Esthétique ou philosophie de l'art

5 / 3/2010 Rappel : Modèle classique : paradigme de Kuhn →transition, crise des lumières Le modèle Critique Ce modèle est du à Kant. 5 dimensions : 1. La subjectivité du beau 2. La liberté du jeu 3. L’indépendance de l’art 4. Le sentiment du plaisir pur 5. La présentation de formes libres La parution en 1790 du livre de Kant est un événement majeur pour la pensée occidentale. L’ « troisième critique » est le couronnement des 2 autres critiques A. Critique de la raison pur (CRP)/B.

quelque chose (on comprendra mieux ce problème en étudiant Kant). Chapitre 3 (Kant) :  Différence entre : (=Thème tuyau) -  Jugement de goût des sens / Jugement esthétique : Pour Kant, l’œuvre d’art est liberté et me permet de voir de « la finalité sans fin » dans ma nature, que veut-il dire ?  L’art pour Kant a-t-il pour but la connaissance intellectuelle ? Chapitre 4 : Schopenhauer :  Comment caractériser la « volonté » ou « vouloir –vivre » chez Schopenhauer ?

L’Art poétique de Nicolas Boileau est un poème didactique de onze cents alexandrins classiques (chaque vers est composé de deux hémistiches de six syllabes), découpé en quatre chants et paru en 1674. Il traite des règles fondamentales de l'écriture en vers classiques, et de la manière de s'approcher au plus près de la perfection. Pour Boileau, porte-étendard de la théorie classique, le beau est la conséquence du vrai1. Afin d'être lu dans les salons, par le public de mondains qu'il veut toucher,

à penser que, de même que notre implication mondaine n’influe pas sur l’auto-affection qui nous définit chacun dans notre singularité, le domaine des effectuations subjectives a peu d’incidence sur celui du monde. On pourrait en déduire que la philosophie henryenne a abandonné l’horizon du monde pour se consacrer entièrement à l’exploration de l’auto-épreuve primordiale et de la « matérialité phénoménologique pure » de l’auto-affection dont il souligne l’importance dans plusieurs de ses ouvrages

attention aux objets représentés et non à la photo en elle- même. Introduction Toute interrogation sur l’art s’enracine dans un double constat : (1) L’art est omniprésent dans notre quotidien. (2) Mais la variété et la quantité des objets et des pratiques que l’on qualifie d’artistiques interdisent de définir d’emblée l’art de manière pertinente. En somme, l’art se rencontre partout et de toutes les manières — au musée (peinture, sculpture), dans la rue (graffitis, la publicité)

aujourd’hui il est difficile de se prononcer sur le caractère artistique ou non de telle ou telle création. Ainsi il devient indispensable de nous recentrer sur le concept même d’art et sur son devenir dans la société actuelle. Mais concrètement, l’art c’est quoi ? « L’art (du latin Ars, artis « habileté, métier, connaissance technique ») est la création d'objets ou de mises en scène spécifiques destinées à produire un état particulier de sensibilité. », voilà la définition que nous trouverions dans le dictionnaire

F. KAUSCH3 COURS : 1) Mêler art et pouvoir / esthétique et politiqueBibliographie : - Walter Benjamin « l’œuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique » 1939 Gallimard Œuvres, III (→ 3ème volume) PR LA RENTREE 2) Politique : cours sur la punition et le châtiment 3) Les sciences humaines à partir de Rousseau, entre autres.Concernant les lectures : travail « non scolaire » → toujours un livre ouvertINTRODUCTION sur le texte de Benjamin Avec le photographe Walker Evans

HERVE Alexandre TS Devoir Maison de Philosophie : Pourquoi sommes-nous sensible à la beauté ? ____________________________________________________________ _______________ ____________________________________________________________ _______________ C'est un grand sujet qui renvoie donc à un problème fondamental: la question de la question. Comment se fait-il qu'un être raisonnable sensiblement affecté puisse ne pas être indifférent à ce qui n'est lié ni au plaisir, ni à la morale

artistiques traditionnels. Avec le mouvement Dada, l’Art perd de sa dimension « sacrée » et démesurée. Les premiers ready-mades de Duchamps, détruisent tout à fait l’importance de la technique et du traditionalisme artistiques. « L’urinoir ou le porte-bouteilles affirment deux choses : que l’œuvre est entrée dans une nouvelle ère, celle de sa ‘’reproductibilité technique’’ ; ensuite, que l’art est aussi une mise en espace – une question de lieu. » Peu à peu, l’Art s’inscrit dans un contexte. De nombreux artistes

Des artistes comme Jean Widmer, dirigeant de l’équipe VDA (Visuel Design Association), Ruedi Baur et l’agence CL design se sont s’attachés à l’élaboration d’une signalétique efficace et esthétique capable de s’implanter intelligemment dans l’espace et ce en veillant toujours à garder un lien avec la philosophie du Centre. Nous pouvons alors nous demander en quoi la signalétique du Centre Pompidou est à l’image de l’institution Beaubourg. I/ Une signalétique liée au projet architectural du Centre: