États généraux de 1614

faveurs de la Cour et par des exemptions d’impôts, « ce que le clergé et la noblesse avaient perdu en considération, en richesse et en puissance réelle, le tiers-état l’avait acquis depuis le règne d’Henri IV, et depuis la dernière assemblée des États généraux en 1614 ». Les nobles se ruinaient alors que les bourgeois s’enrichissaient grâce à leurs industries. Les nobles sont devenus inférieurs « en richesses, en talents et en mérite personnel ». Néanmoins, être noble n’est pas garanti de le rester. Les

Soissons 1179 : Sacre de Philippe II 1204 : Campagne de Philippe Auguste contre Jean d’Angleterre 1214 : Victoire de Bouvines par Philippe Auguste 1226 : Début du règne de St Louis 1302 : Première réunion des Etats généraux 1429 : Sacre de Charles VII 1439 : EG d’Orléans 1484 : EG de Tours 1614 : Derniers EG avant 1789 1766 : Séance de la flagellation 1789 : mai : convocation des EG 23 Juin : Séance royale 27 juin : reconnaissance royale des représentants de la nation 9 Juillet : ANC 4 août

l’absolutisme, qui est un contrôle total du roi sur les institutions. Il possède le pouvoir militaire, le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif. Comme nous avons vu dans notre cours, Louis XIV décide qu’il ne réunira plus les états généraux dont la dernières réunion était en 1614. Ou que l’impression des livres passent par la demande d’un privilège royal. Le roi peut même décider d’arrêter qui il veut sur une simple lettre de cachet. Tous ses exemples montre l’absolutisme du roi et on peut justifier

pas encore complètement achevée. Depuis août 1788, le pouvoir, sous l’impulsion du Contrôleur Général des finances, Loménie de Brienne, avait décidé de convoquer les États Généraux—ce qui n’avait plus été fait depuis 1614—afin de trouver une issue à la crise financière aiguë qui paralyse alors le royaume. Jacques Necker, banquier genevois qui avait déjà exercé les fonctions de Contrôleur Général (1777-81), est rappelé pour remplacer Brienne. Jouissant de la confiance du peuple (il avait durement

la monarchie absolue, Montesquieu l’a surtout observé en Angleterre, Il ne demande pas la fin de la monarchie il demande seulement que le pouvoir du roi soit limité par des sortes de contre poids, étant joué par certaines institutions comme l’état généraux, mais par les parlements à cette époque qui devraient joué un contre -poids .Les parlements sont composé presque exclusivement de nobles. Contestation parlementaire : Les parlements sont de grandes cours de justices, les ancêtres des

apparait comme un gvt presidentiel et la 4eme R fait figure de regime parlementaire, du - autour du parlementarisme, pr pv retomber sur ses pieds Duhamel va integrer la periode transitoire de 1944 et 1946, il s'agit d'une periode d'equilibre avec le general de gaulle et les partis politiques. Avant cet equilibre c'est le regime de V, gvt presidentielle, avant cela on retrouve un gvt d'ass. Le 1er cycle est le meme que chez Hauriou, avec un gvt d'ass entre 1789 et 1799 un gvt presidentiel, puis un equilibre

 le marquis de Puisieux, ainsi qu’avec La Vieuville  qui sont vite disgraciés pour incompétence.    En 1624, Marie de Médicis parvient à faire entrer le cardinal de Richelieu au conseil du roi,  prélat qui a été le représentant du clergé aux États généraux de 1614 et ministre du  gouvernement Concini. La plupart des historiens mettent en évidence l'étroitesse des  relations entre Louis XIII et Richelieu.  Les deux hommes partagent une même conception de la grandeur de la France et des  priorités qui s’imposent dans le domaine politique

France dans le droit divin et aussi dans le droit romain. Dans la pratique les rois de France exercent déjà un pouvoir absolu car ceux-ci souhaitaient affirmer leur indépendance vis-à-vis de l’extérieur : du Saint Empire romain germanique et des Etats pontificaux. Cette idée d’indépendance va renforcer l’absolutisme. François 1er sera pour beaucoup dans la réorganisation des institutions afin de mieux les contrôler et écarter les seigneurs des centres de pouvoirs et de décisions, œuvre que ses successeurs

une trop grande intervention du pape dans les affaires de l'Église de France. Il reconnaît au pape une primauté spirituelle et juridictionnelle, mais conteste sa toute-puissance, au bénéfice des conciles généraux dans l'Église, des évêques dans leurs diocèses et des souverains dans leurs États). : en France on soutien une autre théorie, la thorie gallicane du droit monarchique divin. La doctrine est simple, le roi ne tient sa couronne que de Dieu seul, puisqu’il est affirlé qu’un décret specil

que réside la puissance souveraine dont le caractère propre est l’esprit de conseil de justice et de raison ». Ainsi par exemple les rois écoutaient l’avis de leur ministre. Le gouvernement à grand conseil englobait également la convocation des états généraux : une assemblée consultative occasionnelle et composée de représentants des trois ordres sociaux. Cette assemblée n’a jamais été une institution périodique, elle est convoquée irrégulièrement par le roi et selon sa seule initiative. De même