Ex-voto

costs (Coase (1960), Haugen and Senbet (1978)). Importantly, the same information asymmetry that engenders distress costs that ex ante reduce optimal leverage also creates an ex ante value to financial flexibility, which reduces those costs. By ignoring this linkage, distress cost theories fail to recognize that managers will select ex ante financial policies that provide the ex post flexibility to mitigate the real resource costs caused by security valuation problems, both in financial distress and

......... 41 Section 3 : Dérogation à l’interdiction des ententes ......................................................................................... 44 Déroulement de la procédure d’exemption d’un accord horizontal d’Un contrôle ex ante à un contrôle ex post ............................................................................................................................................................... 45 Troisième période : De 2004 à Aujourd’hui. ........................

l’investissement. La condition d’équilibre I = S est-elle toujours vérifiée ? L’analyse faite par le Suédois G.Myrdal sur la distinction des valeurs  ex ante ex post permet de séparer les variables entre celles qui sont possibles ou souhaitables (ex ante) et celles qui seront effectivement réalisées (ex post). Si nous nous situons ex ante, nous avons donc I ex ante = S ex ante (notés I* = S*) uniquement à l’équilibre, dans les autres cas, l’épargne des ménages n’est pas forcément égale à l’investissement des

utilise des procédé d'écriture bien précis. Ex nihilo Ex nihilo est une expression latine signifiant « à partir de rien ». Elle est souvent utilisée en conjonction avec un terme exprimant une idée de création, comme dans « création ex nihilo », signifiant littéralement « création à partir de rien », par opposition à une « creatio ex materia », création à partir d'un matériau ou d'un substrat préexistant. Cette expression apparaît dans la formulation "ex nihilo nihil fit", "rien ne vient de rien"

une réponse satisfaisante à la situation décrite par l'analyse. Elle peut être utilisée en évaluation : 1 • ex ante pour définir les axes stratégiques ou en vérifier la pertinence (par exemple, lors de la rédaction de CSP ou de leur évaluation), • intermédiaire pour juger de la pertinence et éventuellement de la cohérence des programmes en cours, • ex post pour vérifier la pertinence et la cohérence de la stratégie ou du programme, a fortiori si cet exercice n'a pas

modernisation de l’action des collectivités territoriales. Que l’on se réfère ici à une évaluation par les objectifs, par les moyens, par les besoins, par les processus ou par les systèmes d’acteurs, que l’on retienne une procédure d’évaluation ex ante, intermédiaire ou ex post, que l’on cherche à mesurer l’efficacité ou l’efficience des programmes mis sur la sellette, il s’agit de revenir sur les dispositifs pour en souligner la pertinence, la légitimité. L’évaluation a ainsi pour rôle de justifier l’usage

les définit comme les coûts de fonctionnement du système économique. Ce sont les coûts de contractualisation des échanges et ils se décomposent en coûts ex ante et en coûts ex post. Coûts de transaction ex ante : coûts associés à la recherche d’un partenaire, à la négociation, à la rédaction et à la garantie d’un accord. Coûts de contractualisation ex post : coûts induits par une mauvaise adaptation des contrats aux circonstances dans lesquelles ils évoluent, les coûts de renégociation et de contrôle

leur efficacité. Les contrôles de capitaux obéissent à des considérations stratégiques, économiques ou politiques. À la manière du contrôle prudentiel, nous distinguons d’abord entre les imperfections appelant un contrôle ex post – curatif – et celles justifiant un contrôle ex ante – préventif. Aux premières correspondent des fondements liés aux conséquences effectives de l’intégration financière internationale : volatilité des taux de change, perte d’autonomie de la politique économique, difficulté

d’intérêt 2. L’identité épargne investissement Sur un plan plus théorique, Keynes insiste sur l’identité de l’épargne et de l’investissement  La distinction des valeurs ex ante / ex post permet de séparer les variables entre celles qui sont possibles ou souhaitables (ex ante) et celles qui seront effectivement réalisées (ex post) 3. Le cas du déséquilibre Keynes introduit également la notion de déséquilibre après avoir réfuté l’égalité entre l’investissement et l’épargne : si le taux d’épargne

d'individus egoïstes aboutissent-elles à une situation où les besoins de chacun sont effectivement satisfaits, i.e. à un ordre economique ? •  Notion d’équilibre ü Un individu est à l’équilibre si les conséquences de ses choix (ex post) sont conformes à ses anticipations (ex ante). ü Une économie est en équilibre si et seulement si les conséquences qui découlent des actions des participants pour réaliser leurs projets individuels sont conformes à leurs anticipations. Modification des anticipations