Faut Il Toujours Obéir Aux Lois

modération du désir, faut-il réussir à la contrôler? Est-ce que nous devons faire tout ce qu’il nous plait? Faut-il se laisser entrainer par le premier désir qui surgit en nous? La liberté est-ce de suivre tous ses désirs penchants? « Faut-il interdire d’interdire? » (Mai 68) . La vie heureuse est-ce la vie libre? c. De l’esclavage du désir à la maîtrise de soi? Pour obtenir la satisfaction du désir il me faut du pouvoir. Au sens où pour obtenir satisfaction, il faut une liberté. La liberté

raisons divergentes, il est apparu une nécessité de sortir de cet état de nature. Pour Hobbes, il s'agit de sortir d'un état d'insécurité générale ou chacun est en guerre contre chacun. Pour Locke, il faut apporter une réglementation pour garantir la propriété de chaque individu et pour Rousseau il faut garantir les droits fondamentaux tels que l'égalité et la liberté en vue que seul la volonté générale, en somme le peuple soit souverain. Le contrat social légitime la souveraineté. Le souverain crée

société et autonomie d'une société : Une société hétéronome pense la norme comme située à l'extérieur d'elle même. Une société autonome a conscience de se donner à elle-même ses propres lois. La plupart des sociétés sont religieuses, se soumettent à des lois qu'elles pensent données avant. Elle obéissent à des lois extérieures. Elles peuvent aussi émaner de la nature, du Cosmos (notion grecque). Ainsi la modernité peut être ce passage des sociétés hétéronomes à celles autonomes. Basculement de

effet, comme le souverain décide des droits et des devoirs de chacun, ces derniers seraient en danger si chacun décidait de ne pas obéir à ces règles misent en place, autrement dit d’agir par son propre décret. Mais cependant, l’auteur soulève le fait suivant, même si certes nous ne pouvons agir de la façon que nous estimons la meilleure pour nous, nous pouvons toujours conserver nos opinions et nos jugement sans être blâmé pour cela. De plus, nous pouvons faire partager ces idées à qui veut les entendre

le disait Aristote un animal politique ou n'est-il pas immédiatement engagé dans des liens sociaux comme l'abeille dans la ruche ? La logique de cette problématique est pourtant profonde, en effet, pour montrer l'origine radicale de la société, il faut prendre les hommes avant la société, à l'état naissant, cet état naissant c'est ce qu'on appelle : l'état de nature. 1.1. Définition : état de nature et contrat social Ce qui est en commun à tous les théoricien politiques des XVII et XVIII

Il n’est d’autre remède à cette maladie épidémique que l’esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les moeurs des hommes, et qui prévient les accès du mal; car dés que ce mal fait des progrès, il faut fuir et attendre que l’air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent, pas contre la peste des âmes; la religion, loin d’être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. Ces misérables ont sans cesse présent à l’esprit l’exemple

B) Le Souverain Bien (Aristote) Souverain bien = bien suprême (tous les autres biens lui seraient subordonnés La finalité de l'action Si il n'y avait que des buts subordonnés la vie entière n'aurait pas de sens. Pour lui en donner un, il faut supposer un but suprême, le souverain bien, le bonheur. Ex : travail → argent (but = moyen ) → maison (idem) → fonder une famille La prudence (= sagesse pratique) dépasse la contradiction sagesse sans plaisir / plaisir sans sagesse Juste milieu

d’abord à honorer les dieux et à observer les rites de la religion, comme on le faisait dans toute bonne maison d’Athènes, mais sans mysticisme, ni superstition d’aucune sorte. Il gardera toute sa vie ce respect de la religion et l’imposera dans ses Lois. Outre la gymnastique et la musique, qui faisaient le fond de l’éducation athénienne, on prétend qu’il étudia aussi le dessin et la peinture. Il fut initié à la philosophie par un disciple d’Héraclite, Cratyle, dont il a donné le nom à un de ses traités

Il n'est d'autre remède à cette maladie épidémique que l'esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les moeurs des hommes, et qui prévient les accès du mal; car dés que ce mal fait des progrès, il faut fuir et attendre que l'air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent, pas contre la peste des âmes; la religion, loin d'être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. Ces misérables ont sans cesse présent à l'esprit l'exemple

pas une véritable justice , le droit ne peut pas être » à Loi éternelle divine invariable , source unique de justice à Loi temporelle , humaine , varie , elle s’adapte aux circonstances . Elle doit imiter le droit naturel , ne pas s’écarter des lois éternelles . St Thomas d’Aquin (XIII ap JC) Nuance St Augustin , d’autres règles du droit naturel , il préconise le recours à la raison : lex naturalis déduite d’un raisonnement logique . Le legislateur doit s’inspirer des principes du droit naturel