Euthanasie Passive

dans ce contexte globale, car c'est à elle que se heurtent (1 ) Euthanasie signifie étymologiquement "bonne mort" (du grec "eu" = bien et "thanatos" = la mort) aujourd'hui les sensibilités, les croyances philosophiques, religieuses et morales les plus diverses. Avant d'aborder les arguments des adversaires et des partisans de l'euthanasie, 15 il faut préciser que nous distinguerons deux catégories: l'euthanasie passive qui consiste à laisser mourir la personne de mort naturelle, en débranchant

Dieu. Pour traiter avec précision du problème d’euthanasie, il convient d’abord d’en élucider le sens. Le mot euthanasie signifie, dans l’antiquité, une mort douce sans cruelle souffrance. De nos jours ce mot prend le sens d’une intervention de la médecine qui atténue les douleurs de la maladie et de l’agonie, parfois même au risque de supprimer prématurément la vie. Enfin le terme « Euthanasie » est utilisé en un sens plus particulier. II désigne alors le fait de « Donner la mort par pitié », pour supprimer

Avant de commencer, nous allons vous montrer quelques photos illustrant ou non l’euthanasie, pour savoir ce que vous en savez, car il y a quelques nuances et différences. Photo 1 :Cette photo illustre bien l'euthanasie. Il s'agit l'euthanasie passive elle consiste à le renoncer à tous types de soins laissant alors le malade mourir au bout de quelques jours sans administration de substance. Sur cette image nous retrouvons l'arrêt de l’hydratation et de l’alimentation Diapo 5 et 6 Photo2 : Il

personnalité juridique (né, vivant, viable) C. cass. : Droit de réparation à l’enfant malade pour avoir « perdu une chance de mourir par avortement ». Idem pour enfant né handicapé. B. En fin de vie Euthanasie non autorisée. Euthanasie active à homicide (Vincent Imbert) Euthanasie passive = arrêt des soins médicaux à non-assistance à personne en danger Acharnement thérapeutique ? §2. La protection du corps humain I. Le principe de protection du corps humain A. Le principe de l’inviolabilité

et 14% se sont abstenus. Quelle est la vérité? Si la législation, les codes médicaux et les préceptes religieux ne permettent pas la provocation délibérée de la mort, pourtant, l’on ne saurait ignorer les voix et les faits qui plaident pour une euthanasie faite dans le but d’alléger les souffrances du malade. 2. L’art de mourir L’euthanasie et le traitement palliatif font revivre une nouvelle tradition – la préparation pour la vie d’au-delà. Les deux constituent, en fait, un «art de mourir» des temps

autrui ou à des fins scientifiques si la personne ne s'y est pas opposée de son vivant autopsie → pas de consentement des proches du défunt nécessaire Correction : Avant la mort : suicide suicide assisté → euthanasie passive autorisée en droit français ou euthanasie active prohibée en France (autorisé en Belgique). Si les Etats autorisent l'euthanasie active, la CEDH impose que le patient ne soit pas atteint de troubles psychologique sinon il ne serait pas apte à prendre une telle décision

douleur. * L’euthanasie est une mort imposé et donc pas une mort naturelle. C’est le cas d’une euthanasie active (injection de produit) ou passive (oublier de donner un traitement à un malade). En droit français l’euthanasie est interdite et est assimilé à un assassinat, avec intention de donner la mort avec préméditation. Le comité national consultatif d’étique a proposé de réfléchir sur une euthanasie d’exception. II] La mort soupçonnée Soupçonné car incertaine. L’individu est absent. L’hypothèse :

d’incivilité. Problématique : Dans quelles circonstances la désobéissance civile devient-elle une incivilité ? Plan : I. La désobéissance civile. II. Les différentes formes de désobéissance civile et leurs avantages. 1) La résistance passive. 2) La résistance par les actions. 3) Résistance fiscale. 4) Des désobéissances civiles très médiatisées. III. Des risques de dérives conduisant à des incivilités. IV. Conclusion. I. La désobéissance civile. La désobéissance

maltraitance : « La maltraitance se présente sous différentes formes et concerne les enfants quel que soit leur âge. Elle est une atteinte à la personne de l’enfant dans son intégrité physique et psychique. Elle se traduit par des violences actives ou passives à caractère physique, psychique ou sexuel. Elle peut s’exercer à un niveau intra ou extra familial, institutionnel, entre les enfants eux-mêmes. La maltraitance est le fait d’interactions violentes qui nécessitent un accompagnement des auteurs et

aura aucune chance d’apercevoir le jour. Je pense que le clonage thérapeutique doit être très encadré par la réglementation car avant toutes choses le facteur éthique est primordial. Article D : Vivre ou mourir peut-on choisir ? Éthique - Euthanasie : ne pas légaliser, mais... ... donner un cadre juridique au non-acharnement: tel est le choix préconisé par les politiques et les médecins. On craignait que le débat ne soit étouffé, comme il l'avait été si souvent par le passé. On avait tort: