Est Il Raisonnable De Vouloir Maîtriser La Nature

.....................................................................................................................315   30.  Critique  de  la  fondation  métaphysique  de  la  valeur  intrinsèque  de  la  Nature................................318   1.  Le  problème  des  droits  des  animaux............................................................................................................................... 320   2.  Critique

lien constitutif qui relie la liberté à la volonté. Mais tout serait en ordre si l’on pouvait s’entendre sur ce que signifie vouloir en tant qu’il est l’acte originel par quoi se réalise ma liberté. Or, la plupart du temps le sens commun semble confondre le désir et la volonté : en effet, celui qui dit qu’on est libre parce que l’on peut faire ce que l’on veut, semble vouloir dire en fait que c’est agir selon ses propres désirs. Mais, précisément, le désir et la volonté sont distincts. D’où vient alors

La liberté et la loi 1. Etat de nature et Etat social 2. Liberté négative et liberté positive 3. L’esclave et l’enfant 4. La liberté d’expression C. Travail et liberté 1. La libération par le salaire 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 3. La libération par la technique (Marx) 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) II. La liberté intérieure A. L’origine du concept de liberté intérieure B. La liberté de vouloir 1. La liberté des Stoïciens 2

élémentaire de l’homme naturel. On peut vraisemblablement affirmer avec les théoriciens du droit naturel qu’il existe dans l’homme premier, une liberté élémentaire. On peut penser, par exemple, avec Rousseau, que la solitude de l’homme à l’état de nature s’accompagne de la faculté de pouvoir satisfaire ses désirs à sa guise, sans tenir compte de la présence d’autrui. 2°) Aliénation de la liberté initiale exigée par le Contrat social Dès que les premiers groupes sociaux se constituent, la cohabitation

pas ceque nous réserve l’avenir et tout peut s’effondrer du jour au lendemain. Plus on accorde d’importance au hasard, c’est-à-dire aux causes particulières plutôtqu’aux causes et principes généraux, plus le cours des évènements est difficile à maîtriser etplus il conduit à une forme de résignation, de désespoir. C’est une vision qui conduit aupessimisme. Marx, lui, a le projet ambitieux et magnifique de penser, de rendre intelligible tout le devenir humain autres, mais dès qu’il est avec eux

et discutez cette opinion à la lumière de votre lecture des deux œuvres au programme. Le classicisme ludovicien mène Jean Racine à déployer, en 1667, le modèle de la plus pure poésie classique, alliant l’intensité du sujet et des passions à la maîtrise de l’évocation et de l’expression. Phèdre, sa tragédie notoire, se targue en effet d’avoir crée un personnage éponyme à la fois enclin au furor poeticus du héros tragique et à la lutte vaine d’un héritage parental marqué d’une double ascendance.

« problème du bien ». Le bien nous parait une expression naturelle, pour autant que toute chose cherche son expansion, pour autant que l’expansion du bonheur nous semble la loi naturelle de la vie. En réalité, le problème du mal ne se situe pas dans la Nature, mais à la racine de l’action humaine, dans nos intentions, dans l’intention de nuire, dans l’intention du mal, dans notre volonté mauvaise. Devant le théâtre sanglant de Histoire, devant le chaos du monde, devant la débauche de cruauté et d’ignominie

hyperbolique, métaphysique et méthodique. Cette méditation établit cette célèbre exp de l’évidence qu’est le cogito, de laquelle Descartes s’efforce d’en tirer le plus possible d’enseignements accessibles à ce niveau du livre, en particulier sur la nature propre de l’objet ici révélé comme certain : ma pensée et le pvr qu’elle me révèle. 4. 3è méditation. Dans cette méditation, Descartes élargit le territoire de la certitude, d’abord réduite à la conscience immédiate de soi comme être pensant

apparaît comme un autre centre de référence. Cet autrui apparaît un peu comme un rival. « Ainsi, tout à coup un objet est apparu qui m’a volé le monde. »- Sartre.→ un objet capable de me voler le monde n’est plus un objet mais un sujet, il me vole ma maîtrise sur les choses. Sous le regard d’autrui je peux me sentir de trop, le regard d’autrui peut être pétrifiant/réifiant. Le regard d’autrui est comme le regard de la Gorgone qui pétrifiait ses victimes : la méduse. Le regard a un aspect aliénant (aliéner→

un danger imminent si la situation planétaire ne change pas du tout au tout dans les années à venir. Avant d’en arriver là, il convient de revenir sur ce qui à fait la planète jusqu’à nos jours, quels étaient ces rapports entre les hommes et leur nature. Les individus n’ont pas vraiment changé en soi mais les avancées techniques, technologiques, les modes de consommations qui en découlent auraient bouleversé la Terre. Ce serait donc une élite détenant le savoir qui aurait, sans volonté de nuire bien