Espace Killy

(P (−1), P (0), P (1)) ∈ R3 , f7 : P ∈ R[X] → P −(X−2)P ∈ R[X]. Exercice 2. Soit E un espace vectoriel de dimension n et ϕ une application lin´aire de E dans lui-mˆme telle que ϕn = 0 et ϕn−1 = 0. Soit x ∈ E tel que e e ϕn−1 (x) = 0. Montrer que la famille {x, . . . , ϕn−1 (x)} est une base de E. 2 Image et noyau Exercice 3. E1 et E2 ´tant deux sous-espaces vectoriels de dimensions fie nies d’un espace vectoriel E, on d´finit l’application f : E1 × E2 → E par e f (x1 , x2 ) = x1 + x2 . 1.

l’accès au plus grand nombre à la sensibilité artistique. Ainsi , la rue, semble être un lieu propice à cette manifestation de l’art: elle représente un espace de circulation dans  les logements et les lieux d'activité économique. Mais , outre que son aspect purement géographique , elle possède une autre fonction: au niveau local, c'est aussi un espace public, lieu de rencontres et d'échange (notamment par les commerces) où s'exerce et se construit la sociabilité des individus et des groupes sociaux

I.INTRODUCTION J'ai choisi d'étudier la géométrie , c'est a dire la symétrie dans une coupe , les séparations en forme de figures géométriques que nous devons prendre pour une coupe , j'ai pris se sujet pour démontré que la géométrie nous sert tout le temps dans le métier de coiffeur . II.DEVELOPPEMENT DU SUJET 1.Explication du sujet Dans une coupe nous avons beaucoup besoins de la géométrie , je vais citez plusieurs exemples et ensuite j'expliquerai en détails avec des schémas . Comme

la famille bourgeoise. Cela introduit à une forme de paradoxe qui va aboutir à la création d'un espace public. Selon Habermas, cet espace est d'abord privé, il s'organise comme la rencontre d'individus privés dans des espaces ou des lieux privés. Ce qui fait le caractère public de tout cela est le fait que ces individus vont progressivement s'emparer de questions publiques, politiques dans ces espaces privés et on va voir apparaître des formes de sociabilités différentes. Il désigne cela comme une

F ⊂ M, F contient la matrice nulle, est stable par combinaison lin´aire , donc F est un sous espace vectoriel e de M b) I et F sont des ´l´ments de F et ne sont pas proportionnels donc (I, F ) est une famille libre de F ee ax + bz −bx + cz ax − by az − bt x z et M F = , on obtient F M = Posons M = ay + bt −by + ct bx + cy bz + ct y t y = −z c−a comme b = 0 , M ∈ F ´quivaut a e ` , donc F est un R-espace vectoriel de dimension 2 x= t+ z b (I, F ) est donc une base de F c) pour tout entier n , F n

Repères et coordonnées Formule de la distance Coordonnées du milieu Equation réduite Propriété : Dans un repère : - Toute droite d non parallèle à l’axe des ordonnées a une équation de la forme : y = m x + p [1]. - Toute droite d parallèle à l’axe des ordonnées a une équation de la forme : x = k [2]. Réciproquement, toute équation de la forme [1] ou [2] est une équation de droite. Définitions : * L’équation y = m x + p ou l’équation x = k est appelée équation réduite de la droite

fantaisie et de l’inédit - situations loufoques, cocasses……………………………………… - inventivité de certains metteurs en scène…………………………….. II. Mais un domaine de contrainte par essence A. Dramaturgie dans un espace-temps réduit ( mimésis ) - théâtre classique et ses règles………………………………………. - buts : plaire et instruire ( théâtre : reflet de la société )…………….. B. Limites de la scénographie - contraintes

JORDAN 1.1 POLYNOMES D’ ENDOMORPHISMES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Résultats de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2 Polynôme minimal d’ endomorphisme . . . . . . . . . . . . . . . . . un 1.1.3 Sous espace caractéristique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.4 Etude de eA ; eu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 REDUCTION DE JORDAN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.1 Surdiagonale

droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. » La loi porte atteinte à la liberté naturelle de l’individu qui est d’aller et venir comme bon lui semble dans des espaces publics, vêtu comme bon lui semble. L’interdiction pour une personne de dissimuler son visage si la personne en voit le besoin ou l’envie représente une oppression à laquelle la résistance n’est alors pas permise. Avec l’adoption de cette loi, une

temporalité qui correspondrait à celle de l’amour. Tenter d’exprimer cinématographiquement le regard amoureux, la fluidité d’un mouvement. Il n’y aurait plus de frontière entre le temps du voyage et celui de la vie. Le voyage amoureux construirait un espace-temps inédit, mettrait en jeu différentes temporalités, transformerait activement la vision. L’amour tout comme le cinéma modifie profondément notre perception de l’espace et du temps en créant un nouveau rapport entre les deux, c’est-à-dire un