Épilepsie

2-7 3 5 5-10 04-0.5 0.4-0.5 Année Universitaire 2008 - 2009 La dépression: trouble comorbide fréquent des maladies physiques Maladie physique Maladies cardiaques Maladies cardiovasculaires Maladie d’Alzheimer Maladie de Parkinson Épilepsie récurrente Épilepsie contrôlée Diabète Cancer HIV/SIDA Douleur Obésité Population générale Prévalence de la dépression (%) 17–27 (Rudisch and Nemeroff 2003) 14–19 (Robinson 2003) 30–50 (Lee and Lyketsos 2003) 4–75 (McDonald et al 2003) 20–55 (Kanner 2003)

drogues dures. Enfin, les applications thérapeutiques du cannabis sont de plus en plus reconnues, un nombre étonnant de symptômes pouvant être guéris ou apaisés grâce à son utilisation: nausées, vomissements, anorexie, spasmes, douleurs, glaucome, épilepsie, asthme, dépendance et état de manque, symptômes psychiatrique... Il est aussi bon de savoir que le cannabis ne provoque qu'une très faible dépendance physique et psychique. Il semblerait que les personnes dépendantes du cannabis soient, la plupart

faiblesse musculaire,  de constipation,  de crise de tétanie,  d'érosion irréversible de l'émail dentaire, de caries sévères. L'ingestion boulimique de grandes quantités d'eau (potomanie) peut déclencher des crises convulsives, de type épilepsie. L'anorexie peut ausssi provoquée de grâve problèmes d'ostéoporose. Tout régime restrictif, même s'il comporte quelques trop rares portions de laitages, comporte un risque d'ostéoporose. Il s'agit de la décalcification et de la modification de la

disparaître les présage par hypnose. Il décrivait les éclosion de la intense crise hystérique en cinq périodes: Les grandes offensive hystériques, les phase assomption (crise syncopale, la crise à sémiologie de type extra-pyramidal, l'hystéro-épilepsie, les crises tétaniformes), les statistique crépusculaires et états seconds (l'état crépusculaire hystérique, d'autres états crépusculaires, dits aussi « états subordonné »), les amnésies paroxystiques, les attaques cataleptiques.

retard mental est associé à des retards « curables », ou troubles de la personnalité, troubles instrumentaux… 3. Avec polyhandicap sensoriel ou moteur : encéphalopathies, troubles neurologiques sévères, troubles moteurs et/ou sensoriels, souvent épilepsie associée. 4. démence : réduction progressive des capacités mentales (involution) + en lien avec des facteurs organiques reconnus. AUJOURD’HUI  3 critères doivent coexister pour poser le diagnostic de « déficience mentale » ou « retard mental

routes.   L'épilepsie   Elle atteint 40 à 50% des sujets polyhandicapés et dans un cas sur 4 ou 5 ces épilepsies sont difficiles à équilibrer. La maladie épileptique grave et invalidante à crises multiples et très polymorphes succède le plus souvent à un syndrome de West ou de Lennox de la petite enfance. Il peut s'agir d'absences, de crises toniques brèves, et parfois d'une véritable " épilepsie chutes "  à crises imprévisibles qui, chez le sujet marchant entraîne des traumatismes répétés, de la

la glycémie, calcémie et yonogramme sanguin, faire un fond d’œil pour détecter une hypertension intracrânienne, une ponction lombaire si raideur de la nuque et scanner cérébrale. S c'est examens sont négatif il faudra surveiller la survenu d'une épilepsie, ou maladie neurologique. • Diagnostic différentiel : Spasme du sanglot provoquer par l'anoxi ( manque d’oxygène ) intense t coléreuse. d. Évolution de la convulsion Favorable sans séquelle avec risque de récidive lors d'une nouvelle poussée

intellectuelles et notamment de jugement Diminution des activités quotidiennes et perturbations du comportement (surtout négligence de soi et son aspect) En dehors des trois éléments suivants : Débuts soudains, Signes neurologiques focaux, Épilepsie ou troubles de la motricité initiale. Évolution de la DTA L'évolution se fait en 3 phases : Phase de début : Existence des troubles isolés de la mémoire, plaintes du malades sont supérieures à celles de l’entourage, et parfois entrée par

[pic] Il reconnaît plusieurs formes d’épilepsies : «  Quand on dit, en la définissant, qu’elle est accompagnée de convulsions violentes de toutes les parties, cette définition n’est pas applicable à toutes les épilepsies, puisqu’il y en a dans lesquelles les convulsions sont ni fortes ni générales. ». Pour lui il est possible de classer les épileptiques par rapport aux symptômes avant coureurs : « Il y a les épileptiques chez

ses fonctions de signalisation, le BHB pourrait être le médiateur de la plupart des effets positifs du jeûne (intermittent) sur la santé (6). Alors que le régime cétogène a été développé il y a une centaine d’années pour le traitement des épilepsies infantiles et redécouvert dans les années 1970 sous la forme du régime amaigrissant Atkins, il connaît actuellement une véritable renaissance, que ce soit comme régime amaigrissant, pour la prophylaxie de la démence ou comme traitement de soutien