Exemples De Plaidoiries

dommages-intérêts ou le rétablissement d'un droit. Qu'elle soit demandeur ou défendeur, chacune des parties en litige, avance ses propres prétentions. 4 : Le juge est un magistrat qui remplit une fonction de jugement et non d'arbitrage dans une plaidoirie (domaine juridique), qui est donc chargé de trancher les litiges opposant des parties, qui peuvent être des collectivités revêtues par la loi de la personnalité juridique, dite « personnalité morale », dans le cadre d'une procédure dont la mise

commence. Trois termes : Art discours et persuasion. L’art de persuader par le discours. Le discours : toute production verbale, écrite ou orale. Une unité de sens. S’adresse aux discours qui visent à persuader. Énumérons les types : Plaidoirie, Harangue politique, Sermon, Tract, Pamphlet, Placard publicitaire, Fable, Essai, Traité de philosophie, Drame, roman. Discours à caractère scientifique ou technique. Qu’est-ce que persuader ? Deux phrases : Pierre m’a persuadé que sa cause

l’orateur destinés à produire une impression favorable sur son public. Et oui, « convaincre », c’est depuis l’antiquité, l’art jouer sur ces trois registres, à des degrés divers selon votre interlocuteur et votre objectif. Par exemple l’avocat, qui fonde sa plaidoirie sur le droit et sur des faits, est emblématique de la capacité à maîtriser le « logos ». L'ETHOS, LE PATHOS ET LE LOGOS La rhétorique agit sur trois pôles : "prouver la vérité de ce qu'on affirme, se concilier la bienveillance

Zeit logique pour démontrer  ; des fois simple description, récit... gegen censure ou pour divertir EXEMPLES  : Marivaux («  île des esclaves  »)=> rire Hugo («  misérables  »)=> indignation Hugo(«  la nuit du 4  ») => événement pers 2-forme narratives de argumentation implicite => PERSUADER *certaines formes narratives sont portés d'argumentation implicite EXEMPLES  : -les fables de La fontaine -«  Châtiment  » de Hugo ) dénonce l'empereur Bonaparte. -Le conte philosophique

nécessite l’accord des parties. On a voulu transposer ce qui existe devant le TGI et qui est obligatoire devant le TGI. B. La pratique Même avant le texte, devant toutes les juridictions d’exception on organisait des calendriers de procédure. Exemple : devant le TC il y a 4 étapes, on fixe une première date pour que le demandeur remette ses pièces, le défendeur conclu ensuite et remet ses pièces. Enfin on permet au demandeur de faire des conclusions en réponse. Il y a ensuite une audience d’orientation

absence de liens logiques entre ces paragraphes et dans le sens. A noter aussi un ton de l'auteur bien trop sur de lui, comme on peut le voir par exemple dans « il est impossible » paragraphe 4 ou encore « il est si naturel » paragraphe 6. Il y a également effet trop d'exagérations ainsi que trop d'arguments qui ne tiennent pas debout comme par exemple dans le paragraphe 3 ou l'auteur qui dit : « Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête ; et ils ont le nez si écrasé qu'il

justice ...) selon les formalités exigées par la loi. Il peut faire l’objet d’une exécution forcée. Un jugement est donc un acte authentique. Acte sous seing privé : c’est un document rédigé sans qu’il soit fait appel à un officier public (exemple : contrat entre particuliers). Action en justice : c’est une procédure qui est introduite devant un juge pour obtenir le respect ou la reconnaissance d'un droit ou d'un intérêt légitime. Action civile : c’est, soit une action qui est

défense politique qu’une réelle action en faveur de l’Ordre. Il laisse au Procureur général la tâche de nommer le Bâtonnier et les membres du Conseil de l’Ordre. Seulement, même s’ils réapparaissent, les avocats se retrouvent obligés de partagé la plaidoirie avec les avoués qui n’étaient rien de plus que des auxiliaires de justices qui remplacèrent les avocats lors de leur disparition ( en d’autres termes, des avocats sous un autre nom ). Le 27 février 1822, une ordonnance royale permet aux avocats

complot à son égard ce qui n’est pas sans rappeler l’obsession des complots qui sévissaient sous les régimes totalitaires.  La Symétrie dans l’opposition: « je ne puis troubler sa boisson -tu la troubles »  Le recours aux connecteurs logiques, par exemple la double occurrence de « car » et celle de « donc » donnant une impression de justification et de logique dans ses propos.  L’emploi de « il faut que » v.26 pour marquer le caractère obligatoire et inévitable. b) Des accusations de plus en

Nous avons été accueillis par une jeune femme. Nous nous sommes installés sur des bancs situés à quelques pas de la salle d’audience. Là, la jeune femme nous a posé quelques questions faisant appel à nos connaissances sur la justice pénale (par exemple, les différents degrés de qualification d’infractions pénales…). J’avais la curieuse impression de me retrouver au lycée. Elle nous a également indiqué la place occupée par chaque professionnel du droit, afin que nous ne soyons pas trop désorientés