Engagement Et Distanciation De Norbert Elias

et leur environnement, à écouter, discuter, échanger, s’exprimer, s’émerveiller. À la société… » Bibliographie : Pierre BOURDIEU, Jean-Claude PASSERON, le métier de sociologue, Paris, Mouton éditeurs, 1968 Norbert ELIAS, Qu’est ce que la sociologie ? / Engagement et distanciation (historien) Max WEBER, Le savant et le politique/ Essais sur une théorie de la science, Paris, Plon , 1965 (économiste) Claude LEVI-STRAUSS, Race et histoire, Paris, Folio, 1987 (Anthropologue) Introduction :

diversité des vecteurs de communication qui assurent à la pratique comme à son spectacle l’amplification de ses succès et revers. Or, en inventant le sport moderne et en développant ses formes collectives à partir du milieu du 19e siècle[18] [18] Norbert Elias et Eric Dunning, Sport et civilisation. La... suite, l’Angleterre réinscrit au cœur de la ville un espace normatif de la pratique physique : le stade. Cet espace réglé, standardisé, creuset du spectacle et de l’affrontement, s’oppose à la mouvance

approche holiste qui rejette les comportements individuels analysés au regard de la psychologie (au contraire de Max Weber, pour qui il est important de prendre en compte les comportements des individus). Son approche manque de profondeur historique (Norbert Elias), et pour les marxistes cette approche ne prend pas assez en compte les facteurs économiques. Autre critique : le fait que Durkheim prenne pour argent comptant les statistiques produites par l’Etat sans s’interroger sur la manière dont elles son

questions influence directement les réponses. Si le chercheur relâche sa vigilance épistémologique, la communauté scientifique critique l’ouvrage, l’évalue, c’est à cette condition qu’on parle d’objectivation. Le chercheur doit faire preuve de distanciation vis-à-vis de son objet d’étude car il doit considérer comme une personne neutre. C’est la remise en cause des évidences qui fait avancer la science dans son objectivité. BOURDIEU montre que les sondages dictent les réponses des gens et fabriques

Les limites de la fictionL’Homme Revue française d’anthropologie  175-176 | juillet-septembre 2005 Vérités de la fiction Les limites de la fiction Nathalie Heinich Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/lhomme/29504 DOI : 10.4000/lhomme.29504 ISSN : 1953-8103 Éditeur Éditions de l’EHESS Édition imprimée Date de publication : 15 octobre 2005 Pagination : 57-76 ISBN : 2-7132-2035-1 ISSN : 0439-4216 Référence électronique Nathalie Heinich, « Les limites de la fiction », L’Homme

techniques au service de la conduite du changement : L 'entretien Séance 12 : En guise de conclusion, les pièges contemporains du management 3 Bibliographie Allard-Poesi Florence, Management d'équipe, Dunod, Collection Les Topos, 2003 Alter Norbert, L’innovation ordinaire, PUF, Collection Quadrige, 2005. Barbusse Béatrice et Glaymann Dominique, La sociologie en fiches, Ellipses, 2005. Bernoux Philippe, Sociologie du changement, Seuil, 2004 Petit Michel, Management d 'équipe, concepts et pratiques

la plausibilité de la formation d’un « patriotisme constitutionnel »8 pour fédérer l’unité de cet espace public à un niveau dépassant celui de la constitution d’une culture commune dans le sens où il permettrait de conserver des perspectives de distanciation à soi-même et de la confrontation avec un point de vue d’Autres, qui restent des Autres, et ne soient pas résorbés dans le Même d’un héritage commun. 7 8 cf la note dans le texte de Paul Thibaud en document cf. en document « Devenons des patriotes

l’étude des déploiements de violence extrême dont la guerre constitue le théâtre pourrait bénéficier d’une sensibilité accrue à toutes les porosités entre guerre et paix dans le cadre des sociétés à « haut niveau de pacification8 » évoquées par Norbert Elias. La question mérite ainsi d’être davantage posée de la présence de la guerre dans l’espace social, sous la forme de ces continuités minimales que trahit d’ailleurs à tout instant, dans la langue française, l’usage d’un vocabulaire non seulement

de distance vis-à-vis de la référence parentale, et par l’inscription dans une nouvelle appartenance identitaire : ce que François de Singly appelle le « nous générationnel »2. Dans La société des individus, Norbert Elias décrit le processus d’individualisation comme un « acte de distanciation à l’égard de soi-même »3. Je m’individualise, c’est-à-dire je suis capable de me percevoir en tant qu’individu, et de faire mes propres choix. L’individu a un devoir d’autonomie4. Or, savoir faire ses propres

croyances” (Durkheim, 1960 : 596). Comment durant la thèse s’articulent données de terrain, émotions ressenties, analyses et compréhension de la scène qui se joue sous mes yeux et à laquelle je participe ? Quelle place accorder à l’émotion, à mon engagement émotionnel lorsque je suis placé en situation d’observation participante sur une scène ritualisée ? Cet article est composé d’un extrait de mon journal de terrain tenu durant la thèse et rend compte sous la forme narrative de l’expérience d’une