Étoile

sensations agréables procurées par la nature. « Ces bons soirs de septembre » v.14 le « doux frou-frou » des étoiles v.8 _ Rêveries « que d'amours splendides j'ai rêvées » v.4 Vie de bohème idyllique et liée à la poésie. 2- Des voyages indissociables de l'état de poète a. une familiarité avec la nature _ Complicité sans limites avec la nature « j'allais sous le ciel » v.3 ; « mes étoiles au ciel » v.8 ; « mon auberge était à la Grande Ourse » v.7 lien exclusif/amoureux b. la nature : source

Vincent Van Gogh - Paysage de nuit, couleurs sombres, principalement bleutées, touches de jaune et blanc. Couleurs pures, mélange dans sur la toile, provoque a réaction dans l’œil, pas de jeux d’ombres, contours marqués. Touches chaudes = étoiles et une en jaune qui se dilatent dans le ciel. - Peinture à l’huile, épaisses touches très visibles, mouvement des pinceaux - Formes délimitées, spirales, tournoyantes, contorsionnées, ne cherche pas la réalité (fausses perspectives) - Lumière de

visibilité du ciel. Il observa les étoiles, et ne s’était jamais senti aussi proche d’elles. Il avait l’impression qu’il pouvait les toucher, qu’il pouvait s’envoler pour les rapporter à Luna. « La vue est magnifique n’est-ce pas ? - Oui c’est bien la première fois que les étoiles m’apparaissent aussi belles, elles sont si majestueuses qu’elles me rendent heureux, s’émerveilla Bise. - Et ceci ne vous enverrait pas au paradis ? » Luna embrassa Bise passionnément. Les étoiles qui lui paraissaient si belles

mais quand le petit prince pose des questions, il veut toujours une réponse Petit prince: Qu’est ce que vous faites? Monsieur. Narrateur: Avec un ton d’impatience. Soldat: Je tire les étoiles. Narrateur: Alors, le petit prince trouva ca très étrange. Petit prince: Pourquoi tirez-vous les étoiles? Soldat: Car, elles ont quelque chose que nous n’avons pas. Petit prince: Qu’est ce qu’elles ont? Soldat: Un combustible que nous n’avons pas. Petit prince: Pourquoi posséder se combustible

une dédicace à un ami de l’auteur Il est constitué de 27 chapitres Il se termine par un petit texte qui ressemble à la dédicace du début. Ce petit texte s’adresse à ceux qui ont lus le livre. En face il y a un paysage avec une étoile dans le ciel. Si on ferme le livre, l’étoile touche, coïncide, avec le mot « *apparu* » ecrit dans le petit texte ! Au chapitre 1 le narrateur nous raconte son enfance,à six ans il voulait devenir artiste peintre mais à cause des

n'importe qui (avec un 9mm) ZSOXFSQ  Recruter n'importe qui (avec roquettes) PGGOMOY  Prise en main parfaite AEZAKMI  Ne jamais être recherché ASNAEB   Niveau de recherche à 0 OSRBLHH  Augmenter le niveau de recherche de 2 étoiles LJSPQK   Niveau de recherche de 6 étoiles Faire apparaître des véhicules AGBDLCID Monster AIWPRTON Rhino tank AKJJYGLC Quad AMOMHRER Tanker Truck AQTBCODX Romero CQZIJMB  Bloodring Banger EEGCYXT  Dozer JQNTDMH  Rancher JUMPJET  Hydra KGGGDKP  Vortex Hovercraft

Ils regardaient monter en un ciel ignoré  Du fond de l'Océan des étoiles nouvelles.    José­Maria de Heredia (1893)    Ma bohème    Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées;  Mon paletot aussi devenait idéal ;  J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal;  Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !    Mon unique culotte avait un large trou.  ­ Petit­Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course  Des rimes. Mon auberge était à la Grande­Ourse.  ­ Mes étoiles au ciel avaient un doux frou­frou.    Et je les écoutais

2.1 La lunette astronomique Description Fin du Chapitre 3 — Lunette astronomique & télescope de Newton 2.4 Tracé des rayons La lunette astronomique est un instrument destiné à l’observation des astres éloignés : planètes et étoiles. Les étoiles sont beaucoup trop éloignées de la Terre pour que l’on puisse observer leur surface (exception faite du Soleil). La lunette joue uniquement le rôle de collecteur de lumière, avec un objectif de diamètre le plus grand possible. Ceci explique

idéal ;J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou.— Petit Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse ;— Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou. Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais

nuit était une nuit sans lune. Très noire, même s'il y avait des étoiles, des points de lumière et de raison ... Et puis, tout à coup, tu as traversé mon ciel comme un météore. Soudain, tout brûlait, tout brillait, tout était beau. Quand tu as eu disparu, le météore est tombé derrière l'horizon, tout s'est à nouveau assombri. Rien n'avait changé, sauf que mes yeux avaient été aveuglés par la lumière. Je ne distinguais plus les étoiles et la raison ne signifiait plus rien." >Edward CULLEN, Twilight<