Éthique des affaires

développement de structures (notamment NTIC) ; projets de modernisation et de décentralisation de l'Etat ; soutien aux fournisseurs et prestataires pour une bonne gestion de leurs affaires ; etc. Bonne gouvernance : promotion de l'éthique dans nos rapports avec les tiers; éthique et déontologie incarnées par le respect des valeurs ; éthique et responsabilité dans nos process et nos produits et services, etc. Protection de l'environnement : respect et anticipation des normes environnementales nationales et

aussi participer aux affaires d’État et la classe moyenne serait en contrôle. Alors que Platon opte pour un système dirigé par les rois-philosophes seuls, Aristote est plus de nature consensuel. Chez Platon, tous les travailleurs sont influencés par les passions plurielles de ce monde et sont indignes de participer aux prises de décisions et Aristote est plus explicite et ajoute le côté civique que devraient avoir le peuple pour avoir le droit d’intervenir dans les affaires d’État. Néanmoins, même

de notions culturelles et éthiques qui peuvent être différentes d’un pays à un autre, ou d’une culture à une autre. La bonne gouvernance se définit comme la manière dont les autorités en exercice gèrent les ressources économiques et sociales d'un pays, d’une communauté ou d’une institution en faveur de son développement, à travers un ensemble de principes : * le respect du droit et des droits humains, * la transparence et l’efficacité de la gestion des affaires, * la lutte contre la

toujours payer les services qu’on leur rend » Céline « la terreur est un humanisme pressé» A.. Finfielkraut citant Edgar Quinet Est-ce possible ou d'emblée est-ce une prétention absurde, le bonheur des autres étant essentiellement leur affaire (puisqu’il dépend de ce qu’ils ressentent et de leur état d’esprit) ? La charité, le souci, la sollicitude peuvent être pensés comme des façons de viser le bonheur des autres. Mais Kant lui-même ne cesse d'émettre des nuances et des restrictions

des coûts de transaction) pour reformuler la théorie de la firme. La TPP veut être une théorie managériale et une théorie normative en éthique organisationnelle, ce qui conduit souvent à une combinaison de ces deux dimensions. De façon générale, elle recouvre un ensemble de propositions qui suggèrent que les dirigeants de la firme ont des obligations éthiques envers leurs PP. L’objectif principal de la TPP est ainsi d’élargir la représentation que les sciences de gestion se font du rôle et des

environnement différent, et de nouvelles relations humaines. ∙ Pensez-vous que ce soit pertinent pour une entreprise d’adopter des valeurs éthiques ? Dites pourquoi (/2 points). Point positif Le fait d’adopter des valeurs éthiques pour une entreprise peut entrainer une adhésion plus forte des employés, qui trouveront une finalité dans leur travail. Les valeurs éthiques représentent un engagement rassurant pour le consommateur, une lisibilité pour les partenaires financiers, une image non commerciale

Pour mieux expliquer mon choix, il serait important de déterminer en quoi ces deux choix constituent un problème éthique. En effet, pour constituer un problème éthique, il doit y avoir équivalence entre les deux options et celles-ci doivent être morales. Ainsi, ces deux options sont-elles morales? Le cas échéant, qu’est-ce qui serait négligé dans chacun de ces choix puisqu’un problème éthique implique naturellement une insatisfaction quant à la prise de la décision? Selon Kant, « la volonté est une

- Proposer et mettre en œuvre un plan d’aide négocié - Apprécier les résultats de l’intervention Les caractéristiques de l’ISAP - C’est un processus dynamique (On a affaire à une personne qui évolue continuellement) - Avec des principes éthiques (l’ANAS et le CSTS édictent ces principes) Il s’agit de règles éthiques face à l’autre: Singularité, Autodétermination et liberté (de choix), Respect de la vie privée et de l’intimité des personnes et enfin Interdépendance (droits et devoirs

descriptive du fonctionnement de l’entreprise, et tantôt dans une perspective élargie, comme une véritable théorie de la firme, alternative aux approches économiques, et visant à reformuler les objectifs organisationnels pour y intégrer une dimension éthique. On peut constater aujourd’hui que si le concept s’est Jean-Pascal Gond, ATER, LIRHE et IAE, Université Toulouse I. Courriel: jean-pascal.gond@univtlse1.fr 2 Samuel Mercier, Professeur en Sciences de Gestion, Université de Bretagne Sud. Courriel:

FICHE DE LECTURE Titre du livre : Dire la maladie et le handicap – De l’épreuve à la réflexion éthique Auteur : Marie-Hélène Boucand Editeur : Edition Erès (33, avenue Marcel-Dassault 31500 Toulouse) Collection : « Espace éthique » Date d’édition : 2011 ; Nombre de pages : 208 * Biographie de l’auteur 1: Marie-Hélène BOUCAND est médecin de formation. Titulaire d’un DEA d’éthique médicale, obtenu en 1993-1994