Faut Il Toujours Respecter Les Lois

identités sont des actes de guerre, elles ne sont pas neutres quand on les revendique et elles ne le sont pas du point de vue de l'aggressivité. Le moi individuel fonctionne comme le moi collectif de la communauté. Pour créer une communauté il faut exclure l'étranger. Comme le moi individuel, la communauté revendique sa supériorité sur les autres. Elle se donne le monopole des bonnes valeurs et rejtte l'inconnu. Le moi qu'il soit individuel ou collectif fonctionne sur le principe de ressemblance

un homme, c'est à dire être capable de respecter des lois, et avoir une morale, et être une bête, c'est à dire ne suivre que son propre but, sans se préoccuper de la manière qui nous permet de l'atteindre. Cela signifie donc que les idéaux doivent être, s'il le faut, mis de côté. Pour gouverner les hommes, il faut donc "savoir bien user de la bête et de l'homme", en faisant bien appel aux deux méthodes. User de l'homme, c'est faire appel à la loi, et respecter une morale de vie. User de la bête sera

Sujet : Suffit-il d’obéir aux lois pour être juste ? Suffit-il d’obéir aux lois pour être juste ? Pourquoi se poser la question alors que la réponse parait si évidente ? En effet, pour la plupart des gens, l’état d’être juste se définit par le fait de respecter les valeurs, les valeurs sociales, morales, et personnelles misent en place dans une société, et les lois, elles, sont faites afin de réguler cette vie sociale selon les différents intérêts, elles servent la justice. Il semble donc logique

1 - Que recouvre le terme de lois ? Il s’agit ici des LOIS des hommes, en fait des obligations qui s’imposent aux hommes. (voilà le sens que nous utilisons ici). (On parlera plus loin des 2 sens spirituels du terme « loi » que l’on trouve dans la Bible.) 2 - Le terme de « lois » a plusieurs sens. On parlera alors :  ❖ De la Loi juive ❖ De la Loi naturelle ❖ De la Loi écrite ❖ Des Lois civiles ❖ Des Lois criminelles ❖ De la loi

Existe il une définition universelle du juste? Sujet de dissertation philosophie. Introduction :    La justice est, dans sa conception occidentale, un principe philosophique, juridique et moral reposant sur le respect du droit et de l’équité comme fondement de la vie sociale et de la civilisation. Il serait possible de penser que l’un de ces deux aspects prime sur l’autre et le détermine. N’existe-t-il un « sens de la justice , un sens du juste » universelle qui nous rend apte à évaluer

L'incilité et le contournement des lois . L ‘ incivilité En constante augmentation depuis un certain nombre d’années, l’incivilité se fait de plus en plus remarquer. Cette augmentation bien sensible, surtout dans les banlieues, fait l’objet de changement dans le fonctionnement de la police. Mais l’incivilité n’est pas toujours condamnée par la loi : l’impolitesse, le manque de respect ou les moqueries ne sont pas considérées comme des infractions. Mais ce n’est pas si simple que ça. Les cas

n’est pas forcement toujours respecté. Il y a deux façons de régler les litiges : Faire accepter une loi qui met la population en accord et la faire appliquer, faire de la communication, c’est-à-dire que « oui, on comprend vaut problèmes », mais ne pas faire appliquer les règles ou lois pour régler les litiges. Une loi est acceptée par le parlement qui la vote, mais le décret d’application doit être signé par le gouvernement, mais pour le rendre applicable la loi ou le traité, il faut la ratification

nos actions sont justes ou injustes. Les affaires des hommes sont complexes et parfois conflictuelles. Il importe qu'elles soient encadrées par des lois afin de prévenir les abus ou de fournir un recours contre eux. Il existe pourtant des doutes sur la justice du droit. Les législateurs et les juges ne peuvent être parfaits. De plus, la rigidité des lois risque de leur faire méconnaître la particularité des cas. C'est pourquoi il est tentant de définir le droit comme une justice par défaut. Nous devons

sont vues complétées par les règles édictées par les conventions internationales. Ces dernières ont, selon les Constitutions de 1946 (article 28) et de 1958 (article 55), une autorité supérieure à celle des lois. Cette supériorité ne fut, cependant, admise, à l’origine, qu’à l’égard des lois antérieures. Dans le cas où la loi était postérieure et contraire, le juge administratif ne faisait pas primer la convention internationale. Telle est la solution consacrée par l’arrêt de principe qu’il nous

liberté parce que c’était pour nourrir ses enfants affamés. Justice n’égale pas toujours égalité (point 10 de la Constitution). On peut faire des différences de traitements. Nous ne payons pas tous les mêmes impôts par exemple, on paye proportionnellement à ses revenus : c’est plus juste. La Justice est une vertu qui ne doit pas être rendue n’importe comment, elle se rend auprès de règles de droit. Le juge doit les respecter. Le droit, comme beaucoup de disciplines, possède son propre vocabulaire et