Faut Il Réguler Le Capitalisme Financier

hypothécaires. Au fur et à mesure que ces banques prêtaient aux particuliers, elles ne gardaient pas les créances liées à ces prêts dans leurs bilans mais ils les « titrisent » en les regroupant avec d’autres sur des instruments financiers, elles concluaient des montages financiers complexes à la base des titres de subprimes (titres de dettes remboursés par l’argent des prêts hypothécaires) qui se retrouvent donc rapidement dans les SICAV des petits porteurs, aider par la malice des dirigeants des agences

chimiques, le pétrole, les nouvelles innovations dans la sidérurgie -se caractérise par une croissance de la productivité par intensification (+ de travail pour le même nbr d'hommes) -c'est dans ce cadre qu'on parle du TAYLORISME et du FORDISME → Il faut ajouter à ces innovations 2 facteurs important : croissance démographique importante ( augmentation de la population) révolution des transports qui permet d'élargir les marchés et donc de stimuler la croissance 3eme phase de

échanges internationaux. * * *Deuxième définition : Dans les années 90, cette notion est étendue à l’ensemble des chaines de valeurs des firmes multinationales (Ingénieure rie, marchandisation, recherche et développement, service, et service financier). * Le développement des firmes s’effectuerai en *5 étapes : * *Une firme exporte à partir de sa base nationale * *Elle établit des services de ventes à l’étranger * *Elle assure la production localement, via ces filiales. Elle

------------------------------------------------- INTRODUCTION « L'épargne est l'origine du capital comme elle est la justification morale du capitalisme, puisqu'elle représente une privation, un effort et même un sacrifice. Car celui qui ne consomme pas tout ce qu'il a gagné pense aux autres au lieu de penser à lui-même. Il pense à ses enfants, à ses successeurs. Il pense, sans le savoir à tout le monde. Il n'y a eu de civilisation qu'à partir du jour où des hommes, au lieu de manger tout le

halshs-00196428, version 1 - 12 Dec 2007 Le présent article entend montrer de quelle manière le courant néoclassique, qui a désormais absorbé le développement comme l’une de ses composantes, est prisonnier d’une crise très profonde, et en quel sens il faut comprendre sa domination dans l’élément de la théorie comme indissociable de celle du néo-libéralisme sur la pratique du développement. Mots-clés Développement, économie néo-classique, politique néo-libérale, crise, hétérodoxies. A revival of

prix, les produits sont de plus en plus rares, hausse du chômage, perte de pouvoir d'achat. On a de plus en plus considéré que l'Etat doit intervenir, il doit abandonner sa neutralité pour aider le secteur privé. L'initiative privée ne peut plus réguler ce marché, donc carence. Dans la pratique cela se traduit par une grande politique américaine et interventionniste, le «New Deal» (Roosevelt). A l'époque c'est à l'origine d'un énorme conflit entre le président et la Cour Suprême américaine qui critiqua

que l’Etat ne devait pas intervenir, même en cas de famine ou d’épidémie, car la nature permet de réguler le niveau de population en adaptant le niveau de nourriture, les survivants étant les êtres les plus motivés et les plus résistants, donc les plus utiles à la collectivité. B. Le marxisme Dans un contexte de révolution industrielle, Karl Marx s’interroge sur le développement du capitalisme qui a provoqué de grandes misères et suscité une importante contestation sociale. A la fois philosophe

Le deuxième courant (Le keynésiens) considèrent que les mécanismes du marché ne sont pas capable à eux seul d'assurer l'équilibre, et qu'il faut leur apporté une aide par l'intervention de l'Etat. Le troisième courant (Les marxistes) estime que les défectuosités sont telles qu'on ne peut jamais y remédier, ils proposent donc le remplacement du capitalisme par un système où l'Etat maitrise tous les aspects de l'activité économiques. On s'intéressera essentiellement dans ce chapitre aux théories

stratégies politiques de relance keynésienne se fondent également sur l’importance du rôle de l’Etat dans l’économie. Il ne croit pas à l’autorégulation de l’économie par les lois du marché : l’Etat doit intervenir en tant qu’agent régulateur car le capitalisme livré à lui-même ne peut conduire qu’à des crises chroniques. Car c’est à l’Etat d’intervenir pour relancer la demande de bien de consommation et de biens d’investissement. Keynes a donc, en quelques sortes, été l’artisan du développement de l’Etat

communiste » 1847, « Le Capital », 1867. Karl Marx critique profondément le libéralisme et le capitalisme. Le capitalisme est un système économique, et le libéralisme c’est le degré de liberté que l’on accorde à ce système. Il existe plusieurs types de capitalismes, certains beaucoup plus libérales que d’autres. (Ex. Capitalisme US beaucoup plus libéral que le capitalisme français. Pareil pour le capitalisme anglais, plus libéral que le système français. C’est au niveau de la réglementation que l’Etat