Euphorie

indésirables : fréquents 1 cas sur 100 : nausées, vomissements moins fréquent (1 cas sur 1000) : paresthésie, sédation excessive, modifications de perceptions sensorielle rares : troubles psychiatrique (effets paradoxaux) : agitation, angoisse, euphorie, rêve (cas d’abus et de dépendance) Population : 1 mois à la fin de vie (ok pour femme enceinte) Posologie : Le débit du mélange est déterminé par la ventilation spontanée du patient (le débit de gaz est adapté en fonction de la capacité pulmonaire)

recaptés par le neurone présynaptique où ils seront recyclés. Activité 1 : II) Drogues et perturbations de la perception : Activité 2 : 1) effet du LSD : -hallucinogene / illusions -changement de la perception, de l'humeur et de la pensée -euphorie et vertige -modifie les perceptions visuelle / auditive / tactille -augmentation de la tension arterielle, accélération du rythme cardiaque -dilatation des pupilles -faiblesse musculaire, tremblement, nausées, frisons, hyperventilation -perte

personnage théâtral 1)Cyrano fait son théâtre Glissement du texte vers la représentation. Cyrano devient spectaculaire. Avant, sa tirade du nez avait bouleversé la salle. Entrée fracassante. Le théâtre dans le théâtre: mise en abîme théâtral. Euphorie 2)cyrano splendide registre épique. Maîtres des mots des armes, maître de la scène. Magnificence du personnage. Mort sur scène => drame romantique. Conclusion: Par ce passage, le lecteur fait la connaissance du héros, excessif et envahissant

agressivité, panique). L'ivresse cannabique se déroule classiquement selon quatre phases: -phase de bien-être euphorique (= fait d'être gai, détendu, tranquilisé...) -phase d'hyperesthésie sensorielle aves désorientation spatio-temporelles et euphorie -phase extatique -phase de sommeil et de réveil Le cannabis peut entraîner un allongement du temps vécu, un embellissement des sensations auditives et à forte dose une transformation des perceptions visuelles et corporelles. Selon les personnes

Fausse Route, Elisabeth Badinter, 2003 Atmosphère des années 1980 : euphorie de 20 années de libération progressive. Les « premières » femmes major de l’ENA, de l’X. Image moins traditionnelle de la femme au profit d’une femme plus virile et forte, maîtresse d’elle même. Mais pas pris en compte la nouvelle vague du féminisme américain : discours essentialiste, séparatiste et « nationaliste », recréant un dualisme sexuel oppositionnel, alors que les Françaises rêvaient d’une relation apaisée

Introduction L’ « Euphorie » des foires, la « frénésie » des achats, la « flambée des prix » des œuvres d’art contemporaines qui accaparent aujourd’hui une partie dominante du marché de l’art, répondant à un véritable engouement, non éteint par la crise, fait pousser un « cri » d’épouvante ou d’étonnement. Ce marché, dit de la démesure fruit de la mondialisation, suscite la curiosité. « Le Cri », d’Edvard Munch, 119,92 millions de dollars 1 « Du triptyque de Francis Bacon au Balloon

que les hypothèses, les doutes et les incertitudes doivent faire partie du récit. Il se compare au chasseur accroupi dans la boue pour chasser les traces de sa proie et opposant l’euphorie sceptique à l’euphorie de l’ignorance, sa propre euphorie. Cette euphorie est à l’intersection d’une réelle ignorance (je ne sais rien de ce personnage dont on parle là) et d’un bagage d’expériences. Avant même la vie vécue, dans ce bagage d’expériences, Ginzburg y range notre affiliation littéraire, une relation

esprits déjà sensibilisés aux mutations culturelles qui avaient précédé, comme son prodrome, le cataclysme où s'enfonça l'Europe en 1914. Acteurs d'une guerre qu'ils avaient faite contre leur gré, ils ont su mesurer l'ampleur d'une crise qu'aucune euphorie victorieuse, aucun rétablissement moral ne pouvaient à leurs yeux masquer. Hormis les figures tutélaires de Rimbaud et de Lautréamont, ils ne trouvaient guère dans le paysage littéraire français de l'époque beaucoup de ces « individus pour qui l'art

dépendance dont il est très difficile de se débarrasser. Lors de la prise de cannabis par exemple, la personne qui en consomme ressent un état de détente, de convivialité, elle peut ressentir de l’empathie. Pour l’ecstasy, une certaine euphorie, une sensation de bien-être et de plaisir peuvent être ressenties dans un premier temps, mais parfois, au contraire, survient une sensation d'angoisse, une incapacité totale à communiquer. En général, les effets durent entre deux et quatre heures

d'extase et du fait qu'il est comme né à nouveau, qui a eu une seconde chance. C'est un film extraordinaire à vivre et on pourait parler même de feel good movie. Il n'y a pas de frissons faciles la dedans et on le vit pleinement on en retire une euphorie et un profond sentiment de bien-être car on sent que l'on peut franchir nos propres obstacles même ds une situa° aussi extrême. Mais l'histoire d'aron est aussi vraie qu'exhaltante. Un film d'ac° ac un ectaue qui ne peut pas bouger. C'est comme