Falaise

a peint une scène froide, en rupture avec le romantisme. On voit que les personnages affichent un visage neutre. Seules les femmes (situées sur la partie droite) ont l'air d'être vraiment émues. L'arrière plan qui représente la campagne avec des falaises calcaires est peint dans des tons clairs mais pas sinistres, aucun personnage ne regarde la croix ni le cercueil ce qui montre la froideur de ce tableau. Cette oeuvre est réaliste. Tout d'abord, la scène de l'enterrement est rare en peinture

par où ils vont); elle surplombe la terre (sor un mont) et la mer, bref toute la Création. Elle se situe aussi u coin d'une roche, à l'écart, au bout du monde, idée réitérée avec force dans la litote (négation exceptive) outre n'out rien fors la falaise.  Ce lieu semble une impasse => symbole: la passion est une impasse qui conduit à une mort inévitable et cruelle si l'on ne se tourne pas vers Dieu, représenté par métonymie, dont la présence est ainsi suggérée par métonymie.  De fait la mer représente

saison », « marées », « jour » et « nuit ». Hyperboles : « un sang brûlant de salpêtre et de haine » (v.3), « il n’est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville et la campagne » (v.5), « Leur bruit est celui de la mer à l’assaut des falaises » (v.10). L’effet produit par ces figures de style est d’exprimer une montée de la colère qui prend d’abord le poète, devient obsédante et se déverse avec une force irrépressible (comme l’est la force de la mer). L’unité entre les « cœurs » est soulignée

confus et s'excusa » (l.17). L'impulsivité de M.Roland est atténué par sa femme, Mme Roland qui parle au discours direct «Eh bien !...eh bien !... Gérôme ! » (l.8). Mme Roland est une femme rêveuse « regardait d'un air attendri le large horizon de falaises et de mer » (l.21-22). Un autre personnage ne faisant pas parti de la famille mais qui a été invité est sur le bateau « invité à cette partie de pêche » (l.6). Ce personnage c'est Mme Rosémilly qui est peu décrite dans l'incipit. II-2 :Ces personnages

il va passer au-dessus de nous, nous faisons des signaux, il vire. Il nous a vus !... Nous allons être secourus. L'espoir nous redonne des forces, la mer encore dure est moins forte : nous bondissons sur les vagues. Soudain, au loin, face à une falaise : une vedette, elle a l'air d'appareiller, devenir vers nous... Non, elle vire, et malgré nos signaux, elle s'éloigne est-ce fini? Un peu de courage,, nous continuons à pagayer. Soudain, du fond de la baie, un point noir; ce doit être un canot automobile

par 33 cm. Elle est actuellement entreposée au MoMA, à New-York. Elle appartient au mouvement surréaliste. Salvador Dali a réalisé son œuvre en deux temps : Premièrement, Dali a réalisé le fond : un paysage Méditerranéen avec une plage, une falaise et la mer : c'est la plage de Port Lligat. Puis, après avoir fini l' arrière plan, et ne trouvant pas l' élément surréaliste de son tableau, il partit dîner, et tomba sur un camembert. À l'heure du couché, Dali « vit » la solution qu'il recherchait :

éléments de construction. Elle établit un pont entre Nature et Culture. On peut prendre l’exemple du diptyque «Le Tournant» (p.58), il présente une route de bord de mer escarpée avec des falaises, là où Man Ray a voulu accentuer l'illusion réaliste du paysage par le jeu des différents plans c'est la route et la falaise qui se trouve au premier plan, la mer est en contrebas, et les montagnes au loin qui attirent le regard. Le lecteur va donc en premier lieu, grâce à ces paysages, être attiré par le dessin

des rochers, elle parvient au pied d’une falaise. Dans l’herbe jaillissent par touffes des fleurs d’un beau mauve, une nuance indéfinissable à la transparence délicate. Elle ne sait pas que ces anémones3 sont un symbole de fragilité et de sacrifice, des fleurs de la passion et de la mort. Elle en cueille pour ajouter à son déguisement et soupire de bonheur. Quelques instants plus tard, levant la tête, la fillette aperçoit une grotte en haut de la falaise. Aussitôt elle escalade la roche moussue.

lui-même, il se laisse mourir sur place… Ici la double image est dans le lac, les arbres deviennent les corps des éléphants. L'arrière-plan est un paysage catalan le relief des falaises contraste avec le calme de l'eau du lac. Le point de vue du spectateur est relativement haut. Au niveau du milieu des arbres et du sommet des falaises. Les cygnes et leurs reflets se trouvent sur la ligne de force inférieure. Entre 2 points naturels d’intérêt. Le haut des arbres et le ciel sont sur la ligne de force supérieure

que Silvia décida de se lancer pour qu’ils puissent discuter et s’expliquer. -Comment êtes-vous arrivé chez moi ? -Ben … je ne sais pas si vous vous souveniez mais c’est vous qui m’avait sauvé la vie la dernière fois lorsque j’étais tombé d’une falaise… Vous m’aviez emmené dans cette ville, à l’hôpital et vous aviez laissé votre adresse si jamais il y aurait des problèmes. Acceptait mes remerciements je vous en prie. -Oui c’est vrai je m’en souviens maintenant, comment oublier un si beau visage…