Fatalité

révélation ? Et en quoi cet aspect de la tragédie en fait un « genre reposant » tant pour les héros que pour le public ? La tragédie montre indéniablement un univers sans espoir dont le fonctionnement est bien connu du public. Le poids écrasant de la fatalité laisse en effet une place centrale à la parole tragique. Mais n’est-elle que fureur et colère ? Et cette explosion de la parole est-elle compatible avec la thèse d’un genre reposant ? Nous verrons que la tragédie vise bien plutôt à ébranler et

I - Les composantes de la tragédie " Et voilà " rappelle la fatalité. Anouilh a l’intention de choquer le spectateur ou le lecteur car il va utiliser un langage familier voire grossier. Il utilise une notion littéraire esthétique " ressort est bandé " " ça roule " " bien huilé " " coup de pouce ", métaphore filée de la mécanique. On donne un petit coup de pouce. Il y a comme une attente mais la tragédie commencera comme prévue. Le déclic est quelque chose de banal, fugace, insignifiant. "

des esclaves Noirs d’Amérique du Nord entre XIX et le XXème siècle. Ces esclaves n’ont aucune possibilités social et sont donc impuissant, isolés et en marge d’une société qu’ils sont forcés de Subir. Conséquence : Une mélancolie marquée par la fatalité de leur destin, et par la solitude pendant le travail (impossibilité de parler) ils sont donc forcés de se réfugier dans la rêverie. Conséquence des conséquences : Rêverie qui se traduira à travers chants des Sangsters qui sont les ancêtres directs

traditions tardives. C'est un être immatériel, apparu à la création du monde. Il est représenté sous les traits d'un serpent à trois têtes (une d'homme, une de lion et une de taureau) enlacé avec son épouse Ananké (déesse de la Nécessité, de la Fatalité) autour du monde-œuf. Ils sont censés entraîner le monde céleste dans sa rotation éternelle. Selon la cosmogonie orphique, ils seraient les géniteurs de Chaos et Éther. Dans la culture contemporaine, il est surtout connu pour être représenté sous

Plus que d’amour, c’est bien de passion tragique qu’il s’agit ici. B. Une fatalité pour le protagoniste Enfin, le tragique est exprimé dans toute sa splendeur à travers le caractère de fatalité et d’obligation qui pèse sur le personnage. Fatalité d’une part, car il n’a pas choisi de l’aimer et, malgré son refus de céder à ses penchants, ne peut cesser de penser à Aricie. Mais tout aussi tragique est la fatalité de son enracinement social et politique, ainsi que les motifs qui font qu’il n’est

narratif = image de la fatalité qui conduit Renée vers la débauche après son viol. Fatalité mise en avant par les passifs = victime qui ne peut rien faire) et par la métaphore animalisant « toujours fouettée, toujours poussée » Elle ne peut rien faire contre cette fatalité comme en atteste la disparition progressive de sa conscience morale « elle se livra, le regretta, puis réussit à tuer son honnêteté expirante » (Même notion de fatalité chez Renée que chez Phèdre même si fatalité différente) Conclusion :

Bovary est livrée à d’autres êtres, ses créanciers « c’est à dire la question d’argent » mais également a elle-même. Ces enfermements sont dus à la fatalité de ces trois personnages, fatalité historique pour Katow, fatalité sociale pour Roxane, fatalité des passions qui anéantissent la volonté pour madame Bovary. Ce registre tragique, ou la fatalité pèse sur les personnages, ou l’inéluctable les conduira à la mort, au suicide par empoisonnement est mis en valeur par des hyperboles « Gardiens sacrilèges »

sur elle  elle évoque la malédiction des Dieux. - elle ne peut pas nommer Hyppolite elle accuse Œnone « C’est toi qui l’a nommer » II Phèdre une héroïne tragique 1. Fatalité du personnage a. Lutte impuissante, haine - Voc péché « accable » « mourrai » « sort » « coupable » - Voc haine « haine » « colère » - Fatalité « le sort qui m ‘accable » b. La haine de Venus - la divinité est plus forte que l’homme 2. L’amour comme une maladie - Phèdre souffre elle est comme prisonnière

littérature aux XIX siecle. L extrait que nous avons est tire du monologue de don carlos un des personnages essentiels d Hernani (acte IV sceneII) dans lequel il represente en premier lieu une exaltation des sentiments ensuite une exclamation sur la fatalité du destin et enfin le retour a son desirs ullisoire. Au début, don carlos a le doute d etre empreur ,ce qui explique l anaphore par laquelle inaugure son monologue qui a l intert de figurer ses sensations internes et son etat psychologique d

d'invention Sujet : A la manière de Dumarsais, rédigez un texte où vous définirez ce que pourrait être aujourd'hui le rôle d'un philosophe. Philosophe La raison est à l'égard du philosophe ce que la fatalité est à l'égard du charlatan. C'est la prétendue connaissance de la fatalité qui pousse le charlatan à agir comme c'est la raison qui détermine le philosophe. La majorité des hommes, quels qu'ils soient, sont obsédés par leurs rêves les plus fous et par les moyens de les concrétiser