Etude De Ronsard Mignonne Allons Voir

| |1 |OM : En quoi reconnaît on l’écriture |Corpus : |Méthode inductive : lire les textes, définir | | |poétique ? (caractéristiques) |Ronsard Quand vous serez bien vieille… |leurs similitudes/différences du point de vue | | |OC : Eléments marquants de la fuite du temps.- |Lamartine Le lac |de la forme et du fond.

C'est au XVIème siècle, en pleine période de renaissance française, que Ronsard (1524-1585), surnommé par ses contemporains « le poète des princes », écrit la Continuation des Amours. Publié en 1555, ce recueil sera renommé un peu plus tard Les Amours de Marie. Il s'agit en effet d'une œuvre qui rassemble des textes où Ronsard loue Marie, une petite angevine de 15 ans dont il s'est épris, bien qu'il continue d'y chanter Cassandre en parallèle. « Marie, vous avez la joue aussi vermeille... » est le

Lectures cursives Des rayons et des ombres, La fonction de poète, Hugo. Groupement de textes s’articulant autour du thème de la mort en poésie : *Derniers vers, Ronsard, « Je n’ai plus que les os » * La ballade des pendus, Villon * Une charogne, Les fleurs du Mal, Baudelaire * Ophélie, Poésies, Rimbaud (extrait) Histoire des arts : Etude du triptyque de Jérôme Bosch « Le jugement dernier » et plus particulièrement le panneau central. La fuite du temps en poésie du XVI°s au XX°s Problématique

Séquence n° 1 : étude d’une œuvre intégrale, Les Fleurs du Mal de Baudelaire Objet d’étude : la poésie Problématique : Baudelaire entre tradition et modernité Lectures analytiques (étude de la section « Spleen et Idéal ») : 1) « L’Albatros » 2) « L’Invitation au voyage » 3) « Une Charogne » 4) « Quand le ciel bas et lourd… » Lecture cursive : Les Fleurs du Mal Documents complémentaires : - Ronsard, Odes, Livre I, « Mignonne, allons voir si la rose » - Nerval, « El Desdichado »

Etude du poème « Une Charogne » dans la section « Fleurs du mal » (A) On peut remarquer quelques points communs entre « Une Charogne » et des poèmes galants de Ronsard comme : «  Je vous envoie un bouquet  » en 1555 et «  Mignonne, allons voir si la rose  » en 1552, qui est dédié «  A Cassandre  » : · Un cadre bucolique : une promenade d’un couple dans la nature un beau matin d’été·

Préface Pour mon florilège, j’ai décidé de choisir comme thème, « Le temps ». En effet les auteurs dans leurs poèmes parlent beaucoup du temps de différentes manières et avec divers sentiments. Donc, mon étude sera basée sur ce thème mais parallèlement en montrant l’évolution des formes poétiques du Moyen-âge à nos jours. Ainsi nous sommes passés des formes fixes (ballades, sonnets) aux formes libres (vers libres, calligrammes) en passant par les formes régulières (odes, fables) et le

comme une plante maladive qui doucement m'enivre jusqu'à ce mal de vivre... » Mignonne, allons voir si la rose De Pierre de Ronsard A Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose Sa robe de pourpre au soleil, A point perdu cette vêprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vôtre pareil. Las ! Voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las, las ! Ses beautés laissé choir ! Ô vraiment marâtre

Rincé, Français Littérature 1re, Nathan, 2007. Séquence n°1 : Variations sur le thème du carpe diem Objet d’étude et perspective La poésie : étude d’un lieu commun poétique. Convaincre et persuader dans le texte poétique Textes étudiés • • • • Textes et activités complémentaires Texte 1 : Ronsard, Ode à Cassandre, « Mignonne allons voir… » Texte 2 : Ronsard, Sonnet pour Hélène, « Quand vous serez bien vieille… » Texte 3 : Corneille, « Stances à Marquise » Texte 4 : Queneau, « Si tu t'imagines »

|(1721) | | |Voltaire, Candide, chapitre 3 de « rien n’était » à Mademoiselle Cunégonde » (1759) | |Etude d’ensemble |Les Lumières | | |Convaincre, persuader

Etude de texte en vue d’un commentaire composé Sonnet de printemps Avril met aux buissons leur robe de printemps Et brode aux boutons d’or de fines collerettes, La mouche d’eau sous l’oeil paisible des rainettes, Patine en zig-zag fous aux moires1 des étangs. Narguant d’un air frileux le souffle des autans2 Le liseron s’enroule étoilé de clochettes Aux volets peints