Est Il Possible De Penser Sans Préjuger

de l’opinion. Ensuite il expose que l’opinion s’oppose à la science. Pour cela il nous rappelle que la science interdit d’avoir une opinion sur une question confuse, puisque la science est une connaissance rationnelle surmontant les obstacles du préjugé (science vient du latin scientia signifiant connaissance). Il explique ensuite que la science est donc de savoir poser un problème, et la connaissance de répondre à une question. Mais peut-on donc avoir une opinion en matière scientifique ? Selon

ce Paradis, justement. La superstition elle met en général en faute la personne qui est superstitieuse. La superstition est largement basée sur les préjugés, alors que la religion, à la base, cherche à pousser plus loin que de bêtes préjugés ou pensées ; elle cherche à développer un concept, elle est une sorte de fuite à la réalité qui permet de penser aux croyants que leur vie ne s'arrête pas à ce qu'ils voient. Donc nous voyons bien que la religion n'est pas qu'une simple croyance, elle peut dépasser

..................................................................................................14 8. Qu’on connaît aussi ensuite la distinction qui est entre l’âme et le corps..............................................14 9. Ce que c’est que penser. ...........................................................................................................14 10. Qu’il y a des notions d’elles-mêmes si claires qu’on les obscurcit en les voulant définir à la façon de l’École, et qu’elles ne s’acquièrent

que s'il existe diverses cultures, alors elles sont inégales. Il se pose donc un problème, puisqu'une inégalité sous entend une supériorité et une infériorité. Nous pouvons donc nous demander : est-il possible de hiérarchiser les cultures? A titre d'hypothèse, nous pouvons penser qu'il est possible de hiérarchiser les modes de vie de plusieurs groupes humains. Mais plusieurs questions se posent alors : ATTENTION Peut-on comparer des cultures ? Les hommes ne sont-ils pas égaux par nature, donc libres

sens moral, la liberté suppose la responsabilité de ses actes et la possibilité de choisir entre le bien ou le mal. Avec le christianisme, la liberté morale est fondée sur le libre arbitre : la capacité de la volonté à opérer des choix entres des possibles indépendamment de toutes contraintes interne ou externe à cette volonté. Seul l'homme possède un libre arbitre, le comportement des animaux étant prédéterminé par ce que l'instinct commande. Le lion, par exemple, ne fait que suivre les impulsions

les esclavagistes mais du fait d’une désignation floue, il invite à considérer qu’il attaque aussi ceux qui cautionnent, ou même qui ferment les yeux sur cette pratique inhumaine. L’utilisation de ce pronom permet d’attaquer le plus grand nombre possible de façon anodine. Nous voyons donc que dès la première phrase du texte, Montesquieu fait preuve d’une certaine virulence implicite puisqu’il remet en cause l’esclavage et ceux qui la pratiquent ou la tolèrent sans attaque directe. Cette première

sujet, je me dois de préciser que tenter d’être exhaustif est illusoire. J’ai tenté d’être le plus concis possible afin de déconstruire certains préjugés mais garder le terrain libre au débat. Les tabous et autres préjugés font que ce droit est difficilement reconnu aux personnes handicapées. Néanmoins, il faut affirmer que la vie affective et sexuelle constitue un droit fondamental et penser prendre quelque mesure politique que ce soit me semble discriminant. Il n’existe en effet aucune mesure

proprement parler. Elle se développe toujours au travers d’une culture en particulier, c'est-à-dire un mode de vie, une langue, des normes et valeurs. Or dans une culture, il n’y a pas que des connaissances qui élèvent notre vie. Il y a aussi des préjugés, des interdits et des violences faites aux individus. L’homme veut alors parfois se libérer de sa culture et des limites qu’elle représente. Pb central : l’homme peut-il acquérir les connaissances transmises par sa culture sans subir le poids et

de ce que nous remettons en cause. Or, quand nous disons que nous savons quelque chose, c’est précisément que nous le tenons pour vrai, que nous en sommes sûrs. Doute et savoir semblent donc s’opposer. En cela, le fait de faire du doute un moyen possible du savoir, ce que présuppose le sujet, peut apparaître comme surprenant : faut-il douter pour savoir ? Être obligé, sur le plan théorique, de se poser en permanence des questions sur la validité de ce que nous savons semble en effet impossible, puisque

d'essayer de vivre le mieux possible c'est -à -dire d'être le plus heureux possible du monde ainsi d’agir bien. On pourrait a contrario moins on a de connaissances moins on est heureux. Dans le Mephisto de Goethe , un étudiant travaille tard dans la nuit alors qu’il y a d’autres jeunes qui eux s’amusent, il fera un pacte du diable. La connaissance permet de combattre les superstitions, les préjugés, les ombres de la cavernes