Faut Il Etre Beau Pour Exister

social ____________________________________________________________ ______ 6 B. La notion de beauté ______________________________________________________ 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) __________________________________ 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le jo li (Schopenhauer et Niet zsche) ________________________ 7 3. La norme du goût (Hu me)__________________________________________________________ 8 C. La création artistique ____________________________________________________

dialogue de l’âme avec elle-même » (Théétète) : un discours qu’elle entretient avec elle-même sur les choses qu’elle examine. Elle ne fait rien d’autre que de dialoguer avec elle-même, se faisant les demandes et les réponses, affirmant et niant. Il ne faut jamais ignorer que la philosophie est au service du vrai dans la mesure où elle est une démarche au service du vrai, c’est à dire que la démarche est constitutive de l’acte de philosopher, par l’étonnement. « C’est tout à fait l’état d’un philosophe

sentiment du Beau et du Sublime - Emmanuel KANT, Critique de la faculté de juger, 1790 Emmanuel KANT est à l'opposé de la théorie de BURKE sur le Beau et le Sublime, qui donne une dimension empirique au sentiment du Beau et au sentiment du Sublime. KANT, lui, est plutôt dans une perspective transcendentale du Beau et du Sublime. Pour lui, l'expérience connaît plusieurs aspects, mais à l'état naissant, cette expérience est identique à tous, ce qui fait que le jugement du Beau et du Sublime

L'art et le beau.  Le jaillissement du Beau dans l'ici et le maintenant d'une oeuvre fait d'elle un lieu, le lieu d'une manifestation comme surprise, comme ce qui ne pouvait être prévu par aucune règle de composition, ce qui ne relève pas d'un concept, ou, si l'on préfère, d'une sorte d'art poétique. Cela pose un problème: comment le beau peut-il se manifester dans une oeuvre dans être pour cela inclus dans la définition, le concept dont elle devrait relever?   Par exemple: Soit une belle table

plus importants. Comment définir une œuvre d'art? a- Imitation: L'art est par définition art d'imitation. L'imitation est donc l'essence de l'art, le plaisir et sa finalité. Cette idée est justifier d D'après Aristote par le constat qu'il existe en l'Homme une tendance naturel a prendre plaisir a la contemplation d'objet représentés. Même si ces objets sont répugnants dans la réalité. L'art apporte different niveaux de plaisir. Le premier est celui du simple divertissement, auquel peut

Jean Lacoste, La Philosophie de l’art, “Que sais-je?” n° 1887 (thèmes généraux, sans souci de la continuité historique) ; par le même auteur, Jean Lacoste, il existe un excellent petit essai qui constitue une remarquable introduction aux divers problèmes de la philosophie esthétique, présentés dans leur continuité historique : L’Idée du beau, publié chez Bordas en 1986 ; une claire et dense introduction à la philosophie esthétique : Pierre Sauvanet, Eléments d’esthétique, aux éditions "Ellipses" ;

il ne peut y avoir de confusion entre le modèle et la copie. Kant pense que le beau Idéal, nous dit Kant, n’est qu’un produit de l’imagination. Il ne repose pas sur des concepts mais sur la présentation qui a pour faculté l’imagination. Si, pour Kant, l’imagination donne l’existence à l’invraisemblable, selon Hegel elle est tributaire d’une force plus insaisissable encore que l’esprit d’un peuple consiste à être. Dans la Phénoménologie de l’esprit, Hegel rend compte de cela en analysant la tragédie

pour penser que tout ce qui existe possède une identité, une apparence, une réalité, et que celle-ci est soumise nécessairement au concept du beau. Tout être peut être qualifié de beau ou de laid avec toutes les nuances intermédiaires possibles. Le philosophe Karl Jaspers, qui après la seconde guerre mondiale tenta, en tant que psychiatre, de trouver un sens à cette atrocité que fut la guerre, fut également amené à réfléchir sur le concept du beau. Selon lui, le beau s’applique en fait sur deux

DUALlTE DE LA REALlTE | | | |  Il faut distinguer pour Platon le monde des apparences sensibles, changeant, insaisissable et en perpétuel devenir, et, | |au-delà, invisible, le monde intelligible, celui des Idées éternelles et immuables, qui serait le lieu du Vrai en soi. Ce | |monde

Depuis toujours nous vivons dans un monde que nous croyons être juste , mais quand réalité ne l’est peut-être pas . Des philosophes dans le passer ont essayé de démontrer que nous croyons savoir, mais que nous savons très peu. Dans le texte La république et L’allégorie de la caverne, Socrate qui est un grand philosophe, parle de la création d’une société juste et des connaissances qu’il faut . Pour cela, il a ressortit les critères qu’il faut, mais aussi les obstacles qui empêcherai sa création.