Faut Il Cesser De Désirer L Impossible

LE DESIR * Le désir : tendance vive nous poussant à rerchercher ce qui nous manque. => sentiment de manque. -> à distinguer du besoin !!! "si j'ai soif : besoin de boire = necessaire sinon je meurs" alors que besoin = necessité vitale. (nécessaire au sans où je ne peux pas faire autrement) satisfaction du désir : contingente (superflue) désir : insatiable (jamais comblé, sans limites) c'est une autre diff avec le besoin : désir pas aussi limité que le besoin. désir = pas raisonable

quʼil est séduit par lʼorateur qui la lui propose, pourra se prétendre libre et conscient de lʼêtre, il nʼen demeurera pas moins vrai que sa conscience sera illusoire. " Dès lors que je crois être libre, peut on soutenir que je le suis réellement ? Ne faut-il pas plutôt distinguer plusieurs types de liberté ? Considérer lʼhomme sous plusieurs angles ? Peut-on affirmer que la conscience, parce quʼelle peut commettre des erreurs de jugement, est illusoire en elle même ? * * " Si on admet le libre arbitre

DISSERTATION: Peut-on ne pas être soi même ? Intro : On entend souvent des gens dire: "je n'étais plus moi même", ou encore "il faut rester soi même". Il semble que l'Homme soit depuis toujours en quête de son identité, de son être, tout en imitant grâce au jeu des acteurs d'autres personnalités. Nous aurions donc un double désir, celui d’être soi, et celui de devenir quelqu’un d’autre. Mais que veut dire exactement être soi même ? Sommes nous toujours nous mêmes? Si non, comment ne pas

penser librement. Une fois que la nature est connue, il faut lui donner un ordre notamment grâce à la vertu qui est donc commode. La vertu ne sert pas de contemplation mais s’applique comme une véritable technique. Ainsi il faut alors distinguer ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas. Par exemple l’ordre du monde ne dépend pas de moi. En revanche mon attitude devant cet ordre dépend de moi. J’ai alors deux choix, soit je le désire et donc je participe au monde et je suis alors vertueux,

d'auteur unique (et qui met d'ailleurs radicalement en cause la notion même d'auteur). Si l'appartenance à un certain genre n'implique pas nécessairement que le désir prenne une direction définie, il existe néanmoins un désir qui est constitutif du genre lui-même. C'est pourquoi opérer un clivage entre vie de genre et vie de désir n'est ni facile ni rapide. Que veut le genre ? Si la question peut paraître étrange, ce sentiment s'atténue lorsqu'on réalise que les normes sociales qui constituent

marque de l’inspiration divine. Ensuite, Freud définit sa procédure d’interprétation des rêves comme une analyse par le détail dans le chapitre II. Dans le chapitre suivant, Freud dit que le rêve est une formation psychologique dans laquelle le désir est imaginairement présenté comme réalisé de manière plus ou moins déguisée. Nous avons donc choisi un extrait du Chapitre IV dans lequel Freud fait l’analyse d’un rêve. La thèse de Freud est ici de démontrer que les rêves les plus insignifiants

Faut-il combattre les passions ? Sont-elles nécessairement mauvaises ? S'opposent-elles à la raison ? Telles sont les questions qu'aborde ce texte de Rousseau. Le problème posé est celui du rapport entre des passions et la raison. Les passions sont les sentiments, les affects de l'homme. La raison est sa faculté de penser suivant un ordre, des catégories. La thèse moraliste condamne les passions : elles seraient à l'origine du mal et du malheur des hommes. Rousseau prend leur défense : c'est

qui ne peut pas ne pas être ». La plupart des personnes disent qu’une sorte de vie superflue leur est nécessaire mais ils ne se rendent pas compte qu’en fait cette nécessité est fausse et est engendrée par leurs désirs. Il faut donc bien distinguer la vraie nécessité du désir, en effet, la véritable nécessité pour l’Homme est de manger pour survivre et non pas d’acheter un nouveau costume pour une soirée a laquelle il est invité. L’ambiguité du nécessaire doit alors être approfondi afin de bien séparer

bonheur. La notion même de bonheur pose d’abord un problème, car le contenu concret (empirique) en est impossible à cerner. « Le concept de bonheur n’est pas un concept que l’homme abstrait de ses instincts et qu’il extrait en lui-même de son animalité, mais c’est une simple idée d’un état, à laquelle il veut rendre adéquat cet état sous des conditions simplement empiriques (ce qui est impossible)» Chacun, sous l’impulsion de sa nature, est cependant porté à rechercher son propre bonheur. C’est pour

mauvais  L'art n'est pas la reproduction d'une belle chose mais la belle reproduction d'une chose. Hegel : l'art est médiocrité s'il est copie de la nature. Levi-Strauss : l'art est a moitié création et a moitié copie car une création totale est impossible mais la nature est source d'inspiration. L'art exprime les idées (Platon), le beau (Kant, je viens de le dire), l'idéal (Hegel) ou l'inconscient (Freud). LA LIBERTÉ : Locke : "Est-il censé de se garder des putois pour se faire dévorer par les lions"