Faut Il Baisser Les Impôts

Introduction aux politiques économiques contemporaines La politique budgétaire Ce terme a été défini par Paul SAMUELSON comme “Le processus consistant à manipuler les impôts et les dépenses publiques aux fins de contribuer aux fluctuations du cycle économique et de favoriser le maintien d’une économie progressive assurant un degré d’emplois élevé, affranchi de toute poussée excessive d’inflation ou de déflation.” Sous ces conditions, la politique budgétaire est une invention du XXème siècle

I=-br+I0 B>0 -b=Di/ Dr <0 Paragraphe 3 : les équations de IS Y=C+I C= cY + C0 Y= cY + C0 –br + I0 Y-cY= -br + I0 + C0 Y(1-c)= -br + I0 + C0 Y= (1/1-c) (-br+ IO + C0) Y= k(-br+I0+ Y= -kbr + K(I0 + C0) équation de IS Quand intérêt augmentent Y baisse IS est décroissante C=cY + C0= 0,8Y+ 100 I=-br+I0 = -2500 r + 300 Paragraphe 4 le déplacement de la courbe IS, on part d’une situation d’équilibre et on décide d’une variation de la valeur d’une variable autonome I0 ou C0 ce qui entraine un déplacement

chiffre d'affaire a baissé de 3,99%. Mais le secteur affiche une baisse encore plus importante de 4,40%. D'autant plus qu'on noté déjà une chute du taux de variation du chiffre d'affaire du secteur de 2,50%, l'année précédente. Peut-être que l'activité de l'entreprise est en déclin. Néanmoins les prestations de services a augmenté de 43,64% par rapport à N-1, ce qui est très encouragent. Le taux de variation de la valeur ajoutée a chuté de 19 ,59%. Alors que le taux du secteur baisse seulement de 2

sur l’offre D’abord en redistribuant les revenus les Etats visent à réduire les inégalités qu’elles pensent néfastes pour la société et l’activité économique. Pour cela les Etats utilisent le prélèvement obligatoire, spécifiquement les impôts. Ces impôts servent à la redistribution des revenus. Répondant a une logique d’assistance (notion développé par Beveridge) ils sont reversés sous formes des allocations en respectant la règles de 3U (uniformité, universalité, unicité). Les allocations

serait inefficace de gérer l'Etat comme un bon père de famille. Le problème est que la dette n'a produit aucun résultat significatif en matière de croissance économique: le soutien apporté à la demande a été faible et l'investissement public est en baisse. Certes, l'endettement n'a pas été inutile, puisque les dépenses publiques ont contribué à maintenir la cohésion sociale; mais il n'a pas fourni les bases d'un remboursement ultérieur. Le service de la dette commence donc à peser lourd et une réduction

moyens d’actions de l’Etat ou de la BC directement sous leur contrôle : taux d’imposition, volume des dépenses publiques, réserves obligatoires, contrôle du crédit, allocations familiales… La règle de Tinbergen (principe de cohérence) : « Il faut au moins autant d’instruments que d’objectifs à atteindre ». Sinon : problème de cohérence. Exemple typique : l’IRPP en France (~ « n’importe quoi »). La règle de Mundell (principe d’efficience) : Pour atteindre un objectif économique :

d'achat des matières utilisées = Marge brute + Marge commerciale - Autres charges externes ajustées + Subventions d'exploitation = V.A. - Personnel ajusté - Impôts et taxes + Autres produits - Autres charges = E.B.E. + Reprises et transferts expl° - Dotations exploitation résultat - Dotation Crédit-bail = Résultat d'exploitation

un crédit d'impôt, l'état rembourse des impôts si ces entreprises font des donc à des organismes d'utilité publique ( exemple = restos du cœur ). C'est le fait de rembourser ce don en diminuant l'impôt sur le revenu l'année suivante. Ce sont des niches fiscales. ( investir dans l'immobilier plutôt que de payer des impôts ). C'est une réduction de l'impôt sur le revenu des entreprises assise sur la masse salariale des entreprises. Cela concerne les impôts sur le revenu de l'année suivante et touche

emblématiques de baisse des dépenses publiques. Quant à la politique fiscale, celle-ci consistait essentiellement en une baisse globale de l’imposition dans un passé récent. Ainsi, ont vu le jour des législations instaurant le bouclier fiscal, les exonérations sur les droits de succession et de donation ou sur les heures supplémentaires, l’instauration d’un crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunt immobilier, d’un prélèvement forfaitaire libératoire sur les dividendes, la réforme de l’ISF, la baisse de la

(2 points). (13 points) La baisse du résultat suit l’exploitation (divisé par 2) est inquiétante car il s’agit d’un indicateur important pour vérifier l’intérêt économique d’une entreprise. L’origine de la dégradation repose sur la baisse du chiffre d’affaires et la hausse des frais de personnel. Voir Annexe 1 1.3. Présenter la cause principale de l’évolution du chiffre d’affaires entre 2009 et 2010, à partir de vos connaissances et du document 2. (3 points) La baisse du chiffre d’affaires peut-être