Est Il Irrationnel De Tout Croire

structures organisationnelles qui nous enferme dans un lieu conçue pour être productif. Un chercheur appelé Ritzer parle de macdonaldisation de la société en 1993, rationaliser la nourriture, production de masse, gâchis industriel quand gaspillage etc tout cela est à l'image de comment fonctionne notre société, (rapports impersonalisés, mondialisation car on trouve les mêmes choses quasiment partout dans le monde). Macdonald est l'expression ultime de la société qui génère du mal-être. Consommation

Toute croyance est-elle contraire à la raison ? La croyance semble être subjective et incertaine. Croire n'est pas savoir. La croyance est donc sans fondement, sans justification rationnelle. Elle peut renvoyer à la crédulité, à la naïveté ou bien à l’arbitraire de la superstition ou pire encore à l’aveuglement du fanatisme. La croyance est un manque de raison soit une violence exercée sur la raison. Dans tous les cas, la croyance et la raison semble contradictoires. Cependant, les croyances

livre a été publié pour la première fois en 2002, soit un an seulement après les attentats du 11 septembre 2001. Ces mêmes attentats ont pressé la cristallisation du monde en deux, entre un Orient définit usuellement comme « arriéré, mystique, irrationnel 2» et un Occident « modernisateur, laïque et rationnel3 ». Dans ce livre, Georges Corm tente d’expliciter les mécanismes par lesquels ces clichés ont prit place mais également en quoi ils sont faussés. L’Orient est aujourd’hui décrit comme un espace

la suite de la phrase les termes que nous pouvons considérer comme important sont « revient » et « même chemin », le fait de revenir exprime qu'elle suit toujours la même trace, le même enchainement, elle dévide toujours les même informations pour tout dire, elle ressasse, on rappel donc ici le mécanisme que cette pensée entretient. Par rapport aux mots « même chemin » on peut dire que c'est un refus de franchir les obstacles. Si cette pensée revient toujours par le même chemin c'est qu'elle fait

liée à des éléments tangibles (guerre) ou des éléments non tangibles (Dieu). La peur peut être rationnelle (tremblement de terre) et irrationnelle (peur des fantômes). Elle peut être liée à un instant, une temporalité (nuit, orages). La source de notre peur peut être animée (lion) ou inanimée ( ouragan)

recul des croyances religieuses ou magiques comme mode d’explication des phénomènes, et s’accompagne d’une perte de sens du monde, dès lors qu’il peut être scientifiquement expliqué. En effet, dès lors que tout est explicable, on ne cherche plus le sens caché des choses. Ces deux phénomènes tout à fait contradictoires sont pourtant bien présents dans notre société, le désenchantement de notre société dominée par le rationnel ne devrait pourtant pas laisser place à des phénomènes comme celui de la

SujetsEtre libre, est-ce faire ce qui nous plaît ?Etre libre, est-ce pouvoir choisir ?La liberté réside-t-elle dans la spontanéité ?Suis-je d’autant plus libre que je suis indifférent au jugement d’autrui ?Définitions, conceptsLa liberté s’oppose d’abord à tout ce qui est de l’ordre de la contrainte. Champ conceptuel : être libre c’est ne pas être contraint à, ne pas être forcé de, ne pas dépendre de quelque chose d’extérieur. Cf. rapports maître/ esclave (à l’origine, être libre, c’est ne pas être l’esclave

les pays occidentaux. De moins en moins de gens pratiquent. D’ailleurs, ont-ils encore le souci de la transcendance, du « tout-Autre ? Rien n’est moins sûr. Il semble que ces sociétés modernes puissent se passer de toute référence à la religion. Le fondement et le fonctionnement de la société seraient donc autonomes par rapport à une référence au sacré, à la révélation d’un tout-Autre, de même qu’à l’égard de toute institution ecclésiastique. Mais, en droit, est-il certain qu’une société puisse se

choix et donc prise de conscience. Le texte est divisé en trois parties. La 1ère partie est dirigée par la réflexion sur les habitudes. La conséquence d’une action qui perd de sa spontanéité en devenant mécanique perd de sa consistance est dénué de tout aspect humain. La décision n’est plus de notre ressort elle ne vient plus de notre conscient mais de notre subconscient. Nous n’avons plus de pouvoir de décision. Cette partie commence au début et finit à «  la conscience que nous en avons diminue

me piquais encore un peu de littérature, je me souviens avoir écrit une nouvelle très courte, la plus courte que j'aie jamais écrite, et dont je crois qu'elle fut aussi la dernière. Elle tenait en une phrase, et devait s'appeler Le sage. La voici : "Tout à la fin de sa vie, le sage comprit que la sagesse non plus n'avait pas d'importance." C'était encore de la littérature. Que la sagesse n'ait pas d'importance, la plupart le comprennent bien avant, qui ne sont sages qu'à cette condition. La sagesse