Équipotentielle

problème est résolu en recourant à des modèles de géoïde pour convertir les altitudes ellipsoïdiques en altitudes Le niveau moyen des mers correspond à une surface que l'on appelle le géoïde, lequel peut être défini comme une surface équipotentielle, c'est-à-dire que la valeur de la pesanteur est constante en tout point de cette surface. Le géoïde est de forme irrégulière et ne correspond à aucun ellipsoïde. La densité terrestre (la répartition des masses) exerce toutefois une influence

nombre et la longueur des fils qui ont tendance à complexifier sa lecture. Par exemple, dans la carte ci-dessous, on aurait pu dessiner ceci : Ce fil correspond à la tension d’alimentation (VCC) Ce fil désigne la masse (GND ou le 0V). Une équipotentielle désigne l’ensemble des liaisons d’un circuit électriques qui possède le même potentiel en tension. Ce fil fait circuler un signal nommé CaptD Pour simplifier le schéma on va remplacer les fils par les symboles suivants (symboles d’équipotentiels

l’électrotechnique ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Mise en fonctionnement 2. Vérifications préliminaires à faire avant la première mise sous tension Contrôle des liaisons équipotentielles (voir livre de technologie) Appareil utilisé : Testeur de continuité Méthode de mesure : Vérification de l’absence de court circuit (voir livre de technologie) Appareil utilisé : Mégohmmètre Méthode de mesure : Page 13 sur 19 BEP

en fonction de la latitude, de l’altitude et des reliefs. Tous les points ayant une valeur de g constante sont situés sur une même surface dite équipotentielle : le géoïde (surface moyenne des océans) ou ellipsoïde de Clairaut (au niveau des continents). La verticale en un point se définit comme la perpendiculaire au plan tangent à la surface équipotentielle. Par conséquent, les variations de g mesurées à la surface de la Terre traduisent des masses hétérogènes profondes à l’intérieur du Globe.

l’induit. Les travaux a effectuer pendant l’isolation : Isolation de l’armature de l’induit AV et AR. Découpage des isolants sous les équipotentielles. Découpage des capotes d’isolement des encoches. Découpage des isolants entre couches sur développantes du plan. Les travaux a effectuer pendant le rebobinage : Pose des équipotentielles. Mise en place des capotes d’isolement des encoches. Pose des isolants entre couches sur développantes du plan inférieur. Pose du plan

Les conditions de distribution de l’énergie Contacts directs – indirects Protection différentielle Classes d’isolation Valeur indicative de la résistance de la prise de terre en fonction du terrain Couleurs normalisées des conducteurs Liaisons équipotentielles supplémentaires La signalisation de sécurité Utilisation des conduits Profondeur maximale des saignées Choix d’un parafoudre Modes de pose et méthodes de références Choix des canalisations Eléments de symboles VDI : Ce que disent les normes

scanner de la Terre ». Les images tomographiques montrent à grande longueur d’onde de vastes zones du manteau terrestre soit plus lentes (donc plus denses, donc plus froides), soit plus rapides que l’on peut alors corréler au géoïde (la surface équipotentielle de pesanteur qui coïncide avec le niveau moyen des mers). 3 Variation avec la profondeur de la vitesse de ondes P et S, ainsi que de la densité. Image tomographique de la base du manteau (à la profondeur de 2800 kilomètres). L’échelle

impose : * un appareil général de coupure et de protection (AGCP) ex. disjoncteur de branchement. * des dispositifs de protection différentiels à haute sensibilité pour tous les circuits dans l'habitat. * un conducteur de protection équipotentielle (masse) dans tous les circuits. * le respect du calibre de protection et de l'appareillage (disjoncteur ou interrupteur différentiel, fusible) selon la nature du circuit. [4] VI- Mesures de protection : Pour assurer le fonctionnent

d'un fusible installé soit dans un coffret posé sur le poteau soit dans le pied du candélabre. Si plusieurs luminaires sont posés sur un même poteau ou sur un même candélabre, les masses des luminaires de classe I sont reliées par une liaison équipotentielle. Ils sont protégés individuellement. Les luminaires de classe I seront protégés avec une protection en tête adaptée à la valeur de la terre. Le fusible est du calibre le plus faible permettant un fonctionnement du luminaire qu'il protège (intensité

l'installation en aval devra être réalisée en classe 2 et tous les circuits terminaux équipés de dispositif différentiel résiduel. Distribution : NF C 15-100 Prise de terre (inférieur ou égal à 100 Ohms) Conducteur de protection Liaisons équipotentielles principales Coupure générale Dispositifs de protection à courant différentiel résiduel AF AF AF OB AP Les AGCP doivent être clairement identifiés et facilement accessible. Prévoir la mise en œuvre de dispositif différentiel de 30 mA pour les