Eudes

l'exercice du pouvoir devient de plus en plus contractuel, il faut passer des accords donnant donnant pouvoir plus hiérarchique mais prend un caractère négocié affaiblissement du pouvoir Carolingien 888 est élu sur le trône un roi non Carolingien Eudes fils de Robert le Fort, il inaugure une rupture dynastique par la suite les roi carolingien ne parviennent jamais à retrouver l'exclusivité du trôle Tout au long 10ème alternance entre roi Robertien et Carolingien, symptôme de l'échec du projet Carolingien

et milieu 10ème siècle. 885 : Charles le Gros refuse d’intervenir pour défendre Paris des Vikings. Face a Charles le Gros les grands du royaume n’ont pas apprécié son attitude, en 888, Charles le Gros étant destitué, un autre roi prend sa place : Eudes. Celui-ci n’est pas de la famille des carolingiens. Il appartient a une autre famille : les Robertien. Il est nommé Roi en 888. A partir de 888, les grands décident de choisir un roi de façon alternative, ils choisissaient la personne la plus apte

* 751 -822 : c’est la phase d’essor, des bâtisseurs d’Empire * 822-888 : la phase des crises : la succession à l’empire avec les partages * 888- 987 : la phase d’élimination progressive de la dynastie Décision d’élire un nouveau roi Eudes en 888 qui se trouve en dehors de la famille carolingienne c’est un descendant de la famille des Robertiens de Robert le Fort. Pendant 1 siècle lutte entre les 2 familles et finalement victoire des Robertiens avec l’avènement d’Hugues Capet en 987

gravité des invasions vikings sur les côtes et tout à long des grands fleuves les incite a opter pour un roi qui aura les qualités personnelles et guerrières pour défendre le territoire. En 888, les Grands élisent à la fonction royale le Comte de Paris Eudes qui leur paraît le plus digne pour faire face à la situation. Le Comte de Paris appartient à une grande famille, celle des Robertiens, descendant de Robert le Fort, qui ont des liens matrimoniaux avec les carolingiens. Il est aussi un proche du roi

bateaux très maniables, ces pirates remontent la Seine, pillant tout sur leur passage. Ils atteignent Paris une première fois en 845. Ils y reviendront à cinq reprises. Le siège le plus long commence en 885. Les Parisiens, conduits, par le comte Eudes et l’évêque Gozlin, résistent une année durant. Fin 886, la ville est sauvée, mais tous les quartiers extérieurs à l’île de la Cité, notamment les abbayes, sont détruits. En 911, le roi Charles le Simple donne ce qui deviendra la Normandie au Scandinave

lors de la bataille de Brissarthe, en 866. Ses honores revinrent ensuite à un clerc, Hugues, de la famille des Welfs, un cousin germain du roi par l’impératrice Judith : phase de stabilisation territoriale. Quant au fils aîné de Robert le Fort, Eudes, il est fait comte de Paris vers 884. Il s’illustre alors en 885 lors du siège de la ville par les Normands, et récupère tous les honores de son père à la mort d’Hugues l’Abbé : prestige considérable tiré à la fois des victoires remportées contre les

Dictionnaire de Philosophie. Nathan. Fustel de Coulanges, D. (1995). La cité antique. Paris, Hachette, pp. 226-230. Goeh-Akue A. N. & Coulibaly, B. (2003). Analyse des défis de la société civile dans le développement du Togo. Goffman, E. (1968). .Asiles. Eudes sur la condition sociale des malades mentaux. Paris, Ed. de Minuit. Hébert, Y. (ed.) (2001). Citizenship in Transformation: Issues in Education and Political Philosophy. Toronto, University of Toronto Press. Ignatieff, M. (2000). The Rights Revolution:

s’estompe pas des consciences collectives. En 888, le successeur carolingien n’a que 10 ans et le royaume est menacé par les normands. Les grands élisent alors un homme fort qui ne soit pas du sang carolingien. En 888, ils élisent Eudes (fils de Robert le Fort). Eudes est conte de Paris, conte de Blois, domine l’Anjou et le Maine. C’est un homme puissant. Il a défendu Paris contre les Vikings et donc par sa puissance il a toute légitimité pour être élu roi en 888. Entre 888 et 987, alternance entre

Paradis de la Divine Comédie). Le travail incroyable accompli à la fois pour l'enseignement et la rédaction de son oeuvre, les luttes continuelles qu'il doit mener au sein même de l'Université, le départ de quelques-uns de ses amis (Robert de Sorbon, Eudes de Saint-Denys…), tout cela a contribué à miner la santé de Thomas, qui, à quarante-sept ans (1272) repart à Naples, où il est nommé maître Régent en théologie de l’école dominicaine. Il y termine la troisième partie (IIIa Pars) de la Somme, la

ferroviaire et maritime. Par ailleurs, un programme de coopération fort intéressant est en cours de réalisation avec la Direction des Routes, et concerne l’acquisition de matériel de laboratoire au profit du Centre National des Eudes et de Recherches Routières (CNER) et le montage de projets de recherches avec des centres spécialisés en Allemagne. Par ailleurs, les deux parties ont convenu de mettre en place un plan d’action entre les deux directions