Faut Il Baisser Les Prelevements Obligatoire Pour Relancer La Croissance économique

SOCIAUX ECONOMIQUE • La politique économique : ensemble de décisions prises par les pouvoirs publics afin d’atteindre certains objectifs concernant la situation économique générale du pays grâce à l’utilisation des moyens dont on dispose • La politique conjoncturelle (court terme) : politique budgétaire, monétaire…. • La politique structurelle (long terme) : politique de lutte contre le chômage, politique industrielle…. • Principaux objectifs de politiques économiques modernes :

| Il n'existe pas une seule définition de l'économie, mais plusieurs définitions. Chaque définition renvoyant à des réalités sous-jacentes différentes. Ainsi, pour les Marxistes la science économique est l’étude des rapports sociaux de production ; pour les néoclassiques c’est la science de l’allocation des ressources rares entres des fins alternatives. Pour une grande majorité, la définition de Jean-Baptiste SAY (économiste Français) demeure

Chapitre 2 : déséquilibres économiques et crises 1/Le phénomène inflationniste : 1. Controverse des analyses monétaristes et keynésiennes : 1. Analyses libérales : l’inflation comme phénomène monétaire : Inflation ici de tous les prix cumulative, durable ; on distingue l’inflation globale et l’inflation subjacente = ne prend pas en compte les prix de certains produits importants qui ont un impact évident (énergies, matières premières, fruits et légumes). Dans L’approche

désintermédiation a été l'un des moteurs de la globalisation financières des années 80, dans les pays industrialisés. Les banques interviennent aussi sur les marchés des capitaux, par l'émission de titres. Cependant, elles continuent a financier l'activité économique par des crédits bancaires traditionnels. Ex p 29 Pour retenir leurs meilleures clients, les banques sont tentés de proposer des taux d'intérêt peu élevés. En conséquence, pour reconstituer leurs profits, elles peuvent être amenés, à relever

faillite. 2- Le droit budgétaire est un annonciateur d’avenir a) Permet d’anticiper l’avenir des personnes âgées et dépendantes Les chiffres disent ce que notre génération va faire dans le futur. Car le montant des prélèvements obligatoires est de 850 milliards d’€, soit 44 % du PIB. Or, plus le pays vieillit, plus les dépenses maladies vont s’accroître, donc les solutions sont : • Augmenter le nombre de cotisants, or il va diminuer puisqu’il y a moins d’actifs (la population

de la rigueur quand il faisait encore beau, et ceux qui ont attendu l’orage pour se ruer dans les wagons ; ceux qui ont accepté des mesures d’austérité avant que n’éclate la crise de 2008, et ceux qui doivent s’y soumettre alors que la récession économique menace… Un an après le début de la crise grecque, la zone euro est toujours au bord de la gouffre, ni les 110 milliards promis par l'UE et le FMI, ni le plan de rigueur drastique ont permet d'améliorer la situation financière . Après Brian Cowan

ONU), des organisations d’intégration économique (ex : UE, Union Economique Monétaire de l’Ouest Africain). Ce sont des ressources propres et des dotations des Etats membres. B – Le critère matériel des finances publiques Les finances publiques sont à la croisée d’autres disciplines comme le droit, les sciences politiques, l’économie, la sociologie, l’histoire,… Les théories économiques ont un impact sur les finances publiques. Par exemple, la croissance à un impact sur la perception des impôts :

Les multiplicateurs budgétaires et l’absence de relais de la politique monétaire commandent, pour pouvoir maîtriser la trajectoire de la dette publique, de procéder à une relance budgétaire globale, en tout cas à l’échelle européenne, accompagnée d’une réduction de l’incertitude financière et des changes. Les prévisions de croissance présentées ici écartent pour l’instant le scénario déflationniste mais sa probabilité est élevée à une échéance un peu plus longue. L’année 2009 ressort comme la pire

ÉCONOMIE Introduction : présentation du contexte économique mondial et national La crise des subprimes (« prêts ») nous vient tout droit des États-Unis. Ces prêts étaient faits aux ménages : A revenus élevés : primes ; taux fixe A revenus faibles : subprimes ; taux fixe pendant les deux premières années, puis taux variable et si cessation de payement = hypothèque du bien immobilier Le taux d’intérêt directeur dès la mise en place de ces crédits aux USA était de 1% et est monté jusqu’à

l'économie. Ricardo distinguait déjà deux questions : la croissance de la richesse et la répartition de cette richesse. Ricardo prétendait contre Malthus qu'on ne pouvait dégager aucune loi véritablement intéressante concernant la croissance de la richesse mais que l'on pouvait en dégager quelques unes relativement solides concernant la répartition. Je me situe ainsi dans le droit fil de Ricardo en pensant qu'il y a peu de chose à dire sur la croissance même, mais que le problème le plus fondamental est