Expectoration

patiente retrouve souvent du sang lorsqu’elle se mouche et se plaint de croûtes douloureuses et sanguinolentes dans le nez. Un examen O.R.L., réalisé il y a trois mois, a montré une perforation de la cloison nasale. La patiente rapporte également des expectorations rosées depuis deux jours. Elle n’est pas alcoolo-tabagique. L'auscultation pulmonaire vous révèle une femme un peu essoufflée, avec quelques crépitants aux bases. Les deux membres inférieurs sont oedématiés (Godet +) avec quelques tâches purpuriques

caractéristiques dans les selles grâce au microscope permet de poser le diagnostic. Plus rarement, les vers adultes peuvent passer dans les vomissements voire les selles. Quelquefois, dans les cas les plus graves, les larves sont mises en évidence dans les expectorations (rejet lors de la toux) quand il existe des complications pulmonaires. Si l'examen parasitologique des selles retrouve des oeufs il est également possible d'observer l'expulsion d'un ver après un effort de vomissements. La prise de sang montre

leur système immunitaire s’affaiblit, les bactéries peuvent proliférer. Si elles se multiplient suffisamment, cela entraînera les symptômes typiques de la tuberculose. Symptômes de la tuberculose * Fièvre légère * Toux persistante * Expectorations (crachats) de couleur inhabituelle ou sanguinolentes * Perte d’appétit et de poids * Sueurs nocturnes * Douleurs dans la poitrine à la respiration ou pendant la toux * Douleurs à la colonne vertébrale ou aux articulations Diagnostic

l'IDE. MUCOSITÈS encombrement bronchique TOUX -Installer en position semi-assise pour faciliter la respiration et l'expectoration. - Donner un crachoir et des mouchoirs jetables. - Surveiller l'aspect et la couleur des expectorations, évaluer la quantité des crachats au nombre de crachoirs utilisés. -Effectuer des soins de bouche réguliers afin de lutter contre l'alitose*. -Effectuer un soin de bouche après la kinésithérapie respiratoire. -Faire les transmissions écrites

Prélèvements sanguins o Gaz du sang sur prescription médicale O2 en route avec sonde nasale = 2L / min Diurèse pour bilan d’entrée / sortie souvent sonde à demeure Morphine à petite dose pour arriver à une sédation du patient Crachoir ou haricot pour les expectorations que l’on pourra quantifier, couleur, aspect C – Prise en charge de la dyspnée et de l’ICG • Améliorer la situation respiratoire du patient et/ou stopper ou diminuer le processus d’inondation des alvéoles o Oxygénothérapie en continue permet

(fréquence accélérée → tachypnée, polypnée/ fréquence diminuée → bradypnée). - Amplitude (courte, superficielle, profonde, exagérée) - Coloration des téguments (peau, muqueuses …) → cyanose (bleuté, pâleur) - Présence de signes fonctionnels (toux, expectorations, crachat) - Positions (geste IDE : position ½ assise) - Dyspnée = tachypnée, bradypnée, polypnée… • Etapes de la réalisation de la mesure : - Lavage des mains. - Eviter d’informer le patient du soin et créer un climat de confiance. - S’installer

sur la circonflexe. De plus on lui a posé une VVC et une sonde vésicale. Il a un pansement compressif radiale au bras droit. Cependant à 22h on note une altération de son état général. Il développe une dyspnée au stade 4, il est cyanosé et a une expectoration mousseuse dans la bouche. Il est hypertendu et a une tachycardie. Il a un crépitement pulmonaire bilatéral, aprés l'ECG il est diagnostiqué un Oédéme aigue pulmonaire. H2 à 6h son état s'est sensiblement amélioré mais il est en désiquilibre

Interhumaine, Toux, Parole (postillons), gouttelettes de Pflug Eternuements Crachats (bacille actif au sol et dans l’air pendant plusieurs jours). Hospitalisation : Examens bactériologiques : 1. Recherche de BK dans les crachats. A défaut expectoration forcée après aérosols. 2. Tubage gastrique : si échec crachats 3. Fibroscopie bronchique. Examens radiologique : 1. RP 2. Ponction lombaire Examens biologiques : 1. Intradermoréaction 2. Test Interféron 3. Bilan pré-thérapeutique

augmentation de la viscosité et épaississement du mucus. Phénotype macroscopique : Le mucus sécrété par les cellules privées de protéines CFTR obstrue les bronches et provoque peu à peu la destruction des poumons par des infections associées. Toux, expectorations, insuffisance respiratoire. Atteintes au niveau du pancréas, des intestins et du foie également. Par ailleurs, les effets observés à ces différentes échelles sont liés : la modification de la protéine CFTR provoque une baisse de l’expression

champignon, Il existe aussi des pneumopathies allergiques, toxiques, cancéreuses et immunologiques. Elle peut se manifester par une température inferieur à 35 oC ou supérieur à 38 oC, des frissons avec sueurs, une toux, la modification récente d'une expectoration chronique, une dyspnée ou une gêne thoracique. Dans le cas présent elle peut être le résultat de son passé de fumeur. La pathologie se manifeste par une toux douloureuse et peu productive, une dyspnée (Une dyspnée est une gêne respiratoire