Époque d'Edo

photographie Miss Ko2 de Takashi Murakami en 2004, mais aussi en femme mûre, en sainte, en présence diabolique, en amante ou en créature symbolique, la femme reste une composante essentielle de la production artistique. Sa représentation au fil des époques est un reflet fidèle des conceptions esthétiques, sociologiques et morales de la période qui l'a vu naître. Elle offre une grille de lecture pertinente à toute étude artistique. Le corpus ici présent réunit des oeuvres japonaises ou inspirées de l'art

Basquiat et ses amis Al Diaz et Shannon Dawson commencent à graffer à proximité des galeries de Manhattan des messages qu'ils signent sous le pseudonyme de SAMO1, pour « Same Old shit » (ce qui peut se traduire par « la même vieille merde »). À la même époque Keith Haring recouvre les murs de Radiant Babies2. SAMO intrigue et finit par se faire une réputation au sein de la scène d'art d' East Village. Il est invité à une émission de télévision de Glenn O'Brien, et un article lui est consacré en 1978 dans

personnes la frontière entre art et non-art." Heinich Solidariser les corps dans leurs différences : Giri: peut traduire le terme de filiation puisqu'il soulève l'idée de rapport social et la nécessité de la relation supérieur/subordonné dans la société d'Edo Kishobori: tatouage de serment fait aux divinités ou promesse de fidélité entre 2 personnes b)L'ex des Yakuzas rituel: héritage à transmettre, façonne apparence extérieure pour acquérir une identité. Tatouage permet de différencier clans. Tatoueurs

d'admiration qu'il en est accordé aux sumos. HISTOIRE En 794, l'empereur Kamnu est un grand admirateur de la civilisation chinoise. Il fait édifier une nouvelle capitale qui sera Kyoto, sur le modèle de la capitale de Chine, Changan. A cette époque, les filles qui dansaient sur des prières bouddhistes étaient aussi les maîtresses des guerriers et des nobles. De ce curieux mélange de traditions, d'esthétique et de plaisir allait naître peu à peu l'art des geisha. On peut situer sa véritable

Basquiat et ses amis Al Diaz et Shannon Dawson commencent à graffer à proximité des galeries deManhattan des messages qu'ils signent sous le pseudonyme de SAMO1, pour « Same Old shit » (ce qui peut se traduire par « la même vieille merde »). À la même époque Keith Haring recouvre les murs de Radiant Babies2. SAMO intrigue et finit par se faire une réputation au sein de la scène d'art d'East Village. Il est invité à une émission de télévision de Glenn O'Brien, et un article lui est consacré en 1978 dans

théories X et Y de McGregor...) Les Japonais ne partagent pas les mêmes racines en matière de management. Kunio Odaka, ancien professeur d'économie à l'Université de Tôkyô, a avancé la théorie que la genèse du management japonais remonterait à l'époque d'Edo (1600 à 1868), lorsque les Japonais vivaient en communauté rizicole très unie. On peut en effet deviner, déjà à l'époque, les germes d'une forme différente de management. Premièrement, l'emploi à vie : les membres de ces communautés naissaient et vivaient

déesse solaire Amaterasu Omikami, divinité majeure du culte shintô. Tous les souverains de l'histoire japonaise se réclament de Jimmu Tennô. 702 création de l'université impériale. 708 première monnaie japonaise en cuivre inspiré de modèle chinois. Époque de Nara (710 - 794) L'époque de Nara débute en 710 par la construction d'une capitale fixe à Nara, sur le modèle des capitales chinoises. Les grands monastères de la ville, tels Hōryûji et Tôdaiji, sont construits grâce à l'expansion économique de

eux Shigeo "BA" nous dedans o groupe B groupe A “Les Japonais sont tous identiques” : cinq postulats •1) Le Japon, en tant qu’île, est isolé du reste du monde (isolement renforcé par la fermeture du pays durant la période d’Edo). •2) Le Japon, sur le plan ethnique, est constitué d’un peuple homogène. •3) A l’unité ethnique correspond l’unité linguistique •4) L’unité de base de la société japonaise est le village, lieu d’ancrage d’un univers entièrement tournée vers la riziculture

qu’entretient l’homme japonais avec la nature, il désigne un lieu purifié pour la vénération des dieux. Le jardin-paysage classique, qui parfois, reproduit des sites naturels célèbres de l’archipel ou de la Chine, connaît son plein développement à l’époque d’Edo (1602-1867). Résidence campagnarde d’un prince de sang impérial à la personnalité ouverte et raffinée, la ville Katsura, créée dans la première moitié du XVII ème siècle, déploie autour d’un lac aux contours savamment irréguliers des lieux d’habitation

parfois de danse. C'était sans doute une musique qui servait soit au culte, soit pour les fêtes ou le divertissement. La musique déterminée a dû s'introduire au Japon au contact de la musique asiatique (Ve-VIIe s. apr. J.-C.). Car deux formes de cette époque, conservées jusqu'à nos jours, Shômyô (chant liturgique bouddhique) et Gagaku (musique instrumentale de cour, appelée Saibara et Rôei quand elle est chantée, et Bugaku, quand elle est dansée), présentent des éléments constitutifs fixes. De ce fait