État-Libre

polysémie de la notion de liberté Polysémie : plusieurs sens. La liberté est un droit et a une certaine valeur. Réponses : 1) « Un pauvre est aussi libre qu’un riche » : il a les mêmes libertés qu’un riche. Ce n’est pas parce qu’on est pauvre qu’on n’est pas libre. 2) Liberté →de droit →de fait →de vouloir (volonté) « libre arbitre » →libre arbitre pur : la pure volonté de choix contingente et indépendante de toute influence et de motivation. →sagesse. →de faire « capacité

l'optimum économique. Différence entre le courant libérale et le courant keynésien : Le courant libérale : . Cette école de pensée, dont la dénomination est associée au siècle des Lumières, estime que les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.) sont nécessaires au bon fonctionnement de l'économie et que l’intervention de l’État doit y être aussi limitée que possible Le courant keynésien :  Pour les keynésiens, les marchés laissés

mondialisation au cœur des clivages idéologiques A. Un débat apparemment simple, oppose les partisans de la liberté à ceux de la régularisation du marché (document 2 et 3). Les uns comme j.B (document 2) voient dans tout effort de régulation un frein au libre échange et accusent leurs adversaires d’instrumentaliser la morale (document 2). Ils relativisent la baisse des salaires liés à la concurrence mondiale et rappellent que la liberté de commerce soutien la démocratisation en donnant aux populations une

la demande) sont donc ici déterminants : – l’ extension de la taille du marché permet des économies d’ échelle qui rentabilisent d’ autant plus la mise en oeuvre de l’ innovation. On doit donc ici souligner le rôle du commerce international et du libre-échange, comme facteur d’ extension du marché, donc de valorisation de l’ innovation, et conséquemment de la révolution industrielle. Ne pas oublier non plus les diverses lois favorisant l’ uni…cation des marchés au niveau national – cette extension

fait connaître que je suis libre. Que faut-il entendre par vouloir ? Vouloir, c’est désirer une chose et prendre les moyens de le réaliser : ce qui suppose de faire des choix, de prendre des décisions. Prendre tel parti plutôt qu’un autre, agir en conséquence, relève de ce qu’on appelle “le libre arbitre“. Arbitrium signifie en latin décision. (Un arbitre, dans un match de football, par exemple, doit à tout moment juger l’action des joueurs et prendre des décisions.) Ce libre arbitre ou ce pouvoir de

économique naturel spontané fondé sur l’intérêt personnel des individus. Ainsi, dans une économie de marché, les décisions et les actes individuels sont rendus compatibles et concourent à l’intérêt général. Il sera donc plus efficace de laisser faire le libre jeu des marchés sans aucune intervention de l’Etat. L’intérêt général sera ainsi mieux servi si chacun a la possibilité de poursuivre sans entrave ses propres intérêts. « Tout en ne cherchant que son intérêt personnel, il travaille souvent d’une manière

DISSERTATION D’ECONOMIE Sujet : Le retour au protectionnisme une tentation dangereuse Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale le libre-échangisme c’est imposé il semblerait cependant que le protectionnisme soit de nouveau d’actualité dans certains pays. Le protectionnisme est un ensemble de mesures visant à protéger la production d’un pays contre la concurrence étrangère. Le protectionnisme peut se faire à l’échelle nationale ou seulement sur un ou plusieurs secteurs. Le GATT et l’OMC

turpitude illégale, que mentionne l’adage « Nemur audatur turpitudinem allegem ». Ce qui se dégage finalement de cette conception, c'est que le répréhensible, c'est la disparition d'un rapport. Un rapport de juste répartition entre les citoyens. Le libre arbitre est donc capital, car nul ne peut être imputable d’action dont il ne serait pas auteur, ou involontairement auteur (on parle alors de quasi-délit, comme dit dans l'ouvrage Les fondements de la responsabilité civile délictuelle d’Amandine Assaillit)

à tous ? Gagnants, perdants ? Lesquels ? -Etats ont-ils encore les moyens des gouverner ou faut-il renforcer les institutions internationales ? -Quel est le pv des FTN ? -M° risque-t-elle d’effacer les identités nat ? II) Les justifications du libre-échange A) Les théories fondatrices 1) Adam Smith 2) Ricardo : la théorie de l’avantage comparatif 3) La justification des échanges par HOS : la dotation naturelle en facteurs B) Les nouvelles théories du commerce international (NTCI) 1) La théorie

mondialisation * Les explications de l’internationalisation des échanges * L’échec du repli protectionniste pour tenter de résoudre la crise de 1929 à fait prendre conscience des dangers du protectionnisme et du caractère nécessaire du libre-échange a la fin de la SGM. * Création du GATT en 1947 et de l’OMC * L’existence d’un sys monétaire international stable (Bretton Woods) est une des explications e l’aug des échanges. * Baisse des couts de transport et de communication