Éolienne offshore

aux progrès technologiques qui permettent des forages de plus en plus profonds. L’enjeu est majeur car les gisements offshore (en mer) représentent 1/3 de la production mondiale et 20 à 25 % des réserves. Leur exploitation dépend cependant du prix du pétrole car les coûts sont plus élevés. Les mers permettent aussi de produire des énergies renouvelables (énergies éoliennes offshore, hydroliennes). Si les fonds océaniques abritent des minerais en grande quantité, ils restent peu exploitables. Le sable

mer est un milieu fluide riche en flux énergétiques qui peuvent être exploités sous les formes suivantes: - Énergie éolienne offshore: Le vent est nettement plus fort en mer qu’à terre. Il s’établit sur les vastes étendues libres d’obstacles - Énergie des vagues (houlomotrice) : Le vent soufflant sur de grandes surfaces marines crée des vagues et concentre ainsi l’énergie éolienne. La houle peut voyager sur de très longues distances et apporter sur une côte de l’énergie qui a été collectée fort

spécialisés (supertankers, méthaniers). La domination des énergies fossiles pose la question de la sécurité des approvisionnement (état des réserves, accès aux ressources) car les techniques d’extraction du pétrole sont de plus en plus cher : gisement offshore, traitement des sols bitumineux… De plus, les risques technologiques liés aux énergies fossiles abondent : émissions de GES (gaz à effet de serre), marées noires, saturation des détroits (80% du pétrole pour la Corée et le Japon, 50% du pétrole pour

explications : d'abord, les crises pétrolières des années 70 ont entraîné une hausse des prix, rendant ainsi possible l'exploitation de gisements qui n'étaient jusque là pas rentables (du fait de coûts technologiques élevés, comme par exemple la production offshore en Mer du Nord ou dans l'Atlantique). De plus, certains pays (par exemple la Chine) ont connu une forte croissance économique, augmentant ainsi les besoins pétroliers mondiaux et poussant les compagnies à rechercher de nouvelles sources d'approvisionnement

c) Ex : faciliter le passage des poissons. d) Retrouver un environnement naturel. 2) Point sécurité. III) COMPARAISONS : ENTRE ÉNERGIE, ENTRE PAYS. 1) Un développement rapide et récent des éoliennes et du photovoltaïque et une présence de l’Hydroélectrique. a) Production éolienne. b) Production photovoltaïque. c) Production hydroélectrique. 2) Comparaison avec d’autres pays. a) Part d’énergie en France. b) Comparaison mondiale. Introduction: L'hydroélectricité

000 5,000 0 200220032004200520062007200820092010 0 Chiffres en milliards d’euros Résultat net I - L’entreprise TOTAL Contrôle de la chaîne de production Exploration Production : Leader sur les techniques en eaux profondes pour les plateformes offshore (Brésil, Gabon...) Négociation / Transport : Valorisation des produits Transformation : Raffinage et pétrochimie activité essentiel pour la transformation en plastique gaz etc. Distribution : Propres stations service Nombreux produits proposés

l'embouchure des fleuves et près des côtes. Pour capter cette énergie, il faut placer des hélices ou des turbines dans l'axe de ces autoroutes de la mer, c'est ce qu'on appelle les hydroliennes (On rencontre aussi les appellations hydrohélienne et aussi éolienne sub-aquatique). Cette source d'énergie commence seulement à être étudiée en Angleterre, en Italie, en Norvège et aux États-Unis. En France, EDF a comme projet d'en installer dans le Cotentin et en Bretagne. Une entreprise bretonne développe un

peu voire pas rentable. C’est en partie l’économie qui décidera du sort de ces panneaux car pour le moment, les clients le trouve trop cher. L’énergie éolienne. Malgré le faible rendement, le peu d’esthétique et le bruit qu’elles génèrent les éoliennes ne sont pas polluantes, et le vent est renouvelable. La construction de parc éolien offshore ainsi que la construction d’éoliennes qui s’affranchissent du bruit va prendre de l’importance ce qui va améliorer cette énergie. B. Tensions géopolitiques

française. De la même manière depuis 2008 de nombreuses entreprises pétrolières françaises prospèrent dans la région. A cela s’ajoute l’apparition d’un nouveau secteur énergétique, qui repose sur l’exploitation des ressources de la mer tel que les éoliennes offshore, les hydroliennes ou encore le développent de la biotechnologie bleue. A cela s’ajoute l’emplacement stratégique de la région, celle-ci se trouve à proximité du canal de Mozambique dont une bonne moitié passe

implanter des éoliennes. La centaine d'éoliennes en place produit 218 MW par an, ce qui classe la région au 12éme rang national seulement. L'objectif affiché pour la région est d'avoir à terme une puissance de 850 à 1100 MW. L'éolien pose également des problèmes de nuisances, ce qui oblige notamment a créer une vaste zone d'exclusion autour du Mont-St-Michel, mais cette énergie renouvelable est un bon moyen d'aménager et de développer les zones rurales de la région. Des parcs éoliens peuvent également