Explication De Texte Alain Inconscient

s’identifiait à la conscience « Je pense donc je suis » Descartes. Dès lors la découverte de Freud consiste à montrer qu’à côté d’un moi conscient existe une zone active appelée l’inconscient. Il ne faut pas confondre inconscient et inconscience. (= qualification des actes). Texte Freud, Métapsychologie. Cette théorie en deux temps en raisons des difficultés de faire admettre la notion même d’inconscient d’autant plus que l méthode utilisée au départ par lui-même était l’hypnose. B) La

Texte : Alain, « un animal redoutable » extrait des Eléments de Philosophie, Livre 2 La conscience n’est pas transparente à elle-même. Si nous pouvons justifier certaines de nos pensées, d’autres demeurent inexplicables : rêves, actes manqués, manies et phobies déroutent la conscience qui voudrait savoir qui sont ces intrus sans permis ni papiers, d’où viennent-ils et que veulent-ils ? Ainsi inquiète et désorientée, la conscience, quête une explication qui lui permettrait à la fois de rendre raison

d'Alain, qui forma tant et tant de jeunes universitaires. On pensait, et l'on pense souvent encore qu'Alain, admirable professeur, n'était qu'un piètre penseur : « A l'enseigne de pense-petit, disait, il y a trente ans, André Rousseau, le professeur Alain tient boutique de philosophie. » Et l'on jugeait ses écrits comme des « Propos » aimables qui donnaient à réfléchir, sans doute, mais ne constituaient pas à proprement parler une œuvre philosophique parce que sans unité. Dans cet article, consacré

♏ Proposition de corrigé : Sartre[26] Critique de l’inconscient freudien 1 – Lecture analytique du texte : « Si en effet nous repoussons le langage et la mythologie chosiste de la psychanalyse nous nous apercevons que la censure, pour appliquer son activité avec discernement, doit connaître ce qu’elle refoule. Si nous renonçons en effet à toutes les métaphores représentant le refoulement comme un choc de forces aveugles, force est bien d’admettre que la censure doit choisir et, pour choisir

vie agréable qui permet à l’homme de profiter de l’instant présent ? 1.1. En effet, si le plaisir est une sensation physique agréable liée à l’usage de nos sens, il est donc naturel de se faire plaisir : on ne fait que profiter de la vie. Explication : En un sens, l’homme est un animal comme les autres car c’est un être vivant qui doit satisfaire ses besoins essentiels pour rester en vie. C’est cet impératif de survit qui nous contraint à être avant tout égoïste, c’est-à-dire, à penser à notre

Alain sur le langage, la langue instrument à penser : «La langue[1] est un instrument à penser[2]. Les esprits que nous appelons paresseux[3], somnolents[4], inertes[5], sont vraisemblablement[6] surtout incultes[7], et en ce sens[8] qu'ils n'ont qu’un petit nombre de mots et d'expressions[9]; et c'est un trait de vulgarité[10] bien frappant que l'emploi d'un mot à tout faire. Cette pauvreté est encore bien riche[11], comme les bavardages[12] et les querelles[13] le font voir; toutefois la précipitation

corps, les modalités de l'inconscience (le sommeil profond, le coma, la léthargie et la syncope, le réflexe, l’habitude) soit un concept à prétention scientifique, la représentation supposée effet de refoulement du désir (selon les Freudiens). L'< Inconscient > freudien lui, suppose que tout ce qui arrive (notamment les événements de la vie psychologique du sujet) est déterminé par sa cause et que ce qui advient est hypothétiquement nécessaire. L'usage légitime du concept d'inconscient concerne le domaine

comme UN et IDENTIQUE ( Même) sous les divers états de conscience. Sans cela, on se perdrait dans tous nos états de conscience, sentiment de dispersion, d’éclatement. C’est ce qui fait qu’on se représente comme « une seule et même personne » - Texte de Kant, texte 1 p. 190 : Kant considère que cette conscience réfléchie est un « privilège humain » donc une qualité essentielle et distinctive de l’homme, acquise ( ce n’est que vers 1 an que l’enfant prend conscience de lui-même en particulier grâce au

permanent dont l'origine est l'étonnement. Étonnement : du latin attonare : ``être frappé du tonnerre'' - ébranlement moral, stupéfaction face à l'inattendu ou l'extraordinaire. - ébranlement intellectuel face à ce qui ne peut donner lieu à une explication immédiate. "C'est en effet l'étonnement qui poussa les premiers penseurs aux spéculations philosophiques (...). Or apercevoir une difficulté et s'étonner, c'est reconnaître sa propre ignorance." Aristote, Métaphysique, A, 2 5 2. La nature

permanent dont l'origine est l'étonnement. Étonnement : du latin attonare : ``être frappé du tonnerre'' - ébranlement moral, stupéfaction face à l'inattendu ou l'extraordinaire. - ébranlement intellectuel face à ce qui ne peut donner lieu à une explication immédiate. "C'est en effet l'étonnement qui poussa les premiers penseurs aux spéculations philosophiques (...). Or apercevoir une difficulté et s'étonner, c'est reconnaître sa propre ignorance." Aristote, Métaphysique, A, 2 5 2. La nature 2