Etude De Cas Axa Assurance Maroc

Casablanca, Maroc Annie BARTOLI Vice Présidente, Université St Quentin en Yvelines, France Elie BASBOUS Professeur, Université de St Esprit, Journieh, Liban Adnane BELOUT Professeur, Université de Montréal, Canada Ahmed BENHAMOUDA Professeur, ISG Tunis, Tunisie Luis BENTO Professeur, Université de Lisbonne, Espagne Leïla BENRAISS Maître de Conférences - IAE de Bordeaux, France El Mostapha BENSALEM Professeur, Université de Marrakech, Maroc Chafir BENTALEB Professeur, Université de Marrakech, Maroc Charles

des Activités Culturelles et Artistiques Management du Sport FINANCE / DROIT / FISCALITÉ / PATRIMOINE 98 100 103 106 109 112 115 118 Analyse Financière Internationale Ingénierie et Gestion de Patrimoine Audit et Contrôle de Gestion Banque et Assurance Fiscalité, Droit des Affaires, Conseil et Gestion d’Entreprise Salles de Marchés, Métiers du Trading & Risk Management Finance d’Entreprise Ingénierie de l’Immobilier et du Patrimoine à l’International ÉDITO DES PROGRAMMES SPÉCIALISÉS POUR

2012 3 5- Investissements étrangers à la Bourse de Casablanca II. L’APPEL PUBLIC A L’EPARGNE 1- Les opérations sur titres de capital 1.1 Les augmentations de capital 1.2 Les opérations d’appel public à l’épargne réalisées accessoirement au Maroc 1.3 Les offres publiques 2.1 Les émissions obligataires 2.2 Les émissions de titres de créances négociables 26 28 28 28 29 30 31 32 V. LES CHIFFRES CLES DES PRODUITS DE GESTION COLLECTIVE 1. Les OPCVM 1.1 Les OPCVM dans l’économie marocaine

Bernelas Doyen du corps enseignant Pôle ESG Jacques Bravo Maire du IXe arrondissement de Paris François Ewald Directeur ENASS Marc Lamy PDG Boyden France Laurent Lamoureux Associé Ernst & Young Daniel Laurent Conseiller à la présidence du Groupe AXA André Levy-Lang Ancien directeur général de Paribas Franck Locatelli Président de l’association des diplômés ESG Bienvenue à l’ESG Management School Franck Louvrier Conseiller à la présidence de la République Joanna Nowicki Professeur des Universités

frontières du «low cost» ........................................ 29 2.1. Le «low cost» dans la distribution.............................................................................. 29 2.1.A. Le cas du «hard discount» alimentaire.................................................................. 30 2.1.B. Le cas du commerce en ligne ................................................................................ 36 2.2. Le «low cost» dans les services .................................................

stratégie du groupe au niveau des filiales (Balanced Scorecard prévisionnelle) : s’assurer que les orientations stratégiques sont déclinées au sein du groupe et dans les actions quotidiennes ; o o o anticiper pour prendre des mesures correctives, en cas de problèmes identifiés, avant que ce ne soit trop tard ; mesurer la contribution des filiales aux orientations stratégiques ; vulgariser la stratégie du groupe : sensibiliser les filiales, à tous les niveaux, à la stratégie du groupe. Ce n’est qu’en

banales aux stratégies globales : ................................................................ 20 II. Le commerce intrafirme : ................................................................................................... 23 CHAPITRE VI : Etude de cas « La société Lear » ............................................................................... 24 Présentation de la société Lear :............................................................................................. 24 I. II. Contribution

probabilisable, ces asymétries d’informations et cette incertitude fondamentale favorisent le mimétisme des acteurs. Il est alors, en effet, très difficile de connaître la valeur fondamentale de l’actif considéré, et, de ce fait de parier sur elle. En ce cas, le sens du marché est donné par les autres, car il est le pur produit de l’expression de l’opinion majoritaire qui se dégage alors. Les acteurs s’imitent donc rationnellement, afin de tenter d’anticiper et de jouer les tendances du marché, de façon

FRERY F. (2008, 8ème édition) Stratégique, Pearson Education 4 Source : HELFER J-P., KALIKA M., ORSONI J. (2010, 8ème édition) Management, stratégie et organisation, Vuibert. Voir aussi : Helfer J-P., Kalika M., Orsoni J. (dir.) (2006) Management : cas et applications, Vuibert 2 1 Guy LAPLAGNE Les stratégies bancaires 2011 Extraits cours 8 Nature de la décision Compétences requises Création de potentiel nouveau Divergence, créativité Exploitation de potentiel existant Convergence

définition suivante du travail collaboratif : - La collaboration nécessite au minimum 2 personnes dont l'une, le demandeur, sollicite l'autre en lui indiquant le résultat attendu. Ce dernier ou exécutant doit réaliser ce qui est fixé. Dans de nombreux cas, le résultat sera réalisé par plusieurs exécutants et l'objectif de la collaboration déterminé par l'interaction de plusieurs demandeurs. A la collaboration se superpose un mécanisme de coopération soit pour les demandeurs, soit pour les exécutants