Examen clinique neurologique

...................................................................................4 V. Etude clinique : ..............................................................................................................................8 VI. Biologie: ...................................................................................................................................... 18 VII. Formes cliniques : ...........................................................................................

renutrition : surveillance clinique quotidienne pdt 5j : état de conscience, OMI, auscultation cardio-pulmonaire (tachypnée, râles), pouls, TA, ECGsurveillance biologique quotidienne pdt 5J : NFS, iono, urémie, créatinémie, phosphore, magnésium, glycémieMême si les taux sanguins sont normaux, une supplémentation s'impose obligatoirement en prévention d'une baisse assurée.Les SRI : les signes cliniques· Insuffisance organique multiple (respiratoire, cardiaque…)· troubles neurologiques· asthénie, somnolences·

alimentaires Notion d’arthrose secondaire : Dysplasie : malformation articulaire congénitale. Hyper laxités ligamentaires (Marfan) Arthrites microcristallines : la goutte, chondrocalcinose Maladies de surcharge : hémochromatose. … Signes cliniques : Douleurs mécaniques : surviennent au mouvement, calmés au repos ; aux différences des douleurs inflammatoires. Poussées congestives (douleurs inflammatoires) Raideur et handicap fonctionnel. Craquement, dérobements. Signes radiologiques Pincement

un cancer éventuellement curable. Parfois l’interrogatoire et l’examen clinique guident la procédure diagnostique, mais certains amaigrissements restent isolés, justifiant des bilans invasifs et coûteux. La hiérarchisation des explorations doit tenir compte de la fréquence des pathologies potentielles et de l’évolution. Aucun diagnostic n’est trouvé dans environ 10 % des cas.2 Lorsque l’amaigrissement semble isolé, des examens complémentaires de « débrouillage » sont utiles (encadré). L’ DÉMARCHE

alimentaire * hygiène de vie L'hygiène hospitalière est une politique qui vise à : _ prévenir _ lutter _ contrôler l’infection hospitalière 4. les infections nosocomiales * définition L'infection nosocomiale est une infection clinique et/ou microbiologique contractée dans des établissements de soins par tout patient n'ayant pas cette infection lors de son admission, et se déclarant au moins 48 heures après son hospitalisation ou après 30 jours pour le traitement d'une plaie et

DÉFINITIONS • Par cystite aiguë simple on entend une infection aiguë de la vessie, non ascendante touchant les femmes adultes immunocompétentes, non enceintes, sans antécédents d’intervention récente au niveau des voies urinaires et sans signes cliniques de malformations urinaires. Par infection urinaire compliquée on entend une infection ascendante vers le rein ou touchant une population à risque : homme, femme enceinte, enfant, personne âgée, porteur d’un cathéter urinaire. Les infections urinaires

charge (exemple : massage, sophrologie…). Pour les patients pris en charge dans une unité de soins somatiques en santé mentale, on utilise notament le Meopa (mélange équimolaire oxygène-protoxyde d’azote) pour prodiger différents soins. D’autres examens utilise le Meopa, comme les consultations dentaire ou les consultations pédicure-podologue. Le soulagement de la douleur passe aussi par la mise en place de traitement, sauf chez les patients où le coma est irréversible. De plus, les conduites à tenir

UNIVERSITE U.F.R. V – SCIENCE DU SUJET ET DE LA SOCIETE Département de la Psychologie Licence 3 de Psychologie Option : Psychologie Clinique, Psychopathologie et Santé Mentale Année universitaire : 2011/2012 T.D.A.H – TROUBLE DEFICITAIRE DE L’ATTENTION AVEC HYPERACTIVITE Quelles sont les causes ? La relation mère-enfant, a-t-elle un impact sur le comportement ? Présenté par : TE : Session : Juin 2012 SOMMAIRE INTRODUCTION…………………………………………...…………………......

VASCULAIRE CEREBRAL ISCHEMIQUE SAMU DE LYON VALIDATION : Comité de lecture DATE : 09 / 07 / 2008 DEFINITION : Développement rapide et durable d’un déficit neurologique de topographie vasculaire 80 % d’AVC ischémiques DIAGNOSTIC : Facteurs de risque cardiovasculaire, traitement anticoagulant, oestroprogestatifs Signes cliniques : Déficit neurologique, convulsions, score NIHSS 2 (cf. p.87) AVC du tronc cérébral, souvent en 2 temps : syndrome cérébelleux, céphalées, vomissement, hémiplégie à bascule, dysarthrie

respiratoires. La coqueluche reste un problème de santé majeur chez les enfants des pays en voie de développement. La coqueluche est largement répandue dans le monde et sa gravité tient à des complications (bronchopneumonies, complications neurologiques) et à son risque de mortalité (300 000 décès annuels dans le monde d'après l'OMS), en particulier chez le nourrisson de moins de 6 mois. (1) Dans les pays occidentaux, avant l'ère de la vaccination, la coqueluche rendait de nombreux nourrissons