Érythème polymorphe

2- Formes cliniques 3- Différents antibiotiques •  Visibles : •  Non visibles : – Hépatite, néphrites, pneumonies… – Vascularites – Cytopénies Formes peu sévères - Urticaires / angiœdèmes - Exanthèmes maculo-papuleux - Erythèmes pigmentés fixes - Réactions de photosensibilité Formes sévères - Pustuloses exanthèmatiques aiguës généralisées - Syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson - DRESS - Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms - Vascularites

Biologie 06.04/09 PRINCIPALES ANOMALIES ET AFFECTIONS DE LA PEAU ET DES PHANERES LESIONS ELEMENTAIRES DE LA PEAU Lésions de couleur : Erythème : rougeur due à une dilatation des artérioles. Dyschromie : anomalie de la pigmentation : achromie (perte de pigmentation) et hyperchromie (excès de pigmentation) Macule : tache aplatie d’une couleur différente de celle de la peau Lésions bombées : Papule : tache rouge ou rosée surélevée de diamètre inférieur à 1cm Vésicule : petite lésion translucide

ll Absence de cause organique +++ 3% de la population Surtout chez les jeunes de 15 à 35 ans Touche autant les hommes que les femmes B. Définition du Syndrome délirant Caractérisé par: - Ancienneté: aigu ou chronique - Mécanisme: simple ou polymorphe - Thématique: simple ou polythématique - Structure: systématisée ou non systématisée - Réaction affective - Adhésion Ancienneté du délire: ll Aigu: < 6 mois d’origine organique ou psychiatrique ll Chronique: > 6 mois d’origine organique

suivantes, une seule ne constitue jamais une réaction allergique cutanée médicamenteux : A. Psoriasis B. Eczéma C. Erythème pigment� fixe D. Erythème polymorphe E. Dermatite autopiqueQuestion 37 : Parmi les pathologies suivantes, une seule ne constitue jamais une réaction allergique cutanée médicamenteux : A. Psoriasis B. Eczéma C. Erythème pigment� fixe D. Erythème polymorphe E. Dermatite autopiqueQuestion 38 : La corticothérapie générale est fréquemment utilise en dermatologie. Dans quelle

suite à cette décompensation. Le diagnostic établi fut le suivant : une schizophrénie paranoïde continue, troubles de l’humeur, et hyperlipidémie. Le 21/02/08, Pierre est transféré vers la clinique San Ornellu car il présente un délire chronique polymorphe sur fond de désorganisation sévère du psychisme. Ce délire a récemment évolué sur un mode de désinhibition sexuelle et d’un vécu persécutif des soins qui entraine des troubles du comportement avec des menaces d’agression répétées vis-à-vis du personnel

hyponatrémie, hyperkaliémie - d’une HTA pré-existante • Effets toxiques : ototoxicité, céphalées, vertiges Non prostaglandines dépendants=accidents d’hypersensibilité • Cutanés : - Bénins : urticaire, rash, éruptions prurigineuses - Sévères : érythème polymorphe, STEVENS JOHNSON, LYELL • Hématologiques : - Périphériques : thrombopénie ++, anémie, leuconeutropénie - Centraux (+ fréquents avec pyrazolés) : atteinte d’une ou plusieurs lignées • Hépatiques : hépatite cytolytique, cholestatique ou mixte

nécrose caséeuse. 3. L’atteinte médiastino-pulmonaire s’observe chez plus de 90% des patients et est très utile au diagnostic. 4. Les localisations extra-thoraciques sont polymorphes. Les atteintes oculaires, cutanées, ganglionnaires périphériques et hépatiques sont les plus fréquentes. 5. Le syndrome de Löfgren associe un érythème noueux fébrile et des adénopathies médiastinales et hilaires bilatérales et a une évolution spontanément favorable. 6. Le diagnostic de sarcoïdose repose sur un tableau

brucellose focalise. - Certaines sujet porteur de germe peuvent se sensibilisée à l’endotoxine brucellienne les manifestation clinique d’hyper sensibilité : Brucellose chorionique afocale. V – CLINIQUE : A une symptomatologie polymorphe. On distingue 3 Tableaux : 1°/ - Brucellose aigue septicémique : a – forme commune : *Incubation : silencieuse 1 – 2 semaines. Début est progressive sur plusieurs jours, symptomatologie discrète à type : sensation fibrille - transpiration

PTP (Muscoviscidose, Meckelite, appendoc, duplication du grêle, MTX, adénolymphite mésentérique, SHU, post-op, tumeur, purpura rhumatoïde)        PP MMMeDuSAAT Kawasaki : CCAFEE (chéilite, conjonctive hyperhémie, adénopathie&gt;1,5cm, fièvre&gt;5jrs, extrémité erythème puis desquamation, exanthème) Céphalées : Tête de Ralph (TA/température, artères temporales, raideur nuque, FO) + NEURO                 CCP 6 CCR 7 CAP 8 CAB 9 Complications du SN : PICOTA Sur l'IDR (PA, péritonite, IR, collapsus, OMI, Thrombose

infiltrat mononucléé à prédominance péri-vasculaire. I- IVDIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL : • Chez le nourrisson, éliminer 1/ La dermatite séborrhéique ou maladie de Leiner-Moussous: Débutant par des squames grasses du cuir chevelu et des sourcils avec érythème fessier. Le terrain et l'évolution tranchent. • Chez l'adulte, éliminer 1/ L'eczéma de contact disséminé: Les antécédents et l'évolution tranchent. VÉVOLUTION – COMPLICATIONS : L'évolution est souvent chronique, par poussées favorisées chez l'enfant