Faut Il Respecter Les Tradition

I) MARIAMA BA, UNE ROMANCIERE SENEGALAISE. L’auteur Mariama Bâ est née en 1929 au Sénégal. Ayant perdu sa mère, et son père étant ministre de la santé, elle est élevée par ses grands parents dans un souci de strict respect de la religion musulmane traditionnelle. Ces grands parents sont aisés, son grand père est Lébou de Dakar. Ils possèdent même une grande mosquée. Mariée, divorcée, puis remariée, elle a été l’épouse du député Obeye Diop. Ces deux unions lui ont donné

jean et aurait connu enseignement de st Paul, Polycarpe va combattre les gnostiques et lors de son exécution il aurait refusé d’être attaché sur le bûché et les flammes sont passées au dessus de sa tête, un parfum aurait embaumé les spectateur, il faut alors mis à mort par un coup de glaive. Une fois mort on le brûle pour qu’il n’y ai pas de résurrection. Par son intermédiaire, Irénée à pu connaitre l’enseignement de ST Jean et St Paul. Polycarpe l’aurait envoyé en gaule autour des années 150 avec

tout ce qui peut faire plaisir aux petits est bon à prendre. Dans les quartiers populaires, on respecte cependant toujours la tradition, «J'ai acheté à mes enfants les instruments qu'il faut pour célébrer Achoura. C’est leur fête. C’est l’occasion pour eux de s’amuser avec le reste des enfants du quartier», affirme en souriant, Malika, une femme au foyer. Eau de « Zem Zem », « fakia » et autres traditions. Le lendemain de l'Achoura, c'est « zem-zem ». Cette appellation fait référence à l’eau du

type de mariage consiste à forcer une personne à se marier contre son gré. Toute personne essayant d'y échapper se voit confronter a des difficultés familiales ou pire encore. La pratique des mariages forcés va à l'encontre de la dignité et du respect de la personne. L'article 16 de la Déclaration des Droits de l'Homme stipule que « le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux ». Qui veut dire mariage forcé veut aussi dire viols, abus sexuels, esclavage

qui permet à toute personne d’avoir «les moyens intellectuels, émotionnels et pragmatiques de contrôler son devenir et l’incertitude » Il nous faut réaliser que les valeurs et les croyances des malades varient selon les individus, mais aussi en fonction de leur appartenance culturelle, religieuse et de leur orientation sexuelle. Nous devons respecter les croyances et les valeurs des personnes dont nous prenons soin, même si elles sont différentes des nôtres. Principes et fondements des

rend compte que trouver la vérité est impossible ou inutile au bonheur et à la vertu ? (Réflexions sur la Révolution de France d E. Burke et Eichmann à Jérusalem d'H. Arendt) A) L'opinion, inscrite dans la tradition, un guide fiable ? B) Cette confiance dans la tradition risque de conduire à la mort de la pensée critique, dont le résultat peut être l'effondrement du monde Repères : Nécessaire / Contingent, Croire / Savoir, Persuader / Convaincre, Objectif / Subjectif / Intersubjectif

qu’en soit la raison, la situation d’enquête modifie bien la réalité que les chercheurs visent à évaluer. En général, le sociologue modifie toujours plus ou moins fortement le monde social par le fait même de l’observer. Faut-il arrêter d’étudier les faits sociaux ? non. Il faut tenir compte des effets du fait social lui-même. Les énoncés scientifiques, qui sont le résultat des conditions de validité ne prétendent pas exprimer des vérités rêvées. En sciences sociales, la vérité est un idéal au fondement

tous. Il n'y a que l’État qui a le pouvoir de faire adopter ces normes, c'est lui qui crée les normes qui se situent en haut de la hiérarchie. l’État dispose du pouvoir de contrainte pour faire respecter ces normes qu'il crée. L’ État fait l'usage légitime de la force pour faire respecter les règles crée. L'aspect externe : Cet aspect présente aussi un aspect externe c a d un aspect tourné vers les autres états, c'est ce que l'on appel la communauté internationale. La souveraineté

prendre des décisions. Pour cela il faut délibérer. L’homme vital est en nous, mais il est soumis à l’homme-mental. Il ne peut pas nier sa propreconscience et sa pensée. Et cet homme qui pense a besoin de repères du bien et du mal, de principes sûrs de ce qui est bien ou de ce qui est mal. En d’autres termes, pour juger, il nous faut des critères. Mais où les trouver ? Sur quels critères nous appuyer pour distinguer le bien et du mal ? *   * * A. Morale et tradition     Partons de la conscience commune

vos grades et qualités, cette planche pourrait également s’intituler : « Tradition et Transmission », car comment parler de Transmission sans évoquer la Tradition. Pourquoi cette planche ? Parce que j’entends parler de Transmission, que la Transmission se perd et que beaucoup de nos difficultés seraient liées à cette perte. Alors posons le problème : la F(M( a-t-elle gardé le sens de la Transmission ? Les traditions, sont des savoirs ou des actes porteurs de valeurs et de significations pour