaise car le droit est produit dans l'effort intellectuel : n'est jamais extérieur à la conscience humaine. Il faut donc le replacer dans son environnement

facilement car le cœur à ses propres raisons tandis que notre cerveau, lui ne pardonnera pas si facilement. On se dit qu’il ne faut pas pardonner certaines choses comme la trahison, l’adultère. On a donc un choix : perdre la personne qu’on aime ou alors continuer à l’aimer malgré ses erreurs. Si l’amour est toujours présent, on finit toujours par pardonner. Notre cœur prend toujours le contrôle de nos choix amoureux. On aimerait tous savoir « le pourquoi » mais seul le cœur en connaît la véritable réponse

réussite de chacun. Le postulat de l’individu autonome et raisonnable Notre société exige de nous que nous correspondions le plus possible à un idéal : celui de l’homme autonome, raisonnable et logique. Cela suppose que l‘individu soit “prévisible”, qu’on puisse anticiper et compter sur un comportement dit “normal” de sa part. Or, les individus se comportent souvent de manière inattendue et paradoxale. Les autres n’agissent pas toujours comme on le voudrait pour que nos propres projets se réalisent

toute une série de cultes et de rites, ainsi qu’une certaine vision de l’homme et du monde. • L’histoire des religions a mis en évidence que ces dernières sont apparues comme des faits sociaux qui organisent la société. Les monothéismes ont toujours eu partie lié au pouvoir . Ce n’est que peu à peu qu’il y a eu séparation et que la religion (du moins en Occident) est passée du côté de la sphère privée, c’est-à-dire est devenue une affaire de conscience. Tout ceci pour dire que l’on fait

transformé du tout au tout. ». Ex : Hostie reste en apparence du pain, mais ce n'est plus du pain. Sacré nous ouvre sur le monde du divin et cela ne va pas sans une certaine crainte. CAILLOIS : « le contact avec le sacré est périlleux », le sacré est toujours plus ou moins ce dont on n'approche pas sans risquer de mourir. Rudolf OTTO, Le Sacré (fin 19e-début 20e) : Selon OTTO, le sacré est la notion fondatrice discriminante de la religion. Il fait référence ici au sentiment du numineux (numen = divinité)